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25 nov. 2020

l'Éther Nu


D'après
ou à partir de
la brièveté
de c'est 
fini

Fibrilles
ou sur
la rosée
des coeurs
ce peu
de possible
main
tenant
d'amour
et d'os
en larmes 
d'éros
rêvant
Saïs
pleure
aussi

Des rives
place de l'étoile
à la grande-ourse
pas pire
pas mieux
que chien blanc
rouge et noir
l'étranger
voyage
au bout de la nuit
tartes au pommes
 et fin du monde
le lundi 
commence le samedi
le roman
histoire
pour dix traire
quelques
neutrons
a repenser
avec le père
la chaise
et un rigodon
Trop tard
pour un rendez-vous
avec la lune
tout est possible
et l'habitude
à tout
ce qu'il faut
pour faire
peur au monde
à la fin 
des temps
de tant
de morts
de de des 
y en auras
d'autres
 romans
et des rats 
rances
et des entretiens
avec soi
et honni soi
après TOUT


Linotte
et la couleur
des sizerins
oiseaux
et du duc
conte
du marquis
des maquis
Reconnaître
le liens
sait que vous
savez
Sade
l'autre mont
aussi
Sans soucie
l'oiseau
de la plus
haute branche?
Alcatraz
 sortir
s'évader
insister
tenir hors
la Ténèbre
oiseaux
Minerve
déridant
le désert
Grands
vents
sur les voiles
et les voiliers
d'oies blanches
racontant
Saint-François
Vinci
et des peintres
à oiseaux
et 
d'Aile
et des mains
et des yeux
et des pieds
et l'intemporel
et la création
etc tce ect
Allons...
au bois
le rossignol
chante
de cantique
en Cantos
de repentance
ou résistance
et en de pour
encor
et en corps
...
la linotte
avec au coup
la mélodie
d'un requiem



Ici tantôt
pas là
si déjà
voilà
s'était
cela à été
seras
et ciel
noir
et or
des récitations
de peintres
à
 se croire
ce que l'on est
que l'on sait
être
que d'apeurés
paquets
de larmes!!!



Les yeux 
des animaux

'' L'homme est une corde
tendue entre
l'animal et le surhomme,
une corde au-dessus
d'un abîme'' *

...et ivre
de choses
empoisonnées
d'orgueils
et de fausses
sceptiques
fosses
fauchent 
La mort
de fait
rend toute
chose
insignifiante
Là tu est ceci
cela
bien en vue
applaudie
adulé
et seul
quand ça arrive
si le temps
le permet...
Et que sont les mots
ici là ou ailleurs
de La Tour
et le crâne
de la peinture
ou Watteau
les embarquements
encor
le Douanier
l'enfance à volonté
enfin 
ici se démasque
bergamasques
mascarades
et la suite
de ce qui fut
seras


Ceci est 
de ce qui
aurait
put être
n'à pas
et c'est bien
Pas besoin
inutile
 brièvement
la vie
D'autres
en fin
jusqu'au 
dernier
disparu
d'Abandon





7 oct. 2018

Vrai


Voie De Silence


Conte sans p
égaré
à la gare
au quotidien
des faux airs
Outardes
sans m
au nez de tous
de la banque
on the road
fuyant la mise
fécale du rôle
du menteur
ficelé du paquet
au parc du palais
de l'Élysée
crachant rouge
la laideur
du fourrage
à vaches enragées
Certain qu'histoire
de dire la justification
de tout en tout
et partout sachant
que tout tourne
autour de la Vérité
d'Esprit seule
légitimée de vivre
la VRAIE vie
Air d'atomes
le UN des uns
s'envole céleste
avec les oiseaux
de toutes les couleurs
que Brel aimait tant
de toute manière
le pronostique
est pas fort
Sans fin à moins
que d'écrire un roman
Il était avait été
sera vendu en kiosque
Par la suite
le réel la fiction
l'imaginaire
s'amalgame
passent à la ième
explication
du SILENCE
en cache mots
soudain c'est OUI
sans liens
avec un satori
qui gèle en son signe
comme (la nef des fous)
de Bosch au doigt
qui pointe la lune
se retrouvant dedans
faisant son histoire
du mot chien
qui se mort la queue
du mord encor etc.
Conte menant
à dire l'abîme
de la vérité
qui ment de circonstance
tombant là où s'épuise
de suivre le suivant
qui a lâché prise
depuis la fin du monde
dès le début
et le des nous ment
à la fin ces feuilles
au vent qu'il fait
pour en finir
avec ce qui
pourrait bien
être la vérité

En sommes
seulement
tirant ses ficelles
d'où le RIEN
fermant les yeux
dans le noir idiot
donnant sur la joie
se reconnaissant à cela
ICI EXACTEMENT
L'éphémère reprend
le LÀ ses attributs
créant la création
l'art donne le Réel
ou pas...dans le CADRE
de la Vraie Vie
ICI MÊME
acte de foi maigre
à la moelle obéissante
à des propositions
d'âme à homme
à première vue
indiscernable
de LÀ déroute
faisant la joie
du RIEN
allant Nulle-Part
disant ne le pouvant
bête comme Kubin
après la traversée
du mal-être par l'Art
aimer l'Amour
à ne pas mettre en scène
la paire ce voir
des mises à jour
sanguinaires
du fruit de la prédation
des chairs brûlées
gelées pétrifiées
en cendres au jardin
des malices fixées d'éternité
Tu te rappelles
tas de journaux
en maîtres mots
Enfances angoissées
à l'urgence des morts
étêtés du dedans
menant cabrioles
à progrès du four
aux abattoirs
à l'évacuation des cerveaux
dès le cercueil imposable
aux tires miroirs
pour un tour
en bateau bouclant
ainsi le ne pas donner
pour un laisser prendre
rationnel captif
et saisie dans son incapacité
de payer...
Ce qui change
encor en corps
guerroyant loyal
imperceptible
univers si grand
si petit...
Dedans dehors
labyrinthe spirale
métamorphose
signe sing...
Raconte encor
tient pas tout
pour dit fait léger
uni-vers dire
qui sait d'autres
même tout est de trop
cela se dit
roulant la boule
faudrait bien un jour
arriver à Itaque
le père de Zède
portant l'errance
sur la douceur
de Personne
Évidemment
l'aveugle de terre
jusqu'au centre
de l'enfer (tragique)
devenu incandescent
prêt à se faire reforger
non de pâtes mots mais
de résurrection d'abcdêtres
vivant mort autant de fois
que l'Art le permet
ou que l'Esprit
concocte de voyance
ceci dans l'euphorie
du monde
Art pour en sortir
mais de quoi au juste???
De l'Art?
Du monde de la vie
du vivant de la conscience
de quelque chose???
Étrange...

Quand ça commence
c'est la fin...
Dès le début
les jeux sont faits
Hors la portée
de cela qui EST
sujet verbe complément
des mots en sommes
Oignons steak dans l'assiette
grain de riz
vents et poussières
de la culture fixée
ficelée embobinée
sur le fuseau horreur
compostant
du composte-t-elle
en famille état
écomomique
et banque route
Tout conte fait
contre compte
"Le progrès
et la catastrophe
sont l'avers l'envers
d'une même médaille"*
Par les disparus
rayés du chiffré
éconduit
vers le UN des uns
étêtés paradis fils-co
totalisant l'éternité
Abandon ou boom boom
balaboom
BOOM enfin
le règne du secret
régnant insaisissable
histoire de nid d'oiseau
en tour de bébelles
TOUT ça pour RIEN



Chaosmots


Voir images de dires
or alchimique
de la joie de perdre
(part mots dits)
éloignant le diable
et sa queue
des laves mains
de 9 milliards
de très tard à la fin
du monde
espérant mettre un point
de création dans l'univers
du chat des souris
et des hommes
Créer prend l'air
d'aller Voir
le dévoilement
de l'obéissance
Tant de choses
à mâcher vert délivré
de l'hiver du vers
a soi sans sujet tombant
du tableau (de la table)
en miettes de faim de vie
Sortir de dents de dort dîne
puis non mieux
s'esquisser en s'esquivant
devenir revenant
extérieur au corps capitalisé
déshabité de lumière
En lie de Silence
d'air ambiant tombant
par la sortie d'envol
écartant l'écho
des apprentis sorciers
pré chie prêcha déchût
du Camp des abandonnés
du ciel et de l'enfer
De LÀ délivrance
distante du mot à maux
linguistique tralalala
quotidien
Chose absente à Voir
devenant devenu
devant redevant
à RIEN repris rebuts
et corps y jouent l'Oeuvre
À l'or d'a-blanc
donnant un nuage
de vertige et l'ailleurs
est plein d'ici d'ailleurs
C'est sans âge
et cent histoires
Papiers dépliés
noir sur noir
et de poussières
désencadrés
voilà long time ego
l'éloge jadis fait
à l'enfant aux cheveux
blancs (gris?)
Vrai comme le pur
noir sur noir l'inverse
le silence de même
Dieu et diable et l'Art
chants d'oiseaux
dans le bruit du monde
en bribes repos
de détritus jobinant
quelques nids niches
abris...de fortunes
...instants fugaces
cadrés y revenir
recréer ou de RIEN
de 9...la 10 ième
11121314
2122232426
5 5 5 5 5
de morts sans suites
Là ce maître-là
l'inconnu vrai ment
de la chance ou pas
bien entendu que non
injustifiable cela est
IL Y A ce qui EST
malgré l'imposture
de cette chose
Ce besoin de joie
pour descendre
aux en faires
de ce manque à dire
vraiment




Arendt*