LE RIRE DU TABLEAU
De la falculté
de tomber
sans connaissance
au courant du vent
du plombé de la stance
fixer des sentences
L'étayé de l'il y a
par pillages
consumation
des aurores...
sans l'incarnatus
d'un prétexte...
De ce fait floué
l'image décrisse
à l'intrigant
rire de l'Oeil.
Mille fois morts
transperçés d'admirer
là juste là ici même
le ferment d'éternel
et la ferme intention
de ne pas s'y fixer.
Le Silence boue
de lumière
sa disparition
force la mort à l'espace
entre deux avenirs
d'invisible visible
aux cimetières des vertiges
où la nuit a sa cime
élude le Grand Regard
au Rien à tout perdre
du tout Perdu.
Un tableau n'est pas
un mot campé du camp
C'est une perdition
immémoriale insistance
vers la part normale
de marche sans cache
corps ancestrailles
du je est un autre.
du sang papier
voyage en haute solitude
imageant.