Sous les brises
entre deux
odalisques
dodécaphoniques
et quelques notes
de l'autre ailleurs
Ici-même
là où se reproduit
les mises en pages
monde
et l'éternel retour
du penser
Suites
et bergamasque
pour 2
trois et des 0
murmurant
l'étreinte
de l'uni-vers
sensé
avoir sans fin
le sens
ensanglanté
de l'histoire
restée
en conte
de cela des nuits...
Couper
En vain
et pourquoi
pas...ce
RIEN
qui ne communie
ni ne symbiose
avec la joie
de l'univers
en son naufrage
éternel
Après l'exultation
de son bonheur
entre les deux rives
d'éternuitées
pour 8 milliards
de uns
et des poussières
d'errances
compostés
en maobiles
sur le mur
en charmille
formant
une autoroute
à péage
de grains de riz
pour le
UN
De quoi rêver
encor
et si cela ne plait pas
n'en dégoutez pas
les autres!
En Fin
il y eu le
Silence
bon pour la musique
et les mots en maux
et quand le soir
tombe
les arbres conversent
alors
en plein jour
la nuit des 4 jeudis
et le chameau
par le trou de l'aiguille
chutttt...le roi s'endort
et dans la poubelle
de l'histoire
tous ces premiers
que la madame
à manger
mangeras
la Mémoire
Alors la Guerre
est celle
du Sens!
L'accident
peut devient
d'il était
et puis ce qui fut
seras
le reste la vie
échappe...
et puis
la lumière
le
RIEN
...sans dormir
au son du timbre
la religion athée
café
Lao-Tseu
et le Bouddha
Krishna
l'Art
Tenant lieu
d'ananas
au prix
du décroissement
en cela qui
EST
et dans tous les sens
dit Arthur
Au sérieux sérum
de lumière
en part de vivance
au grain
à la couleur
des changements
d'adresses
et d'émotions
De ceci est mon art
ceci est mon temps
celui qui Est
qui fut seras
en Seul
solo de Bach
en cantate
pour un film
de Tarkovski
encor la couleur
après la longue Nuit
d'Attente
les perceptions
en formes
amoureuses
et en suite
l'apnée
délicieuse
d'envolée
vert tendrement
et tout autour
le donné
TOUT
n'EST
pas seul
en fin trié
et passant
hors
la dantesque
parade
des choses
ordinaires
et pleines
de grâces
des hauts des bas
d'en sommes
et les sommets
PAS
ou
du vent
devant
les booms
les has
les chutttts
les chutes
les crisses
de chutes
sans sens
au fond
qu'est-ce qu'une fleur
en Rose
des champs
d'ayoye
tu pique du nez
en bord d'elle
et cathédrale
N'importe
exporte l'ensorcellement
de l'ogre
en prédation
stellaire
et spinoziste
paraphrénique
et deleuzienne
et des concepts
justificateurs
et guidant
le peuple
à sa clinique
du vivre ensemble
le temps que ça dure
l'érection
du passage
à l'acte
UN
exultant
de la membrane
et de la fin
du soupir
d'un fou
jugeant du fou
dans la poupée
russe
et d'ailleurs
Huit 8
couché et perdus ment
Histoire
cherchant le sens
du huitième
après 7
Un neuf
au ciel 9
des marres elles
'' De même que les clous
de charpentier
se divisent en clous
forgés
et en clous faits en série,
l'humanité
peut-être soumise
à pareil distinction '' *
De vielles choses
en somme
et pour peu
d'a-blanc les baleines
de madame
le clous de la soirée
et bien après
TOUT
Et crie
virtuel
un silence
de dents
d' hors
sang
et des maux
d'abandon
À côté
du signe
perroquet
et du sans parapet
entre et ne pas
dire
L'ICI
c'EST
TOUT
Et des larmes
d'amis perdus
cela
ARRIVE
Et ces morts de douleurs
TOUS
contre
TOUT
Mais trêve!
Violence
assumée
passant où ça hurle
et en cet insensé
temps foutu
qu'est-ce que
l'Art
d'être
quel est son désir
au fond d'effroi
des choses
où passe
monsieur le ramasse
cadavres
de quelque patentes
à gosses
d'entrailles
et de fruits
vert vers
à murir
atterré
mais en douce
tendrement
pas pareil
à Johnny
ou l'en dessous
des cercloeils
surveillé
de la société
en sommes
et ses perroquets
et jouir de la défloraison
de la langue
passée au vinaigre
Bon allons donc...
ponctue
ou bien
en mal des cries
que ça
Passer chuttttt....
silence
par tant
de Nature
natures
Et dans les tranchées
MOMAN
vient chercher
ton garçon
et l'ART
alors
Antre
seul valse
pour des feuilles
effeuillant
la scories
du schismes
en taille directe
sur le Tri
des redites
pour les malentendants
du chaos
Boom
et de Vivance
en forme
tenue
d'insaisissables
et joyeuses
ténèbres
en plein jour
proématique
Et des guerres
contre
et pour
l'Oeuvre
TOUT
repasseras
temps sans tant
de solitude
et c'est l'Art
toujours
qui agit
Le mal étant infini
et le désir
d'en finir
au plus câlisse
la mort de l'hômme
depuis le début
du monde et à sa fin
en l'Oeuvre
en
FIN
Melville *