Le but atteint
tu reprend
l'Ailleurs
et attend
ce qui infiniment
se présente
Cherchant le vrai
du faux
et c'est fixé
que ce monde!
Enfer et paradis
pour un Camp
qui sait
Ça va
y vas ...
tous seul
chutttt
insensiblement
là
festif
le steak à la main
au cercle
des bisons
en famille
ravi
re vie vi fié
du jour
nécrosé
éteint
Malingre
ô
ruse
maline
tes yeux
n'ont jamais
mentis
dès le départ
était
l'arrivée
Sur le chemin
des joies
futiles
et bienvenues
changer
la lumière
au noir
des couleurs
qui de mains
reviennent
Tête chaos
tête
aimée
comprise
et bâtie
sur l'art
du beau qui passe
instants
d'instinct
céleste
comme une trêve
dans un rêve
Contrat
diction
dit-on
ou quoi
qui que
peuvent
en corps
les mots
Quand dira-t-on
les jours
rythmés
de morts nés
d'arraches
mises errantes
au lotos
menteur
des convictions
imaginées
de faits
inexpugnables
en soldes
sur un tapis
roulant
le déni
Où vas
ce crépuscule
fatigué
de camouflages?
Ces papillons
oiseaux fleurs
qu'AMOUR
à regarder
dans l'oeil
du cyclone
extirpant
du coeur
univers
l'oscillation
colorant
les ténèbres
de milles
brisures
en larmes
Et des verts
attendries
juste
un jour de
parade nuptiale
et mélancolique
au centre
splendide
où se noie
d'abandon
la dissonance
des ses pas
Ce Silence
tenant lieu
par une main
de vivance
Pareil
aux animaux
qui connaissent
très bien
l'Enfer
où ils sont!
Dire
avec le peu
logé
de cendres
en restes
en bouche
tordue
du cri
de Munch
ou encor
des touchés
à vif
corrompus
de censures
enfirouapés
du malheur
en bloc de marbre
noir
Sentence
par la mémoire
ancestrale
du gros
cailloux
des morts
d'Or deuil
du
il y a
LÀ
du
SACRÉ