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15 mars 2010

Cargaison De Lumière


Socles Et Poussières

Amnésique,toujours solitaire comme à chaques fois sans savoir rassembler couleurs formes lumière.Comme une solitude de multiples sollicitudes ou hors de cela mais est-ce possible? pas d'amplitude une mort à court terme. Esprit diffus comme autant d'yeux que de pores de peaux là pour Voir
Chaque surface au premier geste celui qui signe ma similitude du fait de créer et à chaque fois l'Amnésie ouvre le monde peuple le Silence de la venir...Mais que de terrifiants moments à l'impromptu se manifestent...et tenir,tenir
alors...par l'air ancien conjuguer à ce qui s'ouvre là une disparition,un effacement,un ne plus être au quotidien de la mort, qu'un oubli,un n'être jamais né...

Revenir en rage
repieuter la mortelle
jusqu'à sa huitième
et dernière mise
à vie d'art...
Le temps d'un sursis
avant l'engouffre
du jamais plus.

La vérité un risque
perdu pour rien
Sans elle pas
de mensonge d'art
un sans mains
à la paroi des grottes
noires sang d'Aurore
à offrande
Un saut un sot
en l'inaccessible
quelque chose...

L'Art aveugle signe criant
de lumière encor
toujours plus que jamais
car la Nuit Monde
chaos sans cesse
au banquet des acides
tortures des dégriffés
des induits des fours
boursiers à indice
pétroglyphé des
cargaisons des siècles
d'abattoir infini
des pairs lumineux
d'impuissance.

Des nous de rien Voir
des tue toi du crime
"des sans visages
parce point d'hommes"*
petite feuille
volante aérée du rire
à l'acte-lier
Au Gouffre des Tombant
sans vous ni tu ni je
que mains d'oeuvrage.
Éphémère risible
de Beauté Insoumise
Porte de toutes
les emportes d'A-BLANC
À Rien.



Malévich*