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15 avr. 2010

Fiction Des Noyaux


MARELLE

Tranquille patience attente...dans le Désert de tous les cimetières y compris les marins...Feuilles noires...là fixées des yeux triées aller aller jusqu'à l'aération...et des ailes déployées des débuts du monde démesuré déchargé du fornique par liens fraticides que celui de la Vie...Celle du refus jusqu'au dernier...
Allégé du lot de la sottise des caids à rebut reput infanticides vouyous à sous des faibles et des puissants.
Après juste après lors de la fiction des noyaux d'Amour et d'Eau fraiche à distance Poétique d'une provocation à tout ce qu'on retrouve dans le mot Mort.
Un don à jamais dû...à l'Épiphanie infiniment multipliée par la Présence du plus Grand que soi.La Vie ouvreuse,maison démesurément ouverte jusqu'au sans bord des coeurs...
La seule reconnaissance est l'orée Du Régne du sans nom,des valeureux exilés des nulle part,des Riens.Lente Vivance, part des rages des larmes d'outrance,des gênes
anciennes.Mourir au fond plusieurs fois non une pour toujours.
Donnant ainsi la chance à la mutation de se désengager des mains mises, des grappins d'sus...de soi des autres ne conservant que le savoir infaillible du coeur...dédoublé jusqu'à l'infini.

Enfin ceci
dans un mystère
d'un épicentre
où toutes les
turbulences
par une majeure
menant l'anxiété
du fragile nuptial
à l'oximore
l'inséparable
plus grand qu'Amour
L'Un tous en deux
éternisant la
poussière en
cendre portant
le passage sans
jamais avoir besoin
d'une clée.

De tout côté
rose de la joie
des vents
qu'importe ici là
l'infime en sa fiction
prend des allures
ici d'invincibles
à jamais celà est
a eu lieu en
la Demeure.
Paille ou poutre
riche ou pauvre
La Mort vaincue
bouge en Fin
laissant passer
le Rien.