Ça glisse
et comme
commencement
le vent
prend d'assaut
les pires tempêtes
dans ces instants
de ce qui
EST
ICI
MÊME
proématique
arche
de no way
'' Nous ne parvenons
jamais à des pensées.
Elles viennent
à nous'' *
Pas au moment
d'en somme
mais dans le plus
seul
que
SEUL
En travers
les rivages
d'éblouies
Verbe
ou bien
t'est mort
LÀ
et puis
non
c'est autre chose
une ligne
de silence
un jeu
idiot
dans la gueule
de l'angoisse
dévorant
la vivance
en cris
de
RIEN
...et de lui
pas lui l'autre
non pas non
lui celui là
lui
NON!
Des nonos
teutons
des lui le même
grognements
crissements
en détentions
gardés
d'apprentis
gardiens
des viandes
d'os
d'excréments
D'oiseaux
de cellules
barrées
portes
écroués
du
Camp
des synapses
en pièces
asséchées
sans fenêtres
Là c'est eux...
là c'est vous
demain
vous
ou lui
encor
la
MORT
qui pense
le peux?
L'introduction
de la mort
dans la vivance
le verbe
à mots
des maux
au seuil
du Paradis
de la lutte
et des morts
plein
l'Histoire
d'un compte
en banque
Or du vos poches
crevées
des boucs
lapidés
d'anthropophagies
restantes
d'abattoirs
mal nettoyés
des biens pensants
de la détresse
misère
des enfants
de la lumière
aux armes
citoyens...
Etc
cte tec
des scélérats
au jeu damé
de la trempoline
de Goya
au passage
de l'effroi
lumineux
que
d'Être
ou
Pas
'' L'espace
est un corps
imaginaire
comme le temps
un mouvement
fictif''' **
En tant de quête
l'enquête
porte sur
la moelle de l'os
Grogne
de la courte paille
de la chaise
musicale
de la liberté
de quoi?
Des droits
de vivre ou pas
Bakounine
ou Dieu
sait quoi?
En vérité
un verbe
au moteur
d'écrire
un conte
tenant
lieu
liant
les méandres
de l'ennuis
qui éloigne
le bonheur
d'aimer
Heidegger *
Valéry **