Rideau
De Profil
De Profil
L aile
lumière
ludique
elle
s'envole
légère
la flèche
encor
du Saint
au canard
de l'air
codé
d'allégeance
derrière
le rideau
ne se dit pas
le lieu
s'égare
revient
en corps
coeur a larme
outré
saigné
des naufrages
fixé des roses
Encor défendant
le risque de l'Art
au jeu de l'imaginaire
passant d'un réel
imaginé subjectif
devenu Réel
(qu'est-ce que le réel)
Combien de 'réel'
y a t-il?
Celui de Dieu
du psy de l'Art
de l'argent
Enfin tout ça
ou bien quoi lalalà
l'erre...
La réalité est la misère
de respirer sainement
pour simplement
pouvoir aimer
amoureusement
d'amour
Et puis quoi
l'éternité
la mer allée
avec le soleil
et puis la gangrène
le désert les armes
les larmes
en fin
Y a-t-il de la vie
avant la mort?
Un poème...
l'évanouissement
dans la sournoise
l'imprévisible
c'est terminé
Les chalutiers
de l'autre côté
du tri bord
ramassent
sur la rive
l'échouage
des capelans
séchant là
dans les poches
des pilleurs
prédateurs
du fond en comble
des jusqu'au dernier
L'histoire
allongée devant
l'écran du mouroir
la nécrose du ciel
fait son total
Croire il ne s'agit
que de croire
tu vois
Voilà...l'en terre
de fuites
Pourquoi...
Lignes
qui n'ont que le mot
Sortir d'où?
Verrous...
ou tenir le coup
sachant
la caverne
le fleuve Héraclite
l'Art de ou pas
sage...
Ici erreur ou pas?
Avant pendant après
...
Quoi...
Vent ayant eu
pour dire
Oui dans la rue
ruse des corps
comédiant
ventriloquant
la matière grasse
pillant, pillée
disparue
Passé outre à quoi
etc etc...
Monnayée
sang cent chiffrée
Chemin comateux
ou pas...
Petit dessin
au pas à pas
Vers Nulle-Part
où se détache
les faux airs
rendant le souffle
au Souffle
à ceci cela sans savoir
RIEN
Oui pas sérieux
ou trop ou trop
peu...'Et on écrit
aujourd'hui,
des histoires.
en style
d'Opéra-comique'*
Imbécilité
ignorance
innocence
raison résonnante
et tête de pioche
dure pas de tête
écervelée
ou sans cervelle
l'ennui guidant
la violence
aveugle
coupe sang
sangsue coupe gorge
infanticide poétique
mante menterie
porteur de maux
carburant...à marde
et l'inverse théâtre
Mixé métisser
cache ton dieu
dernier moment
tu meurs tu vois
etc etc
Mais le temps
jaillit et fait du jadis
une aide posthume
L'Art stop
contamine la Mort
lui fait cracher
la Beauté
à tous les coins de rues
et décourage
la part haïssable
de ses astuces
Alors encor
à dessein de l'autre
dessin...
Un visible visible
en lignes décrites
Que malentendus
dans la lourdeur
du quotidien
qui à tout prix
se venge de la libre
éternité de la joie
de créer
sans savoir
sans idée
préconçue
cheminant
vers dieu sait quoi
ou Coluche
ou Kafka
...
'Beaucoup ont l'oeil
faux ou inerte:
ils voient littéralement
les objets, mais l'exquis non' **
Et LÀ la belle Saïs
dévoilée mordue
au mont tu vois
en bien-fait
des facétieux
de l'ennui
de la trime dure
et des picettes molles
dans la caverne d'Alice
au trahi des mères
veilles...
Etc etc ctetec et c
tacé
Voltaire *
Delacroix **
Encor défendant
le risque de l'Art
au jeu de l'imaginaire
passant d'un réel
imaginé subjectif
devenu Réel
(qu'est-ce que le réel)
Combien de 'réel'
y a t-il?
Celui de Dieu
du psy de l'Art
de l'argent
Enfin tout ça
ou bien quoi lalalà
l'erre...
La réalité est la misère
de respirer sainement
pour simplement
pouvoir aimer
amoureusement
d'amour
Et puis quoi
l'éternité
la mer allée
avec le soleil
et puis la gangrène
le désert les armes
les larmes
en fin
Y a-t-il de la vie
avant la mort?
Un poème...
l'évanouissement
dans la sournoise
l'imprévisible
c'est terminé
Les chalutiers
de l'autre côté
du tri bord
ramassent
sur la rive
l'échouage
des capelans
séchant là
dans les poches
des pilleurs
prédateurs
du fond en comble
des jusqu'au dernier
L'histoire
allongée devant
l'écran du mouroir
la nécrose du ciel
fait son total
Croire il ne s'agit
que de croire
tu vois
Lignes De Fuites
Voilà...l'en terre
de fuites
Pourquoi...
Lignes
qui n'ont que le mot
Sortir d'où?
Verrous...
ou tenir le coup
sachant
la caverne
le fleuve Héraclite
l'Art de ou pas
sage...
Ici erreur ou pas?
Avant pendant après
...
Quoi...
Vent ayant eu
pour dire
Oui dans la rue
ruse des corps
comédiant
ventriloquant
la matière grasse
pillant, pillée
disparue
Passé outre à quoi
etc etc...
Monnayée
sang cent chiffrée
Chemin comateux
ou pas...
Petit dessin
au pas à pas
Vers Nulle-Part
où se détache
les faux airs
rendant le souffle
au Souffle
à ceci cela sans savoir
RIEN
Rideau
De Filet
Oui pas sérieux
ou trop ou trop
peu...'Et on écrit
aujourd'hui,
des histoires.
en style
d'Opéra-comique'*
Imbécilité
ignorance
innocence
raison résonnante
et tête de pioche
dure pas de tête
écervelée
ou sans cervelle
l'ennui guidant
la violence
aveugle
coupe sang
sangsue coupe gorge
infanticide poétique
mante menterie
porteur de maux
carburant...à marde
et l'inverse théâtre
Mixé métisser
cache ton dieu
dernier moment
tu meurs tu vois
etc etc
Mais le temps
jaillit et fait du jadis
une aide posthume
L'Art stop
contamine la Mort
lui fait cracher
la Beauté
à tous les coins de rues
et décourage
la part haïssable
de ses astuces
Alors encor
à dessein de l'autre
dessin...
Un visible visible
en lignes décrites
Que malentendus
dans la lourdeur
du quotidien
qui à tout prix
se venge de la libre
éternité de la joie
de créer
sans savoir
sans idée
préconçue
cheminant
vers dieu sait quoi
ou Coluche
ou Kafka
...
'Beaucoup ont l'oeil
faux ou inerte:
ils voient littéralement
les objets, mais l'exquis non' **
Et LÀ la belle Saïs
dévoilée mordue
au mont tu vois
en bien-fait
des facétieux
de l'ennui
de la trime dure
et des picettes molles
dans la caverne d'Alice
au trahi des mères
veilles...
Etc etc ctetec et c
tacé
Voltaire *
Delacroix **