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30 avr. 2024

Et D'Un Néant


D'insister
pour dire
ce qui pourrait
sans jeu
et sans je
et sans ponctuation
DIRE
NÉANT
pareil à
Cioran
(Dieu point extrême
de la solitude
et entretient
avec le néant )
Et
 L'ART
ce qui se répète
à père pet
jusqu'aux entrailles
de la taire
et son ronronnement
infini
et fini de la
condition humaine
L'ART
aussi
en sa nuit
retourne
et sans nom
se positionne
hors du processus
capitalobébelles
et le garage
muséal
pleins à ras bord
CE QUI
se présente
est cet art
sans nom par qui
 le sacré
l'esprit
ayant pris la fuite
hors 
l'EFFROI
qui se laisse
VOIR
visible
VISIBLE
et qui seul en reste abominable
se main tient
en tant que... . 
Matisse parlait
de forme de prière
mais non
en forme d'exutoire
et devant
l'abysse
et le terrifiant
( Les chéri(es))
d'à jamais plus
et bien de cela
TOUT
ce qui se pense
est ce qui ne se pense
plus
LA MORT
morte
le 
TOUT
en miroir
quotidien
compostant
pour le 
UN
des uns
führer ou dieu


 Le projet
en vérité
est celui
de si c'est pas je
c'est l'autre
sur le
BBQ
de
Noway
Avancer
en surplace
au
PRÉSENT
d'instants
fastidieux
et insensés
jusqu'à l'extinction
du programme
par
DISPARITION
très subtilement
imperceptiblement
dedans dehors
laissant le lieu
au
MAÎTRE
monde
magma chaotique
de chairs et d'os
que torture
des robots
de lui
le
UN
des uns 
tyran
visiblement
invisible
par l'étêtement
du sujet
qui n'est plus
à la hauteur
des nids de
Vincent
des asperges
et des petits poissons
de nature
morte
Qu'est-ce qu'un poisson
sinon quelque chose
en vitamine
protéine
calculé
par des machines
que l'on trouve
sur une étagère
au prix du pris
qui croyait prendre
et de cela au point
du
TOUT
pour
un vide
dans le vide
du vide
DISPARITION




Bon et voilà
ce qui ce dit
seras
et s'y désenvoûter
d'Artaud
de même
que l'emprise
et de la condamnation
que d'être
ou pas
shakespearien
en cioranesque
TOUT
est foutu
soyons heureux
rossettien
Alors 
( je sais ce que je mange.
Je ne sais pas ce que je fais )
Dali
et sans aucune
commisération
pour les bêtes abattues
et des nourritures
en agissement 
de tubes digestifs
sans plus
sans pourquoi
et sans voir
l'abattoir 
au dos de cette l'histoire
Écrire ceci
à Vendredi
plutôt qu'à jeudi
samedi
pour Robinson
surtout
pour
l'image



Il était... .une fois
des égarés
au 
Conte
d'une tendre
complicité
en enfer
chaque seconde
étaient
paradisiaques
nous le savions
et 
TOUS
 étaient 
de
 connivences
en ces perceptions
antre-nous
les aimé(es)
et cela 
portaient
à désirer
d'avantage
de ces 
moments d'éternités
ancrés
dans les corpstêtes
jusqu'aux dernier instants
maintenus
pour
l'antre-nous
d'éternité
Et le dire
pour l'image
et pour cela
SEUL


27 avr. 2023

Suite Sans


100
commencements
sans fin
dessins
à mot dire
en la loi
qui s'impose
malgré
TOUT
Dire ce qui ne se dit
pas
se laisse
VOIR
se verras
de

Pillé
dépillailler
de la paille
et la poutre
dantesque
allons savoir
VOIR


quand
Freud
sans 100
et 
TOUT
vient
de l'extérieur
riant
du temps
de la fontaine
ou encor
de 
la langue coupée
dansant
dans son bocal
nourrie
de feu la
MORT
éloignée
ICI
MÊME
d'AILLEURS



... Les noyaux
 pensants...
de 
Valéry
la fatigue
les vieux gagas
des fins enfin
de la 
fin
hégélienne
et de la sortie
de
 l'ENFER
du posthume
'' Une limite
ne se touche pas '' 
donc l'enfer
 me ment
sortir
et les bronzes 
déconstruits  
de la reprise
après
et de la suite
apaisée
de la bonne tempête
déboussolé
les idoles
par masse
et marteau
assommée
neutraliser
L'attente
portant
atteinte
a l'insensé
revenant
de la part
de la confusion
entre les faits
et ce qui se défaits
et refaits
autrement
en art
du 
UN
des uns
corrigés
par la mécanique
des angelots 
opiniâtrés
de l'opinions
sur rue
où l'eugénisme
en 
TRI
sous le subtile
aliénation
infantile
et zombifié
Qu'est-ce que
l'ART
sous la tutelle
de ce qui
seras à été
était
sous le verbe
avant
que d'être
quoi en somme?



'' L'homme est un despote
par nature
il aime faire souffrir '' **
De ce qui
 est advenu plongeant
dans l'abime
avec 
l'AMOUR
attendre 
laissé
s'apaiser
les faôtes
et les misères
préparent 
du monde
le vert dure
des plaines
saignantes
En avant
et dire ce qui seras
démentit
l'instant d'après
et justifié
Mais sait-on jamais... .
quoi... .
Ces avions de combats
au-dessus
des ruines
qui s'amusent
comme des fous
sur la tête
d'enfance
amoureux vrai
que déjà
mort
avant qu'être
avec son contre-don
avorté


Derrida *
Dostoïevski **

5 janv. 2021

Jour D'Un Fou


Gogh 
et
ArtÔ
d'un fou
l'autre
de tous
et des labours
de synapses
hors
la horde
à crapules
et puis
Ce RIEN
le
SEUL
de vérité
Attente
et des yeux
de reconnaissances
entre-eux
Ta bouche
les sons
d'oiseaux
Fra
qui parle
nous y sommes
Oui
cela arrive
Un virus
une mauvaise
chose
un
des morts
sa mort
qu'est-ce 
que tu crois?
Pour comprendre
la vrai 
VIE
Que de viande
funeste
sans compassion
assiette
aux couteaux
nettoyés
de vinaigre 
ce qui
EST
seras
à été




La peinture
SILENCE
et du bruit
Cime-TAIRE
en signes
à larmes
Et des misères
de crevants
de mères
 pères
d'ailleurs
pas d'ici
Ceux
qui mourront
1 deux 3
quatre
5
00000...000
o
et ces gestes
inutiles
devant...
La poussée
qui ratatine
l'ordre
de l'ordure
des bites
à bas prix
tombeau
suicidaires
au boute
du boute
Tableau
sur 
poussières
d'êtretés
de l'insignifiance
Pas un homme
milliers
du UN 
des uns
Art 
de quoi...
créer
RIRE
tenant
lieu
de 
PAS LÀ


Partir
départ
d'un trait
d'une lettre
tête 
à pairs
perdue
boule
en roulant
varius
des peurs
polies
polices
et d'autres
mises
en arrêts
après
les applaudissements
d'une main
de lui le même
Mais pas
c'est mieux
que deux fois
par millions
de UN 
des uns
Mais 
en FIN
quoi
l'éternité
de Rimbaud
à la lumière
de ce qui échappe
au comme
 UN
des morts
d'elles
rabattantes
Qui quoi que
comment dire
le réel
prend de l'aile
s'envole
et là
 quand meurt
de rire
les suivants
du suiveux
du père au fisc
et sein t'est pris
total
et sous
peu
tu meurt
de vivre
mais de Vivance
point
Et qu'est-ce que
la Vivance
sous l'effroi
de la Beauté
et de la
MORT


Très au-dessous
du plus creux
des cieux
et de la 
SOLITUDE
et de mort
point
L'éternité
caché
celle-LÀ
Ici 
VOIR
tu sait
de toujours
ta vu...
Monte ou baisse
mais 
qu'est-ce
main tenant
le peu
du reste
en poussières
de 
TOUT
des socles
où tremblent
de vertige
l'Amour
assaillie
de
DISPARITION


Se qui va
tu vois 
c'EST
TOUT




 

29 oct. 2015

Attendre


Ni Vu Ni Touché



Limite l'imite
de Rien
et comment Rien ?
Abandon
au-delà de Tout
Là...Qui sait 
un doute
Sens insensé
place à la machination
technique
hécatombe
de la liberté
parce que trop
de poudre aux yeux
que la Nature
prend des allures
de miel d'or
et de lumière
en Aura pas
de passage
en vue
d'une dichotomie
être là ou pas
en peinture
plutôt qu'ailleurs
éparpillé sur l'autoroute
dirigée par le moteur
échocomique
de m. Nature
procréant
la misère
des enfermements
pour se taire
pareil au boeuf
écorché des frères
en tremblements
derrière les portes
closes gardées
par le Même
dressé pour déchiqueter
les chairs
et broyer la matière
dévorer ses mêmes
lui-même
ou à peindre
élargissant
écarquillant
le trou de la serrure
et comprendre
tout l'effroi
indicible que d'être
voyeur et mémorant
le grand ragoût
que prépare
les gagnent bonheur
d'enfanter les poules
en dents qui scient
les dos courbés
sur le cadavre
du grand Même
dans la rôtissoire
de la création
précisément Là
où la Mort rouge
de sa traversée
agonise d'attendre
en son Aura
le Dieu éternel
et peintre

Oeuvre
cadre contour
dedans
dehors
tenir en dentelles
subtiles
par la peau des fesses
en ventilant
entre les dents
l'éden
le promis
Jeu sérieux
dans la bouillie
des carcasses
rognures
décrépitudes
des mains à boue
dans le bleu du ciel
En pure perte
savante
destruction
construction
en sale bête
dans l'enceinte
du cercle sacré
du moment horrifique
de la mise à mort
des créations
d'Amour
pour d'infinis Absents
en de funèbres
hospices bons
qu'à remplir
la liberté d'outrages
et de larmes

Se concentrer
sur les flèches
du canard fléché
sur le geste facile
de casser les ailes
de briser
l'air et le vent
en un universel
dépècement
dévorations
par ses molécules
même cloaque
de guerre
d'existence
sans rivage
amnésique
d'ici toujours
pas Là
Tout lui-même
Un fil
sur l'impossible
quelque chose
du mot Dieu
En fait sous les pieds
vertige de solitude
un trait une tache
un enfer donnant
la mort à tant
d'innocence
en d'impardonnables
culpabilités
des suites
de l'ingérence
dans l'Amour
le don de soi
pour Rien
rayant ce qui de bonté
lutte et se bat
Spécialistes
ayant droit
à l'arc et aux flèches
et l'autre ne viendra
pas

De là du plus grand
que vous que tout
du toi te tu
voyant voir
des disparus
d'autoroutes
des naissances
OGM et corps
posthumes
à pilules dopes
c'est sans fin
les suicides
Petit tableau
de folie de discorde
entre nous
à pousser contre
surtout Tout
Ceinturé de bonheur
à faire chier
les ronds ronds
du quotidien
de la bougeotte
et des morts d'ennuis
Certain de la lumière
des grottes
mais de celle
encore
plus terrible
d'aujourd'hui
éclairant
les lucioles
de la petite boule
prêtent pour la tapette
à mouches
Attendre l'autre.