Vue Revue
et Corps y gît
et Corps y gît
Cris d'errance
tenante résiduelle
en écho au
petit petits mots
sortant
du bonheur esthétique
si court presque éteint
comme sentir
insensiblement
tranquille le souffle
s'évanouir
s'éclipser
ne plus tenir
Vagir triangulé étranglé
baignant dans le triangle
du maître d'Aixe
en bleu passé
un après l'autre
poussières
Et ceux qui veulent
mourir...TOUS
le même UN
TANT PIS
POUR LE CONTE
les oiseaux sauvent
tombent en volant
transgresse l'atraction
du spectraque
Des poètes des peintres
en terre tralalala l'ère
lâche le fou rient
entendez-vous
en avançant
le mystère du mot belle
devant les yeux
de la chatte
du bleu du ciel
en bataille bien sûr
de tant d'autres
Pas du monde
ceux du Camp
eux aussi léger
dans l'air chantant
formant des beautés
banales pleines de lumières
flottant ténèbres
Barbarie LÀ
arrivant en bas
du plancher pourri
en terre profonde
inaccueillante
Barber Adagio
Ici pour eux
les vents mauvais
bruits de bottes virtuelles
Rêvé encor?
À moins que des mirages
aux lointains
d'aurores maintenues
de mensonges
en messes basses
si basses que les coeurs
s'y noient de larmes
en des signes
perdus d'avance
entendent l'image
jouer un tour
aux yeux de glaces
du goulag amibes
des cerveaux
Tient solide le coeur
au-delà de ce je social
qui voile le secret
des terreurs infinies
du dévoré créé pour ça
pour des poussières
même pas...
Nausées d'effroies
et cette prétention monde
marchandises de pommes
tableaux de poires Daumier
et des spectraques Goya
et des Arts hochets à distraire
de la Vérité qui est la déroute
après la mort de la mort
et le chef-d'oeuvre
toujours inconnu
à rire et à rerire encor
sans début ni fin
De LÀ quelques bruits
d'univers tremblant
d'ennui de peur aussi
d'être vendu à conte
d'auteur de quelque chose
Cela vient va venir
et de quoi aura l'air
ce nouveau-né
sans mémoire
de Babel bébelles bagels
des camps du Camps
des dira-t-on
du trou des trous
détroussant dès la mise bas
le tube digestif
pour quelques sous
de compost...
D'abord donner sa langue
à l'opinion de l'opinion
des mots crottés
sales menteurs
Soupe alpha et haut dégât
à quoi bon
ce précaire miracle
où ...'les oiseaux
et les sources sont loin!
Ce ne peut être
que la fin du monde
en avançant...'*
Wals Dmitri
encor et en corps
encore Voirs et voir
voir balbutié ça
fait de l'Aile
avec un ptit stabat
de Nono Varèse Cage
en SILENCE
sur des bruits
de neige sable
chat miaulant
la symphonie
sans repère
pour ornithos seuls
sur la portée
d'air de l'oeil
sans pupille
de Xenakis
Place de l'Étoile
chant de bouches ouvertes
pour mouches noires
et mélanges
tout finis
Pas LÀ
sortie
par le steppe
de côté
Nature natures
melting-pot
goudronnées
pour un tombeau
en lien seul
décrivant l'agonie
tenant lieu d'ICI
par beau temps
de confidences
avec Miamioù
pour une histoire
à cueillir à l'arbre
d'un pin parasol
en un accroire
de Paradis
montant victoire
tout ensemble
en un éloge
sans fin de la FIN
Rimbaud*
du bonheur esthétique
si court presque éteint
comme sentir
insensiblement
tranquille le souffle
s'évanouir
s'éclipser
ne plus tenir
Vagir triangulé étranglé
baignant dans le triangle
du maître d'Aixe
en bleu passé
un après l'autre
poussières
Et ceux qui veulent
mourir...TOUS
le même UN
TANT PIS
POUR LE CONTE
les oiseaux sauvent
tombent en volant
transgresse l'atraction
du spectraque
Des poètes des peintres
en terre tralalala l'ère
lâche le fou rient
entendez-vous
en avançant
le mystère du mot belle
devant les yeux
de la chatte
du bleu du ciel
en bataille bien sûr
de tant d'autres
Pas du monde
ceux du Camp
eux aussi léger
dans l'air chantant
formant des beautés
banales pleines de lumières
flottant ténèbres
Barbarie LÀ
arrivant en bas
du plancher pourri
en terre profonde
inaccueillante
Barber Adagio
Ici pour eux
les vents mauvais
bruits de bottes virtuelles
Rêvé encor?
À moins que des mirages
aux lointains
d'aurores maintenues
de mensonges
en messes basses
si basses que les coeurs
s'y noient de larmes
en des signes
perdus d'avance
entendent l'image
jouer un tour
aux yeux de glaces
du goulag amibes
des cerveaux
Tient solide le coeur
au-delà de ce je social
qui voile le secret
des terreurs infinies
du dévoré créé pour ça
pour des poussières
même pas...
Nausées d'effroies
et cette prétention monde
marchandises de pommes
tableaux de poires Daumier
et des spectraques Goya
et des Arts hochets à distraire
de la Vérité qui est la déroute
après la mort de la mort
et le chef-d'oeuvre
toujours inconnu
à rire et à rerire encor
sans début ni fin
De LÀ quelques bruits
d'univers tremblant
d'ennui de peur aussi
d'être vendu à conte
d'auteur de quelque chose
Cela vient va venir
et de quoi aura l'air
ce nouveau-né
sans mémoire
de Babel bébelles bagels
des camps du Camps
des dira-t-on
du trou des trous
détroussant dès la mise bas
le tube digestif
pour quelques sous
de compost...
D'abord donner sa langue
à l'opinion de l'opinion
des mots crottés
sales menteurs
Soupe alpha et haut dégât
à quoi bon
ce précaire miracle
où ...'les oiseaux
et les sources sont loin!
Ce ne peut être
que la fin du monde
en avançant...'*
Wals Dmitri
encor et en corps
encore Voirs et voir
voir balbutié ça
fait de l'Aile
avec un ptit stabat
de Nono Varèse Cage
en SILENCE
sur des bruits
de neige sable
chat miaulant
la symphonie
sans repère
pour ornithos seuls
sur la portée
d'air de l'oeil
sans pupille
de Xenakis
Place de l'Étoile
chant de bouches ouvertes
pour mouches noires
et mélanges
tout finis
Pas LÀ
sortie
par le steppe
de côté
Nature natures
melting-pot
goudronnées
pour un tombeau
en lien seul
décrivant l'agonie
tenant lieu d'ICI
par beau temps
de confidences
avec Miamioù
pour une histoire
à cueillir à l'arbre
d'un pin parasol
en un accroire
de Paradis
montant victoire
tout ensemble
en un éloge
sans fin de la FIN
Rimbaud*