Où plus rien
ne se passe
et la fin
sans fins
comme en panne
limbique
et blanchottienne
là où
l'ART
tient par intuition
sa présence
malgré
TOUT
de la grande soupe
de quincaille
et puis
des pommes
des natures mortes
quelques trouvailles
lumineuses
au concert
bon art
ou encor
couillonnerie
d'ex en pros vent
encor
Un trait
d'Hiroshige
oiseaux
de Vieira
enfin
l'esprit
à quitter
ces lieux
de régénérescences
et d'oasis
main tenant
par l'air vicié
de ces moments
de décrépitudes
de destructions
métamorphose
de la
Nature
natures
en lui
le MÊME
UN
des uns
vers le tyran
le diable
par la queue
leuleux
et sa disparition
après
TOUT
vers la lune
d'à jamais
plus
et
Personne
et puis quoi
les mots
pareil
au temps
du
Camp
le même
mais présenté
autrement
subtilement
pas lui l'autre
l'autre lui
Enfin
l'ART
pour ne pas mourir
de rire
en vérité
des déguisements
que prend la
MORT
pour en finir
avec
le résiduel
art d'aimer
l'AMOUR
vrai ou faux
chaux ou tiède
encor
tout écartillé
dans
Paris
ou ailleurs
ICI
MÊME
La nuit en plein
jour
et d'irresponsables
inconséquences
destructions
tombant
en plein abysse
depuis le commencement
du monde
oeildeguerre
et
alte tu sert
et de la trahison
commune
la même
captée
par la vérité
pliant comme elle veut
par l'apocalypse
son enfer
des affraires
pour la
Mort
contre
l'antre-nous
dernier
au guet de la proue
de résistance
main tenue
bien ficelé
au poteau
sans angle
tenant tête
à la décapitation
universelle
du dieu
a la fin des temps
de quelque chose
'' Nous ne sommes rien
ce que nous cherchons
est tout '' *
Attente
et peur aussi
tenant l'impossible
main tenir
la mémoire
du disparu
Ô
la tête
sur le corps
d'où( rien ne se crée
ne se perd )
au magmas
d'en
Somme
et des poussières
Qu'est-ce que... .
L'ART
voilà
la chose
Plâtre de Paris
(2008-9)
Par la faille
du commun
des guerres
futiles
sur le
s'Oeil
de l'abysse
de cet uni-vers
chaosmos
aux milles milliards
de possibles
et les vertiges
de la conscience
de
l'ICI
MÊME
sous la menace
constante
de la bulle d'air
dans la déveine
du trou
noir
éternité
alors... .
vous avez leurre
2 deux
clins
d'Oeil
d'AMOUR
antre-nous
au triage
de la page
du
CONTE
histoire
Il était avait été
seras
posthume
au verbe
l'ode
post-proématique
au
JOUR
Hölderlin*