Du solo
de
SILENCE
aux forêts
enchanteresses
quand
juste
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et l'uni-vers
même
si l'affraire
prend
sa noire émotion
De qui ça parle
qu'est-ce que ça
dit
diras
sous peu
le vent mauvais
de novembre
sur des mots
en ces temps
furieux
d'instincts
de la misère
à crédit
ou encor
de la suite
du monde
en festivités
de feux d'artifices
menés menant
au coeur
tragique
du
JEU
si concret
de circonstances
et en vérité
d'une solitaire
présence
toute en sept
de huit
( le rire
de la méduse)
usant d'us
et coutumes
préférant le silence
des agneaux
en chiche-kebab
et des pour voyeurs
d'en sommes
freudiens
et pas
tout
là quand
(pas-tout)
la bouteille de Miller
et de la
Nature
natures
etc
Enfin
de la terre
comme
Cézanne
vers le triangulé
du passage
la l'arme
à la main
En fin
bref...
Dés pipés
du poète
pour une histoire
en Conte
à rebours
( la lettre volée)
à voler
de ses propres
ailes
au bruit devant
divers
aiguillé
au sortir
des maux
verts
encor
et en corps
brides
scories
résidus
poussières
d'errances
sur main à crayon
et de la marelle
en forme
méta
amphore
et des traits
en traites
d'attraits
pour la blanche
neige
des compagnes
en forme
de passerelle
vers...
la
MORT
Non...
noui
OUI
et le pas
LÀ
en
TOUT
sans
gouffre
en
ART
prendre
l'air
aillance
post-maniérisme
d'Arcimboldo
des pommes
aussi
sur Paris
tombant
de la table
'' Nous n'existons
que sur les lèvres
de nos amis '' *
en petits ressentis
d'émotions
tout animal
en bleu
devenu céleste
par ses vertes
saisons
Le monde
en peinture
tombant
des nus
et d'effrois
pour quelques
couleurs
par la main
allumées
Enfin
quoi?
Reste à dire
le
RIEN
pour
le mot ment
Woolf *