Même image
en répétition
pour la pièce
blogguée
de ce site
tenu depuis
un bon bout
aurait dit
Cézanne
ou
Tysounne
Alors
main tenant quoi dire
de plus
que ce qui sait dit
en un mot
qui ne finiras
comme son titre
a-blanc
TOUT
ça pour dire
avec ce qui va demeurer
en la grande soupe
alphabet
VERBE
langues de feu
et les glossolalies
du poète
et la magie
du triage
hors la portée
de la secte
des sectorielles
et les boss des bécosses
comme aurait dit
l'édition des trois
(pas magot)
jeux dits
Main tenir
le désir contre
toutes insignifiances
devant
ce temps des roses
et des débris
du faire semblant
que ceci cela
un soir divers
en l'apocalypse
de
Guerne
dédoublé
par le déni
de l'évanouissement
de la belle dicté
par
au bras de laisser faire
la froide
sénescence
de la
DISPARITION
vers mars
après le mois de mai
Et bien
l'ART
avide et vidé
de sa vérité
et soumis
par dedans dehors
à ce qui
avec la force
sans autre motif
qu'un sursaut
réactionnel
laissant là indifférent
la vérité
qui est ce qui en
ART
à toujours été
description
du
visible
visible
qui
EST
seras à été
comme hiver
au gourhan ou pas
des passages
en la vrai vie
qui sait tout
du
TOUT
de celui qui tout en pensant
tout
omet ce qui
du ( généraliste
sait tout
mais ne peut rien
du spécialiste
qui sait rien
mais qui fait tout
et là voilà
le seul qui sait tout
peut tout
fait tout
le coroner
mais trop tard)
ou encor
sur les murs des taches
de sang
ses roses
de la perception
d'élévation
suite à la débandade
des voleurs de pervenches
et de la rumba
du pinceau
Espèce de retour
en melting pot
aux énergies
premières
progressant
vers cette fin de l'histoire
de quelque chose
d'incontrôlable
pulsion
menant mené maître
de l'intelligence
pas artificielle
artifice
et feu de la courte paille
résiduelle
perçue
aperçue
sur la paroi
du
visible
visible
aveugle
en son
TOUT
qui tortille
du voudrait bien
madame
la rebelotte
pour en finir avec
RIEN
en derniers recours
Spinoza
Axelos
et l'infini
soupe universelle
reprenant
en passant
au jardin
de Jérôme
pas
Martinet
Bosch
et la nef des fous
direction
Lascall
En venir
sans destin
à dessein
dessin
car le but de l'exercice
exorcisant
par l'art d'aimer
cette confusion
autour
de la problématique
être ou pas être
et pour l'amour
dieu sait
que son règne
maintient
la main à l'oeuvre
et fait persister
la main tenant
l'Axe-d'Abraham
ou encor
l'espace
d'un certain sourire
aéré
par la perception
distançant
antre-nous
ces emmerdeurs inutiles
et bon qu'à
dessiner
peindre
sculpter
avec la matière
grotesque
de
Lascall
L'ART
en sa politique
de non ingérence
dans les affaires
du
Monde
L'art cet vigie
du simple au compliqué
agent secret
de la
BEAUTÉ
qui
dérange l'assurance
que
TOUT
est foutu
ce qui peut sembler
paradoxale
mais qui main tient
ouvert la question
d'où vient elle
et dénier ou pas
demeure
vertigineuse
en son attrait
d'éternel jouvence
Naïveté
de
L'ART
pensant corps esprit
sur la paroi
du
passage
gourrant l'indice
des épelés
de lui pas celui-ci
Peut-on
en ce temps
dessiner
en paix avec les aimé(es)
l'insaisissable
lumière
au pourtour
indéfini
générant du paradoxe
du malentendu
de la lutte
avec l'ange
le temps
de haine amour
quelque chose
là
qui
EST
posthume
à toutes interventions
humaines
et qui s'éternise
au final
en créant
ce qui va encor
et en corps
se demander
avec
l'ART
en tout petit dessin
la naïveté
tendue
tremblante
du vivant
répondant présent
en signes
traces
avec la destruction
recomposée
de l'enfance
de
L'ART
qui
conte
de venir
Encre De Chine
crayon acrylique
sur papier
Fabriano
2025