Et cela
se poursuit
commençant
par ceci
qui aurait put être
aussi
la misère
des aimés
venues
donnant
des peux
qu'ils n'ont pas
Moi qu'est-ce?
Cette chose
en tous
donnée
de toujours
ordinaire
l'âme
la même
une
une
une
une
RIEN
un rêve
qui ne sait pas
Juste
RIEN
Sentence
retirée
de ta chair
aimante
en ton coeur
C'est raté
ce qui
de ces mains là
éduquait
le temps
qui n'est plus
que cendre
Passion
contre
sentiment
et des idées
sur
des blessures
interminables
jusqu'à
la fin
la même
la vie
Cette chair
de lit
l'oeil bleu
celui de Vincent
Et d'avancer
sur les cimes
de quoi...
Mais de quoi
s'agit-il
ça parle de quoi là?
Après l'orgasme
l'or du temps
l'extase
l'élévation
d'un coït
de terre amère
Le travail
labeur
les enfants
cette danse
du quotidien
instant
t'a né
Ecœurement
enlèvement
vers la mort
Pourvoyant
paradoxalement
fêlure
et les gouffres
imperceptiblement
métamorphosé
en nourriture
terrestre
en fin
OUI
'' En résumé
seul m'importe
donc le tribunal
des hommes,
et par surcroît
c'est celui-là
que je veux tromper,
sans qu'il y ait tricherie
toutefois'' *
Effroi
que
ÇA
Que de l'en faire
des misères
et des fers
forgés
aux têtes
d'ennuis
vices cachés
DISPARUS
L'Oeil du Conte
Pas d'ici
c'est du brillant
du mat
au radeau
des mésuses
il faut
de l'usure
du vieux
un oeil vicieux
avec de l'âme
car en vérité
ici
ça came
canne
et flèche
le canard
très tard
Jamais la sortie
n'à été
si étroite
une jeune
écarquillant
Non!
Pas de ça...
Autres mensonges
Peur
pomme
Cézanne
le Paradis
chez les diablesses
en bleus
triangulées
du maître
aixois
ex-votos
fissures
Redondance
et tant
de mimétismes
qu'UN CORPS
solide
en FIN
Sans dire je
JE ou Je
cet
ensemble
comprenant
à voir
virant
pensant
au tour d'écrous
au quart
de tête
encor au
ne pas
tenant
pour
RIEN
Kafka *