Plâtre De Paris
(2009)
Tête
mourante
meurt-elle
de mourir
sachant
la mort
ou n'est-elle
pas encor
sang corps
SANS
quoi
sang chemin
de mauvais
sens
à tu trouvé
les couleurs
de ta
NUIT
c'est l'enjeu
sérieux
de ne
PAS
AILLEURS
chercher
l'ICI
en
9
car ils cherchent
l'îles
d'Aile
ludique
à la
JOIE
cerclée
d'ART
dard
d'os salés
dans la mouvance
oublieuse
des sens
ciel
ÉMOTION
fusionnelle
de nos pauvretés
métissant
l'appartenance
complice
sans question
devant
L'EFFROI
impertinente
du
jardin
de nos enfers
cultivés
d'immémoriales
sapiences
À deux
en 4
à la cinquième
douleur
résurrectionnel
et secrète
La Vérité
dessine
la sortie
qu'elle sait
du
NÉANT
dont on naît
le trait
à dessein
d'entrer
pour ne plus en sortir
entrant
dans
le bonheur
fou
d'être né
pour la fuite
d'escampette
et de moultes
tentatives
pour en épivarder
le repus
conscient
de l'art
PART-ART
détrônant
la sortie de
l'Enfer
ce que l'on veut
en vœux
du règne
JOYEUX
par les temps
qui courent
depuis
le début de quoi... .
Où peut bien être
l'horloger
de
voltairien
pendant
que
se déconcrisse
le
TOUT
de la quincaillerie
du pouce
du gros orteil
du crachat
de madame
Edwarda
une tentative
d'y boucher
les trous
colmater
la fuite
dit vain
par le
RIRE
mais
le VENT
imprévisible
messager
du dernier
acte-lier
de l'oreille absolue
en quête
narrative
antre
NOUS
de pierres
d'affects
arbrés
du danger
des animés
fuyant
sang sèche
la présence
infinie
d'ATTENTE
Sang d'épaves
d'inattendu
(L' intimité
de la mort
invisible)
Blanchot
Encor
dans les mots
à maux
d'ICI
plus
que
LÀ
osant
sans dire
le
DIRE
le
SILENCE
d'erreurs
répétitives
demeurant
erreurs
suivantes
par pour
de mortelles
agonies
Homo moriturus
posthume
à la trahison
du ciel
et de l'enfer
des limbiques
us
collabos
statuquo
d'os
brisés
à la frise
interminablement
répétitive
du
LÀ
ICI
AILLEURS
agrippé
de complicité
acquise
immémoriale
folie
déchirante
main tenant
des souvenirs
inventés
de toutes pièces
par le
temps
Saïs
'' Méfiez-vous
de vous et de moi...
...Pas la peine
de faire leur procès
aux mots.
Ils ne sont pas
plus creux que ce qu'ils
charrient '' *
et
Nulpart
à libéré
de la machine
à
MORT
et ses cris
de
NOUS
SEULe
SAVANTe
et le
Néant
est
l'éternité
du retour
du
EST
Sans
QUOI
tantôt
la
cale
sèche
aéré
des amours
sans queues
ni têtes
Dire
toujours
ce que l'on ne dit
PAS
BEAUTÉ
de
L'ESPRIT
des larmes
Ô
Cellule
SEULe
à passer
barreaux
de poussières
errantes
agrippées
tenant la rive
effaçure
fou
Ô
la fin
sans faim
anesthésiée
par la flottaison
des sels
brûlants
d'
AMOUR