Sans plus
il le fallait
temps
allégé
des passeurs
si vide
néant
de parade
six sous
de
Disparition
combien
qui
et surtout
pourquoi
ces vents
sur la fuite
détectée
des poussières
devenues
absentes
d'oeil
de personne
tombant
d'anonymes
et mémoire
incrustée
d'éternité
des suites
en sommes
Attention
sachant bien
le rythme
l'arrivée
du temps
mort
en jeu
de passage
d'où où vers où
repentant
c'est à dire
qu'en fin
l'Art
Nietzsche
passe muraille
créant
des magnificences
LÀ
à la commissure
croyant
'' La virilité
se perd en révérences,
le courage
en civilités,
et les hommes
ne sont plus
que des parleurs. *
Que de prétentions
toutes darwiniennes
ou bien ou bien
d'instants
donnés
instantanés
tout
en
TOUT
Et comment nommer
ce
TOUT
de
RIEN
du
TOUT
'' La vérité
à besoin
de mensonge
car comment
la définir
sans contraste? **
Alors
la véritable
vérité
lui le
MÊME
apparue disparue
et hop!
Amour
désamour
et là
c'EST
TOUT
dit
qui sait?
'' La littérature
est l'essentiel,
ou n'est rien '' **
Oui simple
mais pas
à la portée
du vent des mots
Naître
à jouir
du cul-de-sac
ou
du sac au dos
de l'os
de la mort
et de lumière
en chemin
faisant
tenant lieu
d'entrée
à la sortie
des cadavres
Passer
le plus purement
évanescent
invisiblement
sur la pointe
de pas
du
TOUT
Devant
d'avant
de futur
antérieur
d'étoiles
chimériques
Nerval
et des mers
veillant
sur le plancton
d'ennuis
solitaires
Cela vient
chuttttt
Du bruit
cessant
et l'oreille
d'Arianne
lent te ment
aux caresses
ses pleurs
polichinelles
astuces
comptables
défaites
sales
affraires
de cathédrales
et de maux couverts
Spermes
de ce tremblement
d'inutiles
et d'à peu près
TOUT
Lui parle
d'un
CRACHAT
de neiges
de paysages
breughéliens
de sons
à la porte
des larmes
Dieu est pire
ou plus loin
que le mal.
C'est l'innocence
du mal '' **
Flocons
fondants
sous le soleil
du temps
composté
pour vers
le néant
de qui que quoi?
À genoux
en rangée
arrangés
deux trois
quatre
des tonnes de gens
guerroyants
pour en somme
chiffrés
'' La liberté est
un état d'esprit '' ***
en fin
quoi?
L'oeil
se feuille
en seuil
de sang
d'arbres
chairs
des pas pareils
aux pieds
comptés
de monnaies
troublantes
et envoûter
périmé
d'attente
pas pour
pas à pas
le trépas
des trépassés
d'encor
pour une proématique
prenant source
au coeur
profond du monde
échappé
de son enclos
d'en sommes
d'au plus fort
la poche
des avancés
en arrière
des paniques
stagnantes
du comme i t
des tirent langues
maux du tyran
à caca démie
des ponctions
d'en faire
de la sauce blanche
Et puis
qu'est ce qui passe
qui vient là
en fait de défaite
de
RIEN
cercle vicieux
en vivification
d'ennuis
de toutes les nuits
en plein jour
murmurant
le dernier
à répète père pet
quoi
revenant
d'OÙ
LÀ
mais pas
hooooomme
bis
pas de sur
TOUT
pas
tout
et pour
plus de lumière
malgré
TOUT
Shakespeare *
Bataille **
Valéry ***