Le vide imparfait
du sans bonheur
ou le plein de joie
du travail
sans création
muri
bocal à poissons
rouges
ou encor
des mots
ciel mer rivage
temps
nuage
et des forêts
détruites
aux tronçons
déroutants
de l'exil
sauvage
d'homme
de rivages
épongeant
les restes
d'outrages
forme de dire
proématique
part d'entre
sachant
la décrépitude
d'ingurgitation
des matières
surréalistes
en autant
de particules
et les menteurs
en phase
terminal
dans la marge
journalières
de la page
d'errance
68 tard
attardés
à la place de l'étoile
pas l'air
sous les milles soleils
du peintre
reprenant
la virgule
sans mots
qu'en coup
d'oeil
voyant aveuglé
du noir entoilé
de terreurs
Éternelles
douleurs
désastres
temps mort
En fixant
le tout
haut-lieu
des oiseaux
d'Hiroshige
ancrées
aux beautés
trié des célestes
créant du proématique
à volonté
laissant les définissions
aux urnes
des morts
surveillés
d'eux les mêmes
retours
en graviers sables
cailloux
trottoirs
des grèves
la faim
payant la dette
de passage
aux grenouillages
alphabétisés
des beaux livres
d'Alexandrie
encor
des Atlantes
avec les poètes
discutant
toujours
avec Platon
du vide sanitaire
créant
les épaulards
lors d'un dimanche
sur grande nappe
avec Vinci
Héraclite
et plusieurs autres
tous sous influences
de flatulences
que l'on entend
si l'on est pourvu
d'enclume marteau
et d'étrier
Comment
en finir
sans fin?
Petit dessin
des suites
en vains
de maux
œuvrant
au jour
en pleine nuit
main tenant
la faille
du voir
retenant
la lumineuse
ferveur de beauté
ayant
lieu
à l'infime
clarté
proématique
d'aubes dégâts
vers...
la fin
tombant
à l'aube
laissant là
le monde
devenant
pas pour tous