'' La porte se ferme...''*
Enfin un Conte
de la Joie
au désir
enfreignant
le moment
passé
hors du ciel
de l'esprit
amoureux
posthume
défait
des faits
lucide
d'Effroi
du peu
de signifiance
ICI
LÀ
qui s'éteint
de
MORT
infinie
Pourquoi
sans pourquoi
chose
catastrophe
d'utilités
mortifères
Réalité
RÉEL
sans la vérité
DEs
DESTRUCTIONs
en l'universel
incontinence
guerrière
moléculaire
d'infiniment
petites
prétentions
'' Ni rire,
ni pleurer,
ni détester,
mais comprendre '' **
et paradoxalement
main tenir
la secrète
Présence
au Camp
des maux
à mots
et dire
à reprendre
constamment
Ce qui échappe
TOUT
les faits
spinozisme
et vérifier
à jamais
Ce qui
EST
EST
Sous peu
après
TOUT
ART
des vives
mémoires
allumant
à la toute fin
ce que doit
seras
dès le début
''...le dernier pas,
le pas final
effectué au therme d'un long
chemin,
le dernier mot après
lequel la peinture
devrait se taire ,
le dernier ''tableau''
exécuté
par un peintre.'' ***
Massifié le regard
disparu
l'Oeil
sec
ancestrale
Nulpart
MORT
L'effacement
du signe
en sa
NUIT
Détachement
du
VRAI
d'embellie
de la symbiose
d'AMOUR
à sa
FIN
Enfin
la magnificence
du
SEUL
posthume
pour les oiseaux
de
NUIT
Prévert pour Orff *
Spinoza **
Taraboukine ***