'' Le monstre, que l'on
croit l'exemption,
est la règle '' *
... . et qui rira
mourra
du
RIRE
de
Bataille
encor
sous peu
la larme
dernières
larmes
d'Éros
et fin
des
m'à tu vu
l'aujourd'hui
en gris
mortalisé
de la
MORT
morte
La Nature
natures
de la terre à besoin
de son sang
le reprend
les banques de spermes
bien remplies
aux croques-morts
l'innommable
est repus
de
l'indifférencié
et les holàs
de la sarabande
prennent une
débandade
Le style monsieur
les commis sûr
sure susurrant
en sursaut
de la fin du jour
ayant sauté
des billions
d'années
de particules
et des menteurs
De la diversions
serviables
suicidaires
et une délectation
pour la nature
aimée
Ô
tri
de partout
la
MORT
Du GRAND
savoir
en
ia
de la préservation
mot nu mental
au jeu d'os
des matières
désossées
par Frankenstein
and sons
M.Tulp
voulant connaître
l'origine
de la semence
Ô
sillon où
là
TOUT
est joué
et sans exception
contre
TOUT
à moins que... .
le père
Noway
passe
un sapin
à la fée des bois
et se retrouve
en
FIN
NATURE
natures
est pris
qui croyais
(à la petite
est comme l'eau
... .vive... .et coure
comme un ruisseau
héraclitien
après
l'il n:y a plus
d'après... )
Béartien
que
philistins
béotiens
crétins
tarlas
tycounnes
tataouineux
rabotés
d'ia
de la trottinette
réinventant
la rouerie
de la froide
DISPARITION
et plus de (je) crois
de la femme
en sainte
en saint-esprit
sain d'esprit
de
Vincent
Et tant d'opinions
temps courre
fil
amour la mort
l'abandon
des aimé(es)
et
l'art
qui n'en finiras jamais
de mourir
et tenir
tenter oser
se main tenir
sur la grisaille
du faux
et des particules
de vérités
fragiles
parce que
le seul
et l'unique
étranger
des uns contres tous
de pas lui
l'autre
stigmatisé(e)
du nom
Saïs
avec des précédents
Gaspar
Antoine
mort(es)
d'avoir été
VRAI
de la biodiversité
là où mourir
est un art
dans le temps
de lumière
in memoriam
de la vivance
en la forêt du
Douanier
et le dédouanement
du simulacre
de la
MORT
mortes
L'ART
fait dire
la même image
de Lascaux
à
Lascall
et les copies qu'on formes
pour ceci cela
et en ces mots
qui disent
TOUT
de
RIEN
L'ART
EST
l'Axe-Abraham
qui main tient
l'ouvert du passage
à air
l'entre deux oreilles
amadouant
les pulsions
permettant
de comprendre
l'instant
d'AIMER
et porte le vent
dans les voiles
vers tous les
l'EFFROIs
de la création
Et de la mer allée
d'AILLEURS
par le contenir sa rage
quelques fois pas
le ciel manque
et l'âme qui terrée
dans le coeur
fatigue
et peine à attendre
les aimé(es)
de la perditions
des adresses
au
CAMP
d'ia
DISPARITION
Hugo *