De l'écrit
carriériste
professionnel
du prix
et
cocopris
de la démolition
du déconstruit
des idoles
et des idées
depuis fort longtemps
à la cacadémie
de l'ennuis
remodelant
des faits défaits
accomplis
depuis
que les doublons
dédoublés
par
la tirelire
à de
Bloy
agrippés
à
la pipe
de l'ennuis
magrittienne
nuit
en plein jour
du massacre
sur ne tirez pas
camarades
de la confiseries
et défonceurs
de portes ouvertes
et sur le vide
sanitaire
des pots de pisses
deux fois
Il y en auras d'autres
après nous
et de la ritournelle
pour les élues
convoqués
à libérer
pour conserver
la prison
du verbe
ponc-tuant
la chair
pour faire danser
les bienheureux
de la misères
nommés monstres
bipèdes
Ceci pour le compte
du
Conte
d'il était
avait tt
de la louve romaine
de la réussite
opérer
par
Frankenstein
lui-même
Un imbécile
deux fois
est en demeure
de le demeurer
le temps
d'anesthésier
son lecteur
baudelairiens
Alors
Bon vent
sur le
radeau de la mésuse
( ...les passions dérivent
vers le rien...)
Volodine
ou la belle cochonnerie
d'Artaud
encor
Godot
des réussite
de vivances
Tenir
retenir
le mauvais chemin
qui est le nôtre
petit
dessin
pour les chéri(es)
Ô
temps
que veut
la répétitions
des chéri(es)
le motif n'est pas
seul
une meute
et des hurlements
d'amouir
d'aimer au risque
du sang bouc
le reste n'est plus
l'ART
se métamorphose
selon
LA NATURE
natures
natures
main tient
l'ouvert
pour la sortie
des aimé(es)
sans pogrom
et un socle
antre-nous
vers l'inutile
BEAUTÉ
fragile
fragile
responsablement
amoureux
(L'amour crée
dans la femme
une femme nouvelle...)
Balzac
Sortons en pleine
mise bas
vers les hauteurs
de l'image
du silence
et de la splendeur
d'être
né inutile
et non serviam
à la grâce
de l'ananart
en vers dit
au brisé
du vrai
entre les maux
Gracian
et quelques autres
Bataille
et les milles vies
du chat
pas si pire
et bien mieux
que
TOUT
des circonstances
des circonstances
et de l'inattendus
par ces moments
espace distance
donnés là
en fouillis
schismes
des maux
sans mots
des violences
qui vont à la guerre
et crieront
d'étêtement
vive la mort libre
décapitée
d'innommables
énergies
pour faire taire
la
BEAUTÉ
des meules de foins
chez
Monet
et les cathédrales
s'affaissant
sous le regard du
boeuf écorché
des abattoirs
sans offrandes
à la peinture
comme il se devrait être
Alors
les cries vains
de la profession
après
TOUT
de cendres
de cendres
sans lumière
et bien... .
Soit
Il y a
de quoi rire
et sourire
devant derrière
et au centre
de
TOUT
que la réflexion
que la réflexion
scellée
en
UN
des uns
capitalisée par la vérité
nietzschéenne
en niet de pains
pour le corps
saisi
par les entrailles
de la terre
d'où où verrous
de
l'ART
en ses appels d'offrandes
et d'élections
( ce qui ne se voit point
est comme s'il n'était point )
Gracian
et puis encor
de l'accord
du verbe
et des maux
cela aurait pu ne pas
appart
être
Alors
Des larmes
plein la mer
pensant à
Watson
et
Melville
indissociablement
liés
au devenir
deleuzien
ou encor
la nature
souffrant
de la
MORT
morte
et ses désastres
infinis
en faits innommables
et à de meurt
quand sert
NATURE
natures
natures
répétant sans cesse
et en
nothing to do it
les failles
ses divers ptits
culs lites
simulant
la sortie
par poussières
infinies
sur la
DISPARITION
ia ou pas
ia ou pas
épars justifications
endiablées
de la
MORT
morte
morte
Alors faire histoire
de la démolition
du démolir
Tout est foutu
du philosophe
ou encor
le mal est infini
le bien
art-ô
mauvais chemin
chez main
à l'oeuvrage
vers
Nulpart
AILLEUR
ICI
MÊME
et pas foutu d'être
ICI
MÊME
et pas foutu d'être
haut temple
de la renommée
misère
dans le ciel à soir
en plein jour
En temps réel
sans exceptions
que
Dieu
nous veille
absoudre
en mire à
Miró
et Balthasar
ô
souffle
des boeufs écorchés
des étables
et des corridas
sur les étagères
tremblantes
de la vivance
des aimé(es)