Là ou LÀ
car pareil
TOUT
semble
fade
et déjà vu
malgré
le pire
qui s'empironne
au lieu
d'emmieuter
Vol quand
la faim
creuse
la tombe
et l'ennuis
se lavant
les mains
là quand
de même
au portail
où s'irrite
la petite semaine
après la mort
l'en faire
aussi Goethe
colorant
la lumière
C'est de là
MORT
des en sommes
propulsant
la consumation
des moelles
épies
nièmes
jusqu'à
beaucoup
trop
l'écœurement
des fuites
squelettiques
d'ancêtres
électrifiés
du seul
oeil restant
comme soleil
a la morale
menteuse
égrainant
les carcasses
pyramide
vers les planètes
en purées
de pommes de terres
tableaux
à déclouer
des muses
attristées
par le hurlement
Dire
qui comprend
se que ça veux
dire
C'est déjà ça
sans identité
encor
celle qui aurait du
n'est plus
n'était
sur mesure
que par obligation
de la boîte
à lunch
des maladies
et du corps
sur le billard
la boule noircie
aux brûlures
des haut fourneaux
d'art fric
et décidé
200 ans trop tard
nothing
to do it
for never
more
for you
en des chemins
où d'impensables
pensées se pensent
deviennent
le mal à nommer
au-delà
du maux
Alors
percept
le temps
tant et aussi
longtemps
que l'agonie
se poursuit
Grain de ciel
secret
chutttt....
Perdu
des pas
SEUL
Walser
la neige
absolument
jamais
TOUT
seul
enfin
presque
lévitant
de justesse
l'attache
du coeur
solide
Des coyotes
ce matin
le beauceron
ragaillardi
de mémoires
en pleine
dévastation
du paysage
instinctif
Du sel
mouillé
d'un futur
antérieur
Insidieux
présage
mortuaire
pas né