Et des choses
connues
depuis
la mer
plastifiée
des bassesses
ssssss
immondes
du passage
cassé
d'exitances
forçant
l'abdication
à l'air
l'eau
et les songes
d'enfances
vers le TRI
du Diable
en Dieu
sait quoi
qui cocufie
Rose Marie Baby
en funestes
passations
codées
d'imbéciles
calculs
biliaires
au compte
des morts
subites
pour une chanson
trouée
d'immondices
( La machine
gouverne)
dit Paul
Déjà posthume
ces mots
défaits brisés
de mondialisation
barbares
maladie
mortelle
jusqu'à
sans connaissance
cadavre
dansant sur le plancher
mouvant
encroûté
d'anglicismes
bafouillant
au miroir
s'évanouissant
dans la terreur
horrifiante
d'un combat
perdu
d'avant
TOUT
Oser dire
tout croche
tel à été
l'abattoir
de ce monde
apocalyptique
du déni
de mains lâches
Foutre
au compte
bouffe
tubant
le digestif
festif
poncif
se ponçant
le cervelet
Où ?
Et bien
exactement
ça
LÀ JUSTE LÀ
le paradis
avec son petit pet gazé
de pleine Enfer
Lumière
éteinte
d'immondices
parmi les mots
forçant
le sens
et la beauté
car pour un sans nom
ce n'est pas
de tout repos
que d'oser créer
à l'image
du Dieu
ces menteurs
d'ignorances
un vide!
Allons...
En fin
de parcours
l'immanence
près du tombeau
ICI MÊME
MAIN
TENANT
symbiose
sans mentir
échappant
a la terrible
donneuse
mortelle
Limbe
immobile
d'avachies
d'attirés
par le fond
Insensibles
moments
d'insoutenables
perditions
de synthèses
d'agglomérées
scientifiques
vers la planète
Saint Étique
des minables
chiffrés
de plus
Personne
pour répondre
à l'appel
de la guerre
yes sir
d'enfin
pas le temp
at vitam aeternam
en somme
comme toujours
le même
UN des uns
terminant
la couleur
de ses rêves
en jaune
apocalypse
sa FIN
Du plein
monde
de trop
en chimère
Proématique
taxi ailé
en beau bateau
sur le fleuve
Héraclite
des jours
indifférentiable
de la durée
diurétique
diablétique
insondable
part
de folie pure
moments
grotesques
d'une annonce
faite
à Marie
enfant de nanannes
aux cimes taires
du déluge
sans rescapés
Crécerelle
au bout du doigt
de la création
Librement
en tout
les points
d'appuis
Créer
c'EST
TOUT