Des larmes
d'où désarme
le coeur dur
pierre
de mémoire
et d'émotions
Le reste
de l'horrible
que de l'effroi
que de l'ignorance
portée
au vide
de la
Disparition
Accalmie
au feu
du corps
de l'instinct
a passer
Cent insectes
sous ton pied
cent oiseaux
au-dessus
de la tête
et tu va
tu va...
La Nature
natures
reprend ses droits
sa Nature
va aussi
tandis que le Conte
à sa prétention
prend fin
la poésie
à décider
d'en prendre note
et de garder
le silence
devant
l'hécatombe
des yeux
devant
les milles soleils
milles mondes
innommés
innommables
De proématique
en passoire
triant
de l'appuis
du socle
pour le vent
en a-blanc
noirci
de crachats
d'immondices
velléitaires
au Jour
dernier
Enfant rieur
joie que d'être
poudrerie
de froidure
dans le feu
des splendeur
'' Je suis
l'Empire
à la fin
de la décadence...'' *
prenant l'Amour
au cheveux
blanc
des coeurs
oubliés
Alors et bien
Soit!
Noui
l'effleure
sachant
ne pouvant
forcé
de ne pas
Pas du TOUT
Certain
de douleurs
en
FIN
noyé
des tendres
nappés
de rouges
les anges
déguisés
solidifiant
l'Arche
s'élevant
au-delà
de l'en faire
de l'homme
à madame
chose
prédateurs
de services
à la surface
pillée
'' Nous nous égarons
dans les mots
(moi, pas vous)
ce sont de profondes
ténèbres
et, parfois,
d'effroyables bancs
de sable,
j'ai quelque fois
la bouche desséchée
par les mots,
comme si j'avais
avalé
le Sahara.**
Verlaine *
Tsvetaieva **