Enfer
Bon....vieillerie
passé
des posthumes
en pommes
satan
d'effroi
des froides
histoires
de charniers
d'os
à bâtit
des citées
anciennes
aux ports
des mers
noircies
d'ennuis
nourriciers
d'agonies
Les poules
de
Soutine
les boeufs
des écorchés
des étalages
à viandes
d'abattoirs
en peinture
Des déconcrissées
du
Souffle
de l'Ange
Écrire
sachant bien
les larmes
des tristes
tropiques
de la Puta Cana
des enfants de nanannes
et des rues assassinés
des saints innocents
de voir un enfant
pleuré
mourir
chez
Dostoïevski
et sur les trottoirs
d'à la marelle
dantesque
caverne
de Platon
parade
d'Eric
et la mer
allée
avec le soleil
c'EST
TOUT
RIEN
en
Somme
et sans sommet
Disparition
Usure
Quelque chose
après
TOUT
et ça revient
sans
tous
Combien
et la lumière
riche
RICHE
d'enfance
au besoin
'' Le sentiment
d'amour
nous abuse
tous
par une illusion
de connaissance '' *
Et des paradoxes
malentendus
et d'exquises
justifications
sur le tas
du
TOUT
Forme de crachat
d'orgasme
d'éclair
au ciel de l'esprit
du temps
en tous
les vents
d'avant
TOUT
Tenir
terre
en picossant
les têtes
coupées
nées
main-d'œuvre
monnaie vivante
de la plasticine
pour patron
d'enfirouapages
et de la con
pli cité
des villes
baudelairiennes
Faire
carapace
enluminer
passer
à la casserole
du bbq
d'errance
par le triangle
cuit ou cru
de la
Fin
et de la charogne
qui habite
Antonin
et il en reste
toujours
quelque chose
de
TOUT
L'Être
ou pas
et dépendant
de pour en sortir
de l'appel
de qui ou quoi
commandant
de l'âme
et du corps
par l'esprit
compatissant
à la chaleur
de l'effondrement
du soleil
Pas et puis
des pillages
du dessus
sans dessous
du pogrom
LÀ
la tombe
et l'apocalypse
festive
de si c'est pas lui
c'est le même
UN
des uns
La nuit
et pour tranquille
qui sait
la justification
malicieuse
des dénis
d'horreurs
et de l'enfraire
des choses
de jamais
d'épiphanie
à le crier
aux couleurs
des oiseaux
abandonnés
Enfin quoi?
L'éternité
instants
de ceci cela
pour
SEUL
en sait-on
jamais...
''...Cette chose
confuse
qu'est la vie.'' **
ou et pour
RIEN
paisiblement
l'échafaud
sans ponctuation
et plein de fôtes
exaucées
par la sévérité
du trait prolongé
par la main
à l'oeuvrage
d'en avant nos gens
l'histoire
en Conte
pour l'insaisissable
bonheur
de lumière
par instinct
d'Amour
et d'eau fraîche
pareil au bleu
rêvé
de Miro
de Bataille
et des bleus bb
wattever
au noir des joies
nouvelles
à la fin
de
TOUT
LÀ
où
le rythme
des saisons
résonnent
Monteverdi
y voir
passant par
Webern
Dion
lonely child
pour soprano
en filant le métro
nomme
sur la partition
des fins
de
RIEN
Kundera *
Borges **