Morte

Lentement

la mort

trace son signe

bouclant

d'infinies

métamorphoses

fixant

ici une histoire

là un conte

une conscience

ou l'inverse

un état

figé fixé

d'avance

dévoré

par la tête

dès le début

et 

 c'EST

TOUT

Ce cassé 

le coup

et c'EST

TOUT

prendre un coup

s'étouffé

et c'EST 

TOUT

manqué

au détour

repris des vautours

c'EST

TOUT

EST

FOU tu

Rosset

et en cache

c'EST

TOUT

L'HôMME

n'accueille

plus

LA MORT

IL EST
LA MORT

morte

(dés pipés)

Tube criant

sa digestion

compostant

de l'univers

TOUT

par 

TOUT

Post 

TOUT

alzheimer

Au fond

tout au fond

des profundis

squelettes

charniers

du monde

Insister

il le faut

l'Oeil

( sociétés

de contrôles)

Enfin non

un Oui

Nature

natures

conduit

édicté

pour par vers

dedans dehors

Joujouir

de sa carotte

du bâton

freudiens

jouissances

de Lacan

et des rigolades

de mascarades

échomomiques

posthumes

et puis

quoi

la débandade

de la bande

à bon d'os

quand tu me tient

dans tes bois

 le rose

c'est lavis

sanguine

et ruine

babine

sur Roberte

Pense pas

on te panse

te tête

oui non

la noui

 des temps

'' La drôlesse

triomphante

connaît

la fanfare

 de son cabanon'' * 

Techniquement

c'est une affraire

de sous

 peu

apprivoisée

seras 

en fin

maître 

de ses néants

robotisés

Mais après

d'(il n'y a plus d'après)

de Guy

ou bien 

ou encor

ou en corps

un ragoût

de pattes

une fricassée

poste-nihiliste

et quelques

invités

virulés

d'en sommes

donne moué

des peanuts

au jeu 

des morceaux

triés

sur le car mot

sus l'tas

des farces farcies

des fautes

de madame chose

en bedaine

sur le bord des plaines

du mourant

escomptant

une escalope

et un bidon

d'essence

insensé

sensé

faire l'inconnaissance

du sens

que peux prendre

une telle connaissance

tant qu'en mettre

allons voir

et voyons

un peu

plutôt que pas

à pas 

PAS

zappé

passant 

outre 

au trépas

Bloy *