Des chairs
et des combats
inutiles
épuisements
d'exterminations
Camp
Et quand
de vent
la marche
cul de jatte
étêtés
de ce con voudras
mise bas
en cries
de réel
achalandé
exténuation
d'instants
Sans mots
la douzaines
c'est
TOUT
carnaval
de crémations
bactériennes
chuttttt....
une crisse
de chute
100 chutes
et sans murmure
L'Effroi
et quand
tu tue
bebebbbbe
et pour en sortir
d'où
Oui-dire
que
l'AMOUR
d'enfance
de cette terre
heure
va guidé
par
un décompte
abominable
semant
des chairs
en troupeaux
de peaux
ô pots
sur les tablettes
des marchés
d'esprits
le même
UN
des uns
au jeu gambling
du mourir
a l'autoroute
de la
DISPARITION
disparue
a l'abattoir
immonde
des fleuves
anémiques
par les doublons
milliards
besognant
à la réussite
suicidaire
d'En Faire
de Dante
Question
d'Être
ou ne pas être
MAIS
l'ART
lui
c'est quoi ça
TIENT
RIEN
comme toujours
éternellement
une proématique
fin du monde
posthume
mortellisée
en son
TOUT
de vent
niant le néant
vertigineux
d'en suites
d'autres
s'en suite
jusqu'Ô
silence
en son d'Oeil
Oeil
d'EFFROI
misérables
dénis
Mais qui
l'éternité
la merde
et sa fringale
distraite
de quelque
chose d'étourdi
L'autre bord
dedans
dehors
la meute
désœuvrée
d'ineptie
Allons
pas
d'ICI
d'AILLEURS
des mots
pour jouer
pour en finir
avec
la rage
des abattoirs
entre eux
les doublons
d'en
SOMME
de l'encagement
pantin
foudroyé
de leurs morts
pour la fête
à mon oncle
égosome
et l'attente
dévoilée
après
TOUT
jamais
ne mangera
mon coeur
VIVANT
la prédation
encor
par d'exécrables
monstruosités
vêtus
de poussières
terminales
et d'à jamais
plus
l'ingratitude
sur le seuil
longeant
le
PARADIS
De l'autre côté
dérivant
des mal partants
vers...
et qu'est-ce que
cette mascarade
puante
et cette raison
faussaire
insensée
déraisonnance
des peuples
abasourdies
du piégé
d'automates
veinards
Art
après
TOUT
des rattrapés
du sol'Oeil
cendré
des rapailles
odieuses
et funestes
terminant
la dernière
avancée
de terreur
ART
cette clarté
d'ensevelies
rassemblés
d'à bout de bras
portant
la clé
des palingénésies