Toujours jamais
et
L'ART
comme indicateur
de présence
silence
pour du bruit qui va finir
LÀ
les habitudes
à tous
et au trou
où
TOUT
fini
La maîtrise
du temps
et des métamorphoses
d'émotions
et des corps
aux grés
de milles circonstances
imprévisibles
et
des différents
questionnements
sur le sens
de l'il y a
et que
L'ART
cet écœuranterie
du
VOIR
qui ne lâche pas
le morceaux
de réalité
d'EFFROI
et d'abysse
qui tôt ou tard
frappe
arrive
et fixe le sujet
en sa vérité
terrifiante
de la
MORT
morte
et de la grande solitude
pas du gardien de but
mais de la présence
quand
L'ART
la sort du grappin
de la distraction
et diversion
pour le chemin
de la vrai
JOIE
en que ma joie demeure
hors les facéties
des docteurs
apprentis sorciers
du guide
miche pain
La nuit
qui se présente
et que rêve
de retrouver
en je ne sais trop
d'une intuition
'' Il est de certaines
douleurs que l'on ne
cherche pas
à consoler '' *
les aimé(es)
antre-nous
Ô
à jamais plus
LÀ
exactement
pas à côté
pas n'importe où
de la chanson
Gainsbourg
ou la
Poune
mieux Trenet
le tout mort
et terminé
le je chante soir et matin
Après
TOUT
de la poussières
et de l'éternel retour
figé
LÀ
en son
TOUT
de
MORT
morte
et sur le fil
de reconnaissance
la tristesses des aimé(es)
et
d'ABANDON
in memoriam
sur la
PAROI
de
L'ART
'' Nous ne sommes
après tout,
qu'une vermine
provisoire '' *
De ce qui va là
du bluff
monétaire
au détriment
de la chair des animaux
et des aimé(es)
qui de la grande triche
et du combat de la vie
arrangé avec le dégât
des vues
alors étirer
la folie miséreuse
du non respect
des supérieurs
en nature
pauvres et désespérés
tendresses
de la joie d'aimer
cette erreur dans le
système
Encre crayon acrylique
sur papier
Fabriano
2025
Villiers de l'Isle-Adam *