Ex Terminassions
de l'Image
empire
du cygne
Sous peu
la terre
atterrée
d'en taire
OÙ d'OÙ
verrous
OÙ
la sortie du sort
louvoyé
aux A marres
vers
Nulpart
d'en
Somme
sur l'épave
d'Après
TOUT
coulé
dans le béton
armé
Les mots
résiduels
du
AH!
LA BEAUTÉ
en ce mot
juste
ce mot... .
Et déjà
le tremblement
du coeur
posthume
après
TOUT
LÀ
OÙ
l'UNIVERSEL
s'invilisible
ce lit sans faute
s'en ponctucifice
et reprend du sens
et saint sans sang
hors
l'extravagance
à conserver
ce qui
est mort mortellement
atteint
de prétention
le
V
des outardes
la plume
de
Montaigne
et l'envolé
de la
voie
en
TOMBANT
d'outrages
à l'air
vicié
et absence de fin
en des derniers
échos-systèmes
de
faires semblants
de quelque chose
plutôt que
RIEN
ICI MÊME
apostrophé
par
Saïs
Au début
et bien avant le soi
était le
VERBE
du dedans dehors
le
TOUT
Et quand la conscience
s'écrase
la lumière
instant d'infime
repousse
de la
VRAI
vivance
retrouvée
C'est à dire
ce qui l'accompagne
comme par magie
l'ANTRE-NOUS
le
JE T'EST VU
invisible
invincible
AMOUR
quoi qu'il se dise
l'amour est un coït
d'uni-vers
infini
Là c'est lui
demain lui
hier lui
et pas de lui anse
où s'arrêter
pour aimer
et perdre
la raison
de l'insensé
Et quand le pire
empironne
un petit
dessin
à la place
du bon
DIEU
au lieu de lucifer
Et '' Les fleurs de l'été
entremêlaient
sans ordres leurs parfums... '' *
Bon noui
et
d'OÙ
maintenant
alors
et après
bref
époque
à
TOUT
la vulgate
par le déguisé
en petit bourg
et bourré
gouré
d'ensevelies
au passage
Et la
DISPARITION
froide
en maître
sur
TOUT
jusqu'au
UN
des uns
de l'ennuis
univers... .
RIRE
de
Bataille
et dire ce qui
se désintègre
et disparaît
maladie
de la terre
et du ciel
et des savants aux patiences
risibles
et naïves
sans savoir
disparus
les premiers
du chiffre
ayant chiffrés
leurs miroirs
au bord du même
gouffre
engouffrant
leurs faces
à farce d'avoir eu
RAISON
TOUT
est
très codé
qui explose
à la lumière
de l'imbécilité
de
prétention
atomique
Mots voyous traîtres
menteurs
contradictoires
errants
ICI
pour l'image
et main tenir
la fente ouverte
où prendre un peu d'air
avant le dernier
râles
et étouffer
mon grand secret
l'esthétique
seras l'éthique
vers...
après
TOUT
au-delà
des mots à maux
qui ne rythme plus
la disparition
et la
MORT
du
TOUT
agrippé
à la morte
va son désir
inconscient
d'OUBLI
que la
MORT
n'à pas
d'OUBLI
Ce n'est pas un monde
qui
DISPARAÎT
c'est
l'univers
qui s'engouffre
dans son quotidien
posthume
de la petite
mort
devenue
la
GRANDE AVALEUSE
à la faim
des fins
Degas sur son lit
de
mort
Keyserling *