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12 juin 2024

L'ART D'AIMER


Et de la mécanique
à être ceci cela
ou de la manipulation
éducative
pour... .
et les us et coutumes
là président
là éboueurs
ou débosseurs de vitres
cordeurs de brins de scies
médecin
 charmeur de serpent
peintre en bâtiment
ou de musé
IL Y A
de on vous attendait
au pays 
de la mortalité
infantile
Plage horaire
à combustion lente
mais payante
de 
TOUT
pour faire un monde
Aligner des mots
pour des maux
de qui vive
en temps d'économie
humaines
de n'en jeter plus
la cour est pleine
8 10 milliards
sur la terre comme au ciel
et des meneurs
droites gauches
centrés
créés pour ça
la girouette
d'autant en emporte
le vent 
et le monde
va où il doit
au doigt et à l'oeil
de lui le
UN
des uns
amen
Alors des mots alignés
pour quelques couleurs
lignes formes 
organiques 
ou géométriques
sur la feuille
ou toutes matières
pouvant désemmurées
le murmure
de la prison
de l'âme
Et de là
s'éloigner
du 
TOUT
(de la marche en dise)
NATURE
natures
ayant invisiblement
changées
 l'incidence
de la respiration
du lien affectif
de ses composantes
propices
aux naissances
tranquilles
et apaisantes
en des relations
nuptiales
du coeur à ses raisons
que la raison...
ou encore
la
MORT
chez Hegel
là cette relation
est rompue
et la métamorphose
change le cycle
planétaire pour
 la grande
DISPARITION



De ce qui
EST
et 
TOUT
relatif
aux perceptions
des sujets
en celui universel
obéissant 
à la loi
de la
NATURE
natures
et pour la
MORT
en toutes les sortes
de morts
( croyances
et le corps
abdiquant
maladies
adn... .)
devant la dévoreuse
alors ce qui soutant
ces faits
et bien
L'ART
qui ne progresse pas
et qu'il le veille ou pas
est fixé
sur le
 s'Oeil
de l'abysse
et f'Oeil
le néant
de la conscience
laissant passer
la lumière
du temps
où s'engage
le penser
de l'être
maintenu
par 
L'ART
de la création
de la perception
de la 
nature
en son incommensurable
EXISTANT
alors 
ART
et
nature
comme entités
lumineuses
et donneuses
de ce qui
EST
en sus
et en 
don indifférent
envers la poursuite
NATURE
natures
L'ART
est inutile
et comme tel
la
nature
indifférente
parce qu'éternelle
et
L'ART
esprit
de l'embellie
en épiphanie
symbiotique
SACRÉ
du vivant
Alors
fait moi un petit dessin
Pas faire beau
faire 
VOIR
rendre le visible
VISIBLE
et dire par le dessin
le dessein
en l'horrible
séjour
des martyres
aux jeux pervers
et terrassant
les chéri(es)
sous le regard bien
lâche
des déguisés
de la mécanique
du progrès
sur le grill
où brûle
les anges
et par un dessin
exempté
d'y participer
de la
MORT
morte
Dessin
 comme un laissez-passer
pour plus de lumière
Donc renouveler
le regard
vers le visible
VISIBLE
esprit et corps
confondus
Et ne pas y être
et surtout
pas
obliger
jouer un tour
à la horde artistique
Le temps
est terrible
et il avait raison
le poète
en avançant
le pire


TOUT
est en 
JEU
du monde
et les cases sont remplies
plus de place
pour y créer
quoi que ce soit
Comblé
et
Dieu
en sa présence
absence
se détourne de sa création
DISPARITION
et le retour droite gauche
centre
idéologies
ont écumées
la part de l'histoire
en son ennuis
d'avoir réalisée
conclue
la fin 
des temps
Alors posthume
à
Socles et Poussières
et les rognures
résidus
après le départ
de l'esprit
dans le temps
Mais... .
Le doute
est constamment présent
quand un petit
dessin
se présente... .
signifiant 
l'ATTENTE
Tableau
hors la cité
du commun
Alors
que dedans dehors
aérant
la seule 
Joie de Vivance
en toute
connaissance
 de cause



La fin de la pensé
ou bien a t-elle jamais
commencée
Wittgenstein
...(faisceau de lumière absorbé
par l'inutile... )
Jaccard
et pourquoi... .
Se tenir hors
la gangue
la gang
de destructions
prédations
D'eux les chéri(es)
les scrappées
de la prétention
Alors
la pensé
chez ces gens 
d'entourloupes
Mais qu'à a voir
L'ART
avec la perception
osmotique
d'AIMER
Tenir à distance
la
MORT
morte 
la plus dangereuse
car dedans dehors
dévorant
la
JOIE
de la vivance
Soyez triste
la 
MORT 
vous aime
morts



Encre de Chine
sur papier
Fabriano

5 mai 2024

L'Art Qu'On Prend


Plâtre de Paris
en reconstruction
pour 
vandalisme
de l'ART
après
TOUT
Au bout de l'histoire
à la fin
du
Conte
et ses personnages
ses mots
en des maux
éclatés
de particules
et les menteurs
l'illusion
dans la
VÉRITÉ
des bêtes
d'abattoirs
par l'horrible
conscience
de la chose
à passer
en toute innocence
sous l'emprise
de la
MORT
éternelle
c'est à dire
qu'elle passe
en travers la conscience
 insensibilise
la frayeur
d'être dépecé
dedans dehors
(maladies loi des cents
mrx )
annihile
TOUT
L'Esprit
de l'histoire
ayant fuit
son
Dieu
mort
qu'est-ce que l'homme
après 
TOUT
la main sur la parois
de reproduction
du même
UN
des uns
MORT
DISPARITION
de morts mortes
Et main tenant
Giacometti
sauve le chien
en le sauçant
dans le bronze
 pour une invitation
à vivre à pris
dort
dans le lit
terrible
du loup
déguisé
en grand mère
de
Perrault 
au passage
des murs
du musée
amusé
de ses prises
à gros prix
est pris
qui croyait prendre
sans la réponse
à
qu'est-ce que 
L'ART
sans la penser
du penseur de
Rodin
figé en sa question
IL Y A
OU
PAS
ART
ou mieux
le
RIEN
évidé
de son
RIEN
et faire avec
ART
sans dékoonsner 
ou encor
finir
'' Que suis-je?
Je suis à la place
d'où vocifère
que l'univers
est un défaut
de la pureté
du Non Etre '' *
et puis là
 Ô
Tseu
et la vague 
et la ligne
Hokusai
l'asperge
les nids
les natures mortes
dégustées
en famille
de pas lui l'autre
et dans la grotte
bunkerisée
l'humide
des mots
 de la cochonneries
aux mains sanguinaires
de la machine
à dévorer
non pas des yeux
mais
NATURE
natures
sans la lumière
du chaman
lumineux
sourcier
de 
l'ART
Ceci car sous peu
dans les faits
TOUT
seras figé
dans la répétition
figée
fixée
et le coeur
marbré
en sa fin
le tableau
monde
désertique
et inexistant
en son mausolée
du
mot
DIEU
blanc sur blanc
coiffant
l'atelier rouge
décorant
la place
'' Dans la nuit,
plus de noms,
plus de formes ''
Alors après
TOUT
qu'est-ce que
L'ART
et les chéri(es)



I Y A
de 
TOUT
en réalité
une illusoire
main mise
sur
le point de départ
sanguinaire
bisons buffles
chevaux
petites et grosses
bêtes
poussés
à la
MORT
et de même
ce
TOUT
qui pas lui l'autre
etc
qui ne voie
plus le trou noir
de la dévoration
alors
Cette ignorance
va où ce doit
l'IL Y A
Pas de sacré
d'offrande
de reconnaissance
UN VIDE
la
DISPARITION
en somme
dans le réel
et son accroire
à l'envol
sur le bord de l'abysse
mimétique
et alors
L'ART
cet à côté
dedans dehors
la horde
de la
MORT
morte
Et bien 
L'ART
EST
ce qui advient
toujours
après
TOUT
En cela la mémoire
ancestrale
in memoriam
main tient
sa lumière
même devant et surtout
l'impossible
( amour larmes... .
et
JOIE
suprême
avec les chéri(es)
L'ART
d'être
antre-nous)


Lacan *
Adamov **

21 avr. 2024

Antre-Nous



Le didactique
est l'image
et elle n'est pas
responsable
du texte
et de ses faôtes
et de la pensée
qui circule
en ces mots
sans la ponctuation
et la mise en forme
normale
L'auteur sans Je
et sans le sujet du
 Je
du moins en grande
partie
n'y est pas
Ce n'est il semble bien
que quelques idées
 prises au gré
des circonstance
de la vie courante
ce qu'il (l'auteur )
nomme le
TOUT
S'y considérant
lui-même
en faire partie
sans le Je 
ne conservant que le Jeu
Jeu des mots
des idées et des mots
qui se jouent du Je
Enfin
l'IMAGE
elle se réfère
à l'esprit des de 
l'IMAGE
semblable à l'esprit
de la lettre
Alors 
TOUT
intention
en ces approches
littéraires
sans prétentions
ne se justifient 
que pour une relative
approche 
de l'ART
maintenue
en son histoire
mais qu'une opinions
parmi beaucoup
d'autres
( Facteur Cheval 
et Wright Douanier
et Pablo) 
Ou encore
les visions
de la
Poune
et celles de d'Avila
Bref un jeu
avec ce qui
EST
destin ( amor fati pour
Nietzsche
et risible
pour Ti-Zoune )
Alors
De la classe des rebuts
à la classe
des biens sus
et de la savance
des savants
avec ou sans Socrate
Et voilà
c'est repartit 
pour les fables vraies
et pas menteur du
TOUT


Reprise
d'IMAGE
posant on peut l'imaginer
pour la dextérité
au passage
de la vérité
en peinture
celle du maître d'Aix
ayant conduit
au cucube
et aux dripes
et bien poussant
Poussin
plus loin
que les débris des citées
et villes
et passer
les surréels
les lyriques
et
Francis
et les déconstructeurs
et les 
les peinturlureux
et les kooniques
et la caméra
des japonaiseries
Alors
oui
main tient
au-delà
du surréalisé
qui encore
prétend simulacre
à la suffocation
du
MONDE
tel qu'il est
par cent ans de solitude
ou encor
le temps perdus
ne se rattrape guère
Barbara 
etc tec cte
Évident qu'il faille
passer
et personne
n'y échappe
ni Celan
ni ci haut
qu'on le veille
et bien
Passons
avec 
Dante
Monteverdi
Art-ô
et Offenbach
encor
avec le nihilisme
terminal
et ses collabos
gauches droites
centres
et la fin
de l'histoire
Pour la suite
la résurrection
posthume
à la
DISPARITION
baudrillesque
et de là
l'embarquement 
pour se
Taire
pour un bon bout
de la palette
aux natures mortes
à 
NATURE
natures
reprise et réembarquée
en terre rose sur rose
et innommée
pensant
à Schubert
la jeune fille et la mort
la
MORT
morte




Et nous irons
avec Rossinante
et le crottin
des riches
promenades
avec Samsa
Sancho
Pancho
et les Tris 
Stooges 
sous le bunker
refroidi
du coeur et des entrailles
TOUT
en poussières
de jamais plus
dans le sous-sol
avec Fiodor
Après
la
NATURE
natures
LE RÈGNE
DE LA
MORT
et bien et bien... .
Qu'est-ce que
 l'ART
qui n'à jamais été
et pas vivant
qui n'à
que la
BEAUTÉ
L'AMOUR
et la
JOIE
idéalisés
imaginant
que la montagne
est belle
celle de la
Sainte-Victoire
qu'une odalisque
ne saisirais point
le salaire
d'une complainte
pour un trou badour
pas celui d'Henry
mais pas le
 Rocher De La Vierge
que le trou
où le bas perd son nom
mais
le trou noir
du néant
en son
TOUT
Alors de là
la question du 
TROU
du beigne
du grain de riz
et de l'oignon
en leurs restes 
encor
Moments d'instants
pour le
CONTE
en images
vers les îles
pas lumières
de Leduc
mais celles 
des chéri(es)
et l'antre-nous