...'Et pourquoi disons-nous
d'aussi vaines paroles,
Allant comme si la nuit
n'existait pas?...' *
et quelques vaines
poussières
de ténacités
rompues à la peur
de voir les fils
du rythme du pouls
dans le coeur
de l'éléphant
en plein cimetière
de ses larmes
se rompre...
En vain
...esquisses
les anguilles
pour cinq yens
un fleuve vertical
grimpe
l'imbécillité
des trous d'acéphales
ficelés de réflexes
à marmites
à entêtes bouillies
d'un surnombre
écomomique
mangeant
ceci est le corps
d'un monde mort
rayé par les spermes
de guerre de l'ennui
des présidents
nés d'enflures
de la calotte
mouches sur le cheval
du cocher fou
de la gloriole amen...
(de la pitoune
des sapins pis d'l'épinette)
mouches à viande
des peuples à l'os
des miracles
d'un ciel rêvé
de cauchemars
à l'aube de la nouvelle
Jaune Town
et des gnoses
de disparitions
déclassées évanouies
par la rumeur
de gravitation
des masses
Enfin...
Le virelangue
qu'a ta vulve
déjà et j'a cule
vie perd
qui se la tourne
avant de parler
...etc.
Et cri d'ores
déjà suffisamment
peint triturer
griffer caresser
aimer envoler
mais bien sûr
de la théorie
de la pratique
du métier
de la vigie
avec qui de droit
pas pour tous
ou bien apichoum
en bruines
miettes parcelles
bribes scories
ventriloquentes
bien ficelées
amusées du rire
des commandes
grégaires
en deçà du temps
alloué pour le dire
Voici des lignes
des feuilles
quelque chose
des frères mineurs
un discours aux oiseaux
en souliers boueux
chants de corbeaux
dans les nids du peintre
se taillant un passage
par-delà le chiasme
de la mort
Mais c'est de l'air
et encor
sans nouvelles
de la vigie
des couleurs
mais si...
pour en sortir
du sort
de l'insignifiance
qui ne fait rire
que la poudre d'os
du seigneur
ton Dieu
sous les explosions
atomiques d'Albert
Fred et tous
les patenteux
du firmament
de la firme à frime
à faire frire
les faire semblants
que s'est intéressant
la décomposition
par la ratatouille
d'O.G.M. bancaires
qu'Artaud aux Deux-Magots
dévisageait
en leur chantant
la ritournelle
des ploties plottant
la plotte du peloton
de la reine de Russie
criant IA
à mon coeur d'animal
En voyant d'l'avant
nos gens...en voyant
Allez ouste...
depuis la fin des temps
Seul sans reli-légion
que molécules
qu'antre en tout
l'attente qui n'aboutit
qu'à brise main
et tête en un dernier
instant qu'un coeur cessant
inutile pour Rien
Bonnefoy*
à entêtes bouillies
d'un surnombre
écomomique
mangeant
ceci est le corps
d'un monde mort
rayé par les spermes
de guerre de l'ennui
des présidents
nés d'enflures
de la calotte
mouches sur le cheval
du cocher fou
de la gloriole amen...
(de la pitoune
des sapins pis d'l'épinette)
mouches à viande
des peuples à l'os
des miracles
d'un ciel rêvé
de cauchemars
à l'aube de la nouvelle
Jaune Town
et des gnoses
de disparitions
déclassées évanouies
par la rumeur
de gravitation
des masses
Enfin...
Le virelangue
qu'a ta vulve
déjà et j'a cule
vie perd
qui se la tourne
avant de parler
...etc.
Et cri d'ores
déjà suffisamment
peint triturer
griffer caresser
aimer envoler
mais bien sûr
de la théorie
de la pratique
du métier
de la vigie
avec qui de droit
pas pour tous
ou bien apichoum
en bruines
miettes parcelles
bribes scories
ventriloquentes
bien ficelées
amusées du rire
des commandes
grégaires
en deçà du temps
alloué pour le dire
Voici des lignes
des feuilles
quelque chose
des frères mineurs
un discours aux oiseaux
en souliers boueux
chants de corbeaux
dans les nids du peintre
se taillant un passage
par-delà le chiasme
de la mort
Mais c'est de l'air
et encor
sans nouvelles
de la vigie
des couleurs
mais si...
pour en sortir
du sort
de l'insignifiance
qui ne fait rire
que la poudre d'os
du seigneur
ton Dieu
sous les explosions
atomiques d'Albert
Fred et tous
les patenteux
du firmament
de la firme à frime
à faire frire
les faire semblants
que s'est intéressant
la décomposition
par la ratatouille
d'O.G.M. bancaires
qu'Artaud aux Deux-Magots
dévisageait
en leur chantant
la ritournelle
des ploties plottant
la plotte du peloton
de la reine de Russie
criant IA
à mon coeur d'animal
En voyant d'l'avant
nos gens...en voyant
Allez ouste...
depuis la fin des temps
Seul sans reli-légion
que molécules
qu'antre en tout
l'attente qui n'aboutit
qu'à brise main
et tête en un dernier
instant qu'un coeur cessant
inutile pour Rien
Bonnefoy*