Il y a
ce qui va
s'optimiser
pour le meilleur
et
TOUT
en obéissance
au destin
de forces
supérieur
à la
NATURE
natures
posthume à
L'ART
et de la nature
aimée
d'amour
cette trouvaille
plus fort que la police
et insaisissable
épiphanie
d'admirer
ayant eu vent
de la fin
du grand bâillement
de
l'ART
en ses artefacts
d'us et de coutumes
adorniennes
et de renvois vers
la vérité
du passage en coup de vent
des feuilles mortes
sans appel
et virant de bord
suite à 68
l'écœurement
du trop plein
et de la réussite
ayant atteint
son objectif
la vérité
de l'il y a
TOUT
et
RIEN
en une synthèse
à ne pas dire
après minuit
Cette heureuse
et extatique
évanescence
va indéfectiblement
là où elle doit
c'est à dire
à sa justification
heureuse
réalisée
en sa fin
c'est à dire
sa faim
dernière et sans question
ni repos
devenue
éternelle
nature
De la création
sortie de ses gonds
ou encor
lambeaux de juillet
aout septembre
quelques mois
après mai
sans suite
qu'éblouissement
et le bogue
de l'ia
pour la résilience
bien malgré
L'ART
du
TENIR
le socle et ses poussières
le socle et ses poussières
pour il était
une foi
qui transportait
les molécules
vers le
CONTE
après la pomme
cézannienne
du triangulé
et bien
suite au pendu
et la
Sainte-Victoire
Voici
le primitif
faisant fi
de l'aurore
l'enfant martyre
et le seul un dieu
pour qu'est-ce que
L'ART
à été
pour le dernier homme
au jardin
des délices
et des artistes chauds
de la duchesse
et son linge
au mat de la nef
où les folles
aventures
des génies
de quoi auront-ils l'air
dans l'indiscernable
ia plus rien
de
RIEN
et sans l'art d'aller
là où
Rosset
à fait ses choux blancs
et qui
malgré
TOUT
avec
Clémence
ou
Clémentine
accompagnée
de Louis Hébert
et du grand Antonio
vont trimer durs
les coeurs
aux rythmes
de
Monteverdi
en la nature
du retour
d'où où vers où
pour bâtir
une demeure
au ciel appauvri
du verbe
et de l'art
de bien dire et composer
suivant le décodage
camusien
de l'existence
sensée
faire malgré la destinée
la rose aux aboies
de la mauvaise fortune
de l'ennuis
d'une syncope
reprenant
la
fabuleuse
couenne de lard
et de l'omelette
sans casser
la poule et coq
de la scène
shakespearienne
là où
TOUT
EST
BIEN
qui fini
en beauté
de la palisse
et du roi endormi
( ... et déjà
mon dernier oeil
disparaissait
dans son ombre...)
Rilke
et persister
là dedans
comme les poules
de
Soutine
ou les natures mortes
ridicules
Raies
de Chardin
il y a
Et où
sont passés
les solides
entendus
des cathédrales
et des amours
insondables
éternités
des aimé(es)
Un gros
égo
d'ART
ce lien liant
le peuple
qui s'indique
en manquant
Très
diffuses
appartenances
aux promesses
intenables
qui vont finir
( Le mirage dans l'étang
a beau parfois
se troubler;
connais l'image)
Rilke
Mais après
TOUT
le grand seigneur
poétique
encor
aucune idée
de ce qui fait vivre
Du texte
enluminant
énorme innocence
Ô
passage
passage
en la nature
pour
NATURE
natures
vers son néant
faisandé
sans
L'ART
pour mettre le
TOUT
au arrêt
d'un petit dessin
après
quoi... .
Stéatite
(1970)
Les classes
et les maîtres anciens
de la
prise
en passant
vers l'atirail
et les gréments
pour prendre
hardi
les géants
sans gènes
et pour en finir
avec le
TOUT
arrangé
avec le filet
du capitaine
Némo
ce petit phoque
et passe rapidement
au vif du sujet
créer
jouer
au tartiste
pour oublier
la kafkaienne
et abracadabrante
histoire
arrangée
ficelée
et empaqueter
prêt à livrer
aux pompes funèbres
la
FIN
des temps
et au déni
de qu'elle mouche
l'à piquer... .
là quand des contractions
vont rendre à terme
l'éternité
retrouvée
de
Courbet
et la vie disparue
par appropriation
scellée
des lucioles
'' Quoi que vous fassiez,
vous appartenez
depuis longtemps
au cinéma social, c'est à dire
au documentaire. '' *
Pour ce côté de l'affaire
et bien... .
à demeure
en la lumière
par dosage
attitré
et pour milles et un mystère
énigme
envoûtement magie
ou encor
téléguidé
par
une équation
tranché
par ia
et un insoluble
quelque chose
relativement
pour lui
l'autre et pas celui-ci
TOUT
EST
politique
ou poésie
mieux proématique
secrètement gardé
par la
Poune
ou qui sait
l'AMOUR
atout
de pique
et puis qu'est-il arrivé
y avait-il de la vie
avant la mort
Et bien... .
Sollers *