Mo T A Mo X
Non mais si
étrallalala
en mangeurs
d'hommes
à planter là
sous le reflet
boomerang
la faucheuse
métamorphose
en tralalala
inconscient
comateux
la parlure
incontinente
échosmomifiée et
cocue à l'Anglaise
entichée
acoquinée
mordue
enfin tombante
faschisée
sans pensée
cubée morte
de tous côtés
en dépôt
composté
ficelé
vendu
trafiqué...
Fin nif fni
inf...
Armes alarmes
proue des larmes
de mères mortes
et ruades
dans la sardinière
empâtée d'hameçons
démoncratiques
caca fait là
...Et alors milord?
Prit qui que cocu
en maux...beau dit
Qui naît seul
vit seul
meurt seul
où vas-tu
quelque part
Ici Là bâclé
rayé de la liste
pour un dessein
égaré au fond
des ans nuits
en Nous qui manquent
les pas vus pas dits
qui viennent
aux mille mots
des signes
Sans sujets
pas nés pas à l'être
pas encor
Tu es LÀ par tes os
ou en larmes
pulse l'urgence
d'une symbiose
toute liée du sens
perdu des semblables
à nous dire; on y Est!
Cela vient...
Par désarroi
folie régression
et disparition
des chiffres comptables
des nommés
bonnets rouges
à Tyrans généraux
colonels malfrats
meneurs d'hommes
insatiables vampires
innommables
des fins dernières
Enfin...
De distance
un décollement
sanguin
sans faim ni soif
en Rien
chez soi
absolument parfait
en nous certain
du lieu qui n'en est pas un
mieux un comble d'Amour
pour tous en l'Oeil
de brillance
des reconnus par coeur
de toujours et éternelles
attirances de ceux savants
initiés des avertis
d'Attendre invisiblement
pendant le festin
de Saturne
Prédation d'ignorance
qui tue chie
dans sa mangeoire
pisse dans son eau
recycle pour plus
d'organismes
à destruction massive
De corps corruptions
corrompus...corrompant
(forme de cancer)
disparurent depuis
le commencement
du temps
Un Rien de joie
par main tenue
sur les hauts
de vents tranquilles
en rires de rosées
à la source
follement gardée
de lumière
quand le doute
fatigué porte son errance
au quotidien d'écomomie
du K.Os technique
et long time no see
Koyaanisqatsi
et l'inattendu
tissant sans lieu
en Rien
Qui sait une peur bleue
un oeil qui voit rouge
ou jaune pissou...
en silence bon à Rien
inutilement à l'air libre
clochard pas né pas mort
pas fort...
De l'écho à raison
raisonnante
justifiant la fin
par les moyens
d'y donner suite
en ruse de Sioux
au but atteint
avant même
d'en avoir un
les gentils
les bien...
Et le ressentiment
par là l'effroi
des effrois
Saïs entre tous
tout a disparu...
Presque...
Donner du sens
à ce qui n'en a pas
ne signifie plus
Ici la création
après le maquis
perd dure par
inaccessibilité
du verbe des mots
dévergondés
des morts piégés
en foetus sachant
sans savoir
Des larmes d'outrages
devant l'innocence
d'amour et de confiance
assassinée
Une dégringolade
incandescente
en silhouette
des menteurs
bruiteurs
pendant que les gaz
inodores du dernier
relâchement
terminent la sale
commande en trop
des spectateurs
figés fixés liés
de On achève bien
les animaux
pour monnaies
stomacales
en fin derrières
imposables
Alors
enfin de compte
sept milliards
de pas savoir
...Silence
par la bruisance
de l'univers
antre entre l'espace
deviné du divin
et la peur sans mot
de la mort