Et d'un rêve rêvé
non pas éveillé
mais ailleurs
par un inattendu
passage à dessin
en plein travail
au coeur d'une
grande surface
peinte en rouge
pas celle du bocal
ou de l'atelier
d'Henri
celle des faits et gestes
d'autres tableaux
ceux de la synthèses
du jugement
et qui va enfin
culbuter
la fixation
d'ingérence en la tête
du malheur des aimé(es)
et qui échappe à pouvoir
les aider
à combattre le malin
et le destin
facétieux
qui de la
MORT
mortes
va les pousser à
l'irréparable
et qui dans les faits divers
est chose commune
mortes ou emprisonnées
de la société
Donc ceci
hors le surréel
qui n'est pas celui du pape
mais celui
de l'ART
cet pratique hors du commun
de la plasticine
des naissances
pour un adjudant un contrôleur
aérien une marche militaire
un président
ou un grand écrivain
promu
à la langue dans le vinaigre
chez Artaud
ou chez qui le droit de dire
dépendant du philosophe
ou pas et bien
bref là où
la vrai vie
mène le bonheur
à sa conclusion
rêve rêvé ailleurs
et adjuger
aux âmes bien nées
des corbeaux du peintre
et de la survivance
par l'innocence
la naïveté
devant le vent des feuilles
mortes
et du temps qu'il fait
dans l'en faire
celui de Platon
ou Blake
encor
déculpabilisé
par la vrai vie
posthume
à l'actelier
celle pas de la proposition
dantesque
sollersienne
ou bien... .
mais celle de la pomme
de l'ivresse
newtonienne
cézannienne
de Klee
( je suis peintre)
encor
de la voie sortie
du sort par la main
blanche
après les songes horribles
des Francos
des guerres pour le plaisir
pulsionnaire
au chant de
Vian
souffle dernier
des craches en l'air
sur la beauté
des aimé(es)
bien vu(es)
par Béatrice
et les anges
d'Antoine
de la vie est belle
par
l'ART
et sa mise en sainte
de
l'AMOUR
après
TOUT
Ô
rêve réalisé
en suite grotesque
pour un dessin
exauçant
l'impossible
du mot à maux
du verbe
aimer
avec ou sans
Bécaud
sur la joue du jeu sérieux
d'antre-nous
galériens
du radeau de la Mésuse
Qu'est-ce que
l'ART
après
TOUT
du compte tour
de bébelles
à la caverne
d'Ali Blablas
plate et ennuyeuse
circulant
de la
MORT
mortes
mortes
et ses envoûtements
d'applaudies
au bénéfice
du dernier
des mots du camp
dévoré
par ia
et ses collabos
infantilisés
de pas lui l'autre
en l'ignorance
des faits et gestes
de l'art
d'aimer
éternel retour ou pas
de la splendeur
de
Sam
dansant avec la mort
dans le coin
sur un rill
avec Ti-Jean
Carignan
et callé par la
Poune
et les mandatés
pour le bien ou mal
de pas lui l'autre
de qui connaît
celui de la Volkswagen
du fureur
des masses massées
dans le sens du poils
ou encor
pas sortie de l'auberge
des 4 jeux dits
Enfin des mots
en signes
sachant bien
que le Dieu
est
MORT
mais pas le diable
et ses vires capots
quand viens le moment
du dernier acte
( Que mon coeur mortel me soit,
pour mon secours,
Comme à d'autres un refuge durable)
Hölderlin
et de là
avec vous que cela tienne
encor de penser à vous
... .de la présence
du
plus grand que tout
la lumière
laissant voir
un coin de
des verts cézanniens
d'après
sur un dessein
rilkéen
tombant des nu(es)
Ô
femme
par tous les sinthome
là quand
de la sainte-victoire
nature
aimée
de la faille du passage
de la mer rouge
traversée
de la création
et du fruit de la défense
de na pas aimer
alors
autant dire
en se déroulant la langue
sur la prise
de la Bastille
triangulée
par un pinceau
tout en bleu du peintre
après la peinture
couillarde
et des promesse
de bien peindre
( le devant
de la chemise)
encor la ligne
Hokusai
et les oiseaux
et l'air l'espace
d'AIMER
Magritte et la littérature
sans rature
et très
ennuyeuse
la perfection
du Christ
et ses miraculés
de la cacahouètes
Scutenaire
les pipes le seul
à se pipé
du génie
Alors
les têtes carrées
bon pour la perte
des racines
asséchants
l'air autour
de
Bonnard
fils de
Delacroix
le plus que français
de la vérité
en un pneumatique
où baigner
le verbe
en la forêt
de la belle au bois dormant
Enfin
du texte enluminant
la part
d'inutile
enluminant
le petit dessin
seul
très seul
et seulement
LÀ
Encre de Chine
crayon acrylique
sur papier
Fabriano
2025