Perd six t
en 7
a la mare l
Éloignez-vous
du temps mort
et qui suive
après
TOUT
le bruit des suiveux
s'entend
satan
à bien en tirer
quelques... .
lubies
aux... .qui en enfer
est prisé
et hors
de cible
ZEN
quelques fois
ICI
OÙ
en
VRAI
au mur
des entourloupes
à monnaies
patries
Jaunestown
vers des jaunes
tournesols
de la
DISPARITION
l'ART
toujours
en
EN FAIRE
autant qu'enfer
se peut
de la mécanique
microbiologique
des chers
à vivre
emmurées
des enfarinés
de casserole
à Caraco
ART
main tenant
la matière
d'embellie
du posthume
en face à fesse
avec la
MORT
au couloir
des épelés
dédoublant
les sacs verts
à mardes
l'innommable
hominidé
d'autant
en apporte
le vent
de la
MORT
au TROU
noir
de la béance
d'OUBLI
d'avant pendant après
la
VÉRITÉ
de
L'ART
mélancolie
de
Durer
et dans les termes
antre-nous
dans
l'Oeil
du
cyclope
cette poussière
dont à tant besoin
la
NATURE
à escient
d'en feindre
le destin
irrévérencieux
devant
les larmes
de la
CRÉATION
de la
BEAUTÉ
en enfer
précisément
Tenir
sur la ligne
d'araignée
aux débarquements
depuis le début
de l'histoire
idiote
des morts un à la suite
de l'autre
qui que quoi
en somme
de misères
infinies
la même
tartistes
entartés
de la
MORT
d'être éternelle
Main à charrues
d'oeuvrages
bâtisseurs
du temps
réprouvé
de la mortalité
d'OUBLI
BLANC
Cézanne
disparition
Cathédrale
et milliards de soleils
en vain cents
iris
et bottines
debout
au
sol'OEIL
éclairant
les charniers
univers
exorbitants
de la culture
des vers où
dix par rue
sur socle
et poussières
JE
te retrouve
LÀ
EXACTEMENT
LÀ
Et
OUI
en sortir
du sort
de la misère
d'ignorances
assassines
envers le plus
GRAND
que
TOUT
Saïs
au cime terre
'' La vie
c'est un coup
de dé
nécessairement
vainqueur '' *
Et la balade
la nôtre
éternelle
jumelé
de chœur
sur l'abysse
où
nous tomberons
s'envolant
épiphanique
À la stupeur
et des séquestrés
otages
de la
DISPARITION
en
SOMME
post représentation
du
VIDE
sanie taire
sous les larmes
(le sang du pauvre)
Bloy
et des mises
à l'écart
que même sang
le signe
il en manque
TOUT
figé
en petit
dessin
spectrale
en fureur
QUE
des larmes
contre
armes
et désarmer
tous mes ami(es)
Deleuze *