Bach
et loin
et si chez-nous
baroque
du toc
et des tics
ou du kitch
en quiche
de bouffes
appâtées
par des mouches
errantes
sur le cadavre
de la grosse
louchant
de vengeance
Bref
des bisons
ravis
ou pas
Où cela va-t-il
finir
de ne jamais
en somme
monnayée
sa venue sur terre?
Absurde
stupide
scandaleux
incompréhensible
Chopin
Richter
que ceci
soit-il
Triste figure
en trou du cul
et légèreté
de ce qui
le demeureras
insoutenable
mère
du vice
Et des choses
cachées
depuis
tant de morts
de nouveaux nés
là pas là
un peu de lutte
c'est fini
Un papier
en titre
de gloire
du vent
c'est terminé
Enfin
dans le sans mémoire
le décorum
le sablier
la grande avaleuse
c'est bref
la Nature
natures
et ses représentants
T'auras beau dire
jouer
ou pas
servir
ou pas
faire semblant
ou pas
avoir été
ou pas
Pas à pas
petit à petit
très petit
au début
et à
la fin
En dansant
avec les fous
la sagesse
se porte
à sa ième
dimension
s'élève
et tombe
comme un éclair
avec plus de folie
encor
c'est
l'apoplexie
final
de l'esprit
dernière
étape
de la coquetteries
du vivant
Écrire à dessin
de dessiner
l'inverse
Lignes
et mains sales
au palais
des beaux jours
où Sam
réussie
en attendant
Grodos
le tour
de payer
sa note
et fuir
avec
le prochain
car
vers
Nulpart
Cesser
de dire
de peindre
de perdre
le temps
qu'il n'y à pas
Qu'elle leurre
est-il?
Mozart
motsart
'' La musique
commence là
où s'arrête
le pouvoir
des mots '' **
ou encor
en a corps
et organes
seul et son
génie
de Joconde
compris
toujours
jamais
pas là
mais LÀ
sur la clef
du sol
invisible
éternité
musique
pour marteau
enclume
étrier
à l'hymne
de la joie
longtemps
après
la portée
du vent
voilant
le palais
que
d'Être
'' Ce qui se passe
se sont
des mots'' *
...de cela
Céline
wais...
que viens faire
ce monsieur
là?
De quoi parle
les langues
dans le vinaigre?
Et qui mange
les mots
à maux
De sacrés
farceurs
embourbés
dans la fange
du réel
bloc de marbre
noir
où le crime
rime avec pof
C'est là
guéguerres
des Guerres
mieux
Le temps
de passage
est court
Passé.
Beckett *
Wagner **