S'éteindre
de naissance
écrire
en dire
ce qui manque
à la respiration
pour qu'elle
nourrice
l'invisible
qui se propose
et qui se doit
d'être
quoi en somme
comme une offrande
à ce qui persiste
se veux
mais sachant
que sa peau
sensible
ce corps
impossible
transparent
en fait
translucide
diaphane
pas possible
exaucé
de sa présence
LÀ
Temps dissout
en mots
juste en signes
plaisir
pour ne pas mourir
de liberté
Charron
la barque
passant vers
le hors la horde
capitalisée
pour la turlute
du UN
des uns
d'en sommes
requiem
de la fin
et la MORT
Hegel
Voir c'est parler
dessiner
en guise
de point d'appuis
pas pour tous
des pairs
faisant sachant
la
MORT
poussières
de temps de tant
tendrement
le maquis
chez les brutes
du cul-de-sac
de l'impasse
blanche
Envoûtement
de l'histoire
qui ne fait pas
son Conte
se détruit
par la folie
sans oeuvres
au quotidien
des tas d'ossements
aux chairs
translucides
et disparues
sous vide
Avancée
des traits
en cris
sans
Munch
parti pris
des mots
éteints
bien en dessous
des farceurs
d'épelés
autant que veux
la froide
ordonnance
du Camp
des natures
Nature
Corps
sujet
esprit
point de non retour
native
violence
à faire
rythmer
le coeur
pour orchestre
conduit
par percept
autant que le veux
le vent
levant
devant
la cueillette
en don
contredon
dans le Grand
Jeu
du monde
donner à Voir
La Mort
se meurt
et la Nuit
proématique
neutralisant
la différence
et la répétition
du UN
des uns
embouché
du temps
consumant
la part
du bétail
aux boucheries
d'ADN
passé présent
sans devenir
en somme
et depuis
la Mort
de Dieu
( Je est simplement
un autre)
de qui de quoi
vers
la part du gain
gainant le soi
en folle
dépense
pour des peanuts
respirants
la caca ouate
des faits
en sommes
de gloires
bénéficiant
des morts
sur le tas
du karmas
Être
ou
pas
bonheurs
et joies
LÀ
et cris