Éphémère
beauté
de l'effroyable
cela
qui
EST
Et du crématoire
en crime
exaucé
Disparition
d'avoir été
du
Camp
dernier
fait de centaines
...que de fins...
sans fin
Le pensé mort
intoxiqué
Petit papa
Noël
Déshumaniser
tuer
et de la charogne
baudelairienne
à la splendeur
enjolivée
Et qui suis-je
après tout?
En ce lieu
de destruction
massive
du ciel égouttant
si peu du
RIEN
qu'un peu
de début
pas d'ici
D'ailleurs
que peux
de ce vide mots
quelque chose
de mieux
que
LA BEAUTÉ
du monde
Enfin tout ceci
pour finir
en à quoi bon?
Mais quoi?
Et assurément
l'odeur
des roses de la vie
blottie
d'entre nous
amour
rafraîchie
osant
juste et pareil
aube
commune
donnée
LÀ
traits
de Paradis
ballade
traversant
le voile de Saïs
sans savoir
revenue
chez-soi
Nulpart
exactement
LÀ!
En attendant
la FIN
des contradictions
du désastre
d'espérance
du Verbe
de quelque chose
mais quoi
que
d'ÊTRE
en
FIN
Abstraire
bas bis
comme
Et des saules
pliants
de joies
aux oiseaux
perchés
extrayant
les tenues
d'envoles
loin
des boues
nourricières
à dire
plein de choses
de la machine
à pépier
des promesses
sans lever
la moindre
poussière
de sens
Alors quoi
la misère
silencieuse
sur le mont
des révolutions
des puces
en des trompes
de malentendus
malgré
la tentative
d'éclaircir
l'éléphant
de Goya
pillé par
l'ignorance
des Faits
de madame
la chose
freudienne
Partons
la mère
est belle
L'amour
est l'Art
de Faire croire
c'est
TOUT