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14 mars 2023

Echouries


Faire 
Tombe
Art
sang repos
LIBRE
déjà
le
GRAND
OUBLI
de la
FIN


Et 
en bout 
au terminus
de l'avis
gare 
aux mots
utiles
coïtant
avec l'embouchure
du dessin
au mur murmurant
la raté
du
MONDE


... .des mords
justifiant
de mort
absolue
jugé d'avance
à la lumière
de la faim
du temps
horaire
d'horreurs
camouflées
de coeurs
ensevelies
sur l'autoroute
de la file abyssale 
certifiée
de l'oubli
oublié
tenant par dessin
le secret
de la perdition
posthume
dès le départ
du jugement 
dernier
de la dépenses
imposturisées
d'être
et de subir
la figure
défigurée
du
 DON
Qu'est-ce que l'Art
sinon
OUI
à la jouissance
mystérieuse
de 
L'EFFROI
d'AIMER
et c'
EST
encor
aile
qui fait dire... .


Dire sang 
des cents dues
tripots
d'heures
 regardeurs
prés datant
du corps
tremblant
de la silencieuse
faucheuse
VRAI
antre-nous
au travail
invisible
de ta splendeur
reconnaissant
ta prise
à la
BEAUTÉ
du je t'aime
fulgurant
d'ossature
attendant



de
VOIR
ce
RIEN
qui donne
TOUT
d'élévation
comment dire
ne se diras
qu'après
l'exaucé
de la mise
errante
aveuglée
de vouloir
ÊTRE
dans les pas
du trépassé
commentant
l'échouerie
d'errance
erronée 
de 100 haines
sanguinaires
comptant
sans
CONTE
à corriger
imbus
stellaires
produits jetables
pas un homme
une honte
de prédation
au 
JE
innommable
erroné
d'a 
VOIR
vu
les cris
de la nef des fous
tue est
moi
l'univers
en stop
pour un dessin




24 mai 2022

10 vers Sillons

 



Antithèse
transgressant
RIEN
DU
TOUT
De 
tenant
LIEU
donnant l'image
en dix versions
vers en somme
l'offrande
en 
de la faim
en petits
poissons
de
dix yeux
de tous
en 
EST
Simple
comme
est froid
un cadavre
et chaude
la chair
de poule
Moqueur
lapin
mangeant
les premiers
arrivants
à l'oreille
de Ravel
et c'était
TOUT
...en avançant
avec le pire
par la nef
d'épave
de la terre
d'ennuis et de misère
après
l'Art
la dispersion
aux milliards
trilliards
de nothing
to do
en e= aime c'est 2
des seuls
en 
UN
de conscience
en
TOUT
Illusion
de quelque chose
fable
 de madame
messieurs
d'histoire
de lui le 
Conte
de Che pas qui
de la révolution
des enclumes
du marteau
des feux
de l'Enfer
pensé par le poète
SIMPLE
et qui veux 
de la simplicité
des mots sillons
d'emphase
aussi
sur les abandons
du verbe
d'au début
était le temps
le sacré
temps qu'il fait
l'hiver forcé
du réchauffement
de la femme enceinte
de Cassavetes
de Rose
ou encor
le chaperon rouge
et des tas de maux
pour dire
en somme
Après
socles et poussières
et les lamentations
des élues
de la démanche
et de l'écartillée
dans Paris
bidon
de la poutine
(spermes de guerre)
d'art-ô
et de qu'est-ce qu'il
advient
a la suite 
post-traumatique 
de la
FIN
à la tv 
du paradis
célinien
en regard
de l'intérêt
que porte la
MORT
sur la chair
des hommes
désossées
à l'os de la reproduction
du trait 
de la traite
des tableaux
d'emballages
amusant
la tirelire
du diable au vert
de mains
à l'oeil
du six clowns
devant le roi
endormi
du pantin
la cour est pleine
supports
sur faces
de passage
chemin faisant
doré
Gustave
de la divine
poussière
du ciel et de la terre
en lettres
rouges
laisse faire
un
 Conte
l'autre raconte
l'écho répond
par acouphènes
il est loin
passé date
de temps en temps
dix par rues
et un deux 3
quatre cinq
un état 
pays
un monde



B
des cils
sur la table
sainte
 des enfants
savants
des animaux
bien avant
et bien après
que l'antre
ce passage
initiatique
de vivance
de la vrai vie
en cavale
bordant
le maquis
des bombes
Nature
natures
des mouches
sur l'histoire
d'Abraham
pour quelques sous
zéros
aux enchères
de la divine
comédie
poursuivant
ce qu'il faut en croire
les banques
le fruit de la pomme
et de vos dorts 
sur la création
posthume
du bonheur
UN 
une foi pour toute
entre toute les femmes
déjeunant sur l'herbe
monnayées
par le prix des Manet
de la croix
sur le radeau
de Jéricho
scellant
la poussière
de
l'Art
de la
lumière
et de la 
vérité



Silence
les arts
entendre 
la musique
du sidérant
trépassés
au noir
ou comme seras
le temps go
créer du sens
sensiblement
tranquillisé
sachant bien
en fait
la dame
aux gros pieds
malmenés
des destructions
oisives
Enfin
quoi des bourdonnements
des folies guerrières
par chaosmos
repris des noces
avec la divine
sérénité
fusionnelle
du
DONNÉ



Odalisque
assise
pour Thérèse
d'Avila
Seul
 à Seulement
ÊTRE
et d'Aile
au vol
retrouvé
d'Intangibles
trahisons
Inconsolables
manquements
à l'innocence
d'aimer
Conscient
de sa présence
raisonnable
l'empêchant
d'y main-tenir
sans histoire
la toute puissance
 anxieuse
incertaine
présence
de l'Hôte 



Dessin 
sous 
SILENCE
au pendule 
de Cézanne
jusqu'au cercueil
noir
de Malevitch
à l'urne
des socles
et poussières
de Lavoie
Fin et début
d'Attente
de ce qui 
sans venir
vient
à la seconde
éternelle
que
 d'ÊTRE




3 févr. 2021

Ne Pas Savoir


De quoi au juste?
Pas idée
Tristesse
enfin
 FIN
Cœur
guillotiné
de nuits
en plein jour
Craque
la rue
à l'abri
des âmes
encor
en corps
Perd
perdure
la bienfaisance
matrice
à tendresse
Enfin quoi?
Pas antérieur
postmortem
des tas de gens
ensevelis 
 Masse
virtuellement
ligotée
consommée
verrouillée
d'à peu près
TOUT
bloc de marbre
 noirci
hordes
d'un fouillis
sur quai
des brumes
Fin
De l'autre bord
de la lumineuse
États d'âmes
créant
céleste
promenade
vers Nulpart
Héraclite
ou le moyen-âge
signant
la Cathédrale
de Conscience
et de Lucidité
'' La notion de jeu
comporte en soi 
la meilleur synthèse
de croyance
et de non croyance'' *
...enfin quoi?
Tu vois
la voie
c'EST
celle
qui t'échoit
Mais hors
cela
les dieux
sont sévères


 Inutile
dire
misères
de vaines
créations
en temps
de périls
Et si peu
de semblables
jouant
châteaux
de cartes
de sables
en Espagne
Art de jouer
des tours
à la Mort
De cette peste
moderne
d'air asphyxié
des histoires
 terre
atteinte
au passage
de sa nuit
d'apoplexique
Vienne 
l'autre
Conte
celui
qui bondiras
hors la rengaine
festive
de toutes les morts
mises hors Jeu
de Présence
Effroi
sans création
être
créant
quoi?




Huizinga *




6 juil. 2015

L'Art À L'Air


Souvent une vie
si l'on veut
la mort


Seul et pas à pas
seulement
le plus grand
l'immense
et les vertiges
Terre nature Nature
des masses
celle de Cézanne
encor
Des tas de grappins
une somme de liberté
dans un tempérament
Toute petite feuille
de pépier à pépier
Job ou des signes
sur un bûcher
des cris Munch
Freud Bacon
et ceux des abattoirs
des tables bien garnies
des ateliers d'artistes
récompensés
par la postmodernité
des tralalala l'affaire
de qui fait quoi quo qu
d'en avant le derrière
Et puis tout s'est arrêté
des maladies
d'innommables
sociétaires
aveugles et sans nom
Désert
chimères
vestiges de vent
air et songes
sur le mont-Chauve
Friedrich aussi bien
que la morbidité
fécale du fond
des trépas
du passé présent
sans avenir
Article du code
à disquette du bon dieu
à deux mille millions
milliards de trop
de deux de pique
et en moins riche
de gains
de la peine
de prédation
destruction
disparition
de l'illusion
du mensonge
de la beauté
de la laideur
du bien
du mal
des multinationales
d'invisibles
investisseurs
des tribuns
à justifications
à crever
insensé
assassin
pour manger
(faut bien gagner
sa vie)
SA GAGNER
Où suis-je ?
Qui suis-je ?
Où vais-je ?

L'art est mort
s'est suicidé
il n'aimait pas
la vie
elle était soit
ailleurs ou un enfer
dés pipés
maladie incurable
C'est sans exception
tragique ou rigolade
un cul-de-sac
d'envoûtement
d'habitudes à tout
d'ennuis
jeux de massacres
...Sans fin la condamnation
Mais tout ça triche
jeu de tricherie
de conditionnements
...Rien
Pourquoi de l'art
en l'insensé
le féroce
le dur
la souffrance
donnant la mort
à la Mort
Exactement pour cela
l'intolérable
paradoxal LÀ
Trouveur de lumière
de formes
rythmes
espaces...
Sans reste que ça
et c'est tout
Terre promise
terre de patates
de tristesses
d'outrages
terre à histoires
mensonges
vérités
de doutes
Art de la ruse
de guerre
pour un court
très court
laps de temps
persister
tenir
enfin



22 mars 2015

Le Doute


L'Air À Sa Faim
D'Ère Rie Erre 

Silence
enfin le début
de Rien
après
la mort
10000 ans
de cimetaire
en plaques
technoniques
en polissage
surveillé
par Brancusi
en temps
compte double
+ Arp
faisant leçon
à 5-10-15
c'est le bal
Père No Way
en vente libre
des corps
flottants
des pitounes
sur la Saint-Maurice
sang préservation
crachent des feux
de mouches
dans une page
de Kafka
Joie du vide
libre dans
une soupe Campbell's
un agrégat
nucléé câblé
dans le ciboulot
chantant dansant
jeunes et sans malices
que des milices
en drones
de rires jaunes
sans dents
qu'un trou ancestral
d'où tout est partie
et revient
Pénitentiaire
en carré d'organes
de neiges
aux lois d'asiles
Faucault
encancannés
tout passe du pipé
à des pipes
ceci voir Magritte
comprendre
qu'à part l'Amour vrai
l'Enfer est sans fond
et les couleurs
n'apaisent plus
la lumière
devient froide
Tard très tard
c'est la fin du bluff
combien y en avait-ils
dans le dernier wagon
terre?

Attendre
à tendre
penser
seul
si do ré
mi fa
sourd
muet
pour dire
les derniers
bourdons
timbales
et percussions
maux
de flétrir
les chairs
de Freud
(les deux sont bons)
là flottant
lambeaux
de mots
Eaux mortes
à tromperies
de l'air
même les rêves
à larmes
jugements
des viandes
pères mères
d'ignorances
tuent
désert
Le dernier
nez
au feu
un brin
d'écho
âme
dernière
en roulette
éternité
passé
sans guerre
mot
moins
bien moins
Rien

Tout est permis
gjlui;è
ou encor
ttiukak
(VIDE)
autrement
dit Dieu
le cadre
le châtiment
le tableau
le sujet
verbe
pose acte
en sang gland
de mer rouge
par ADN
xyz
Oyez eau
et ô hisse
et flye bine
abra jambon
cadran 24 sur 24
par temps mort
l'ennui
la nuit
entre têtes
sur le bilboquet
en bon fils
de pros faites


21 avr. 2013

Sous Venir

Absence
en hymne
âge
d'air
d'oeil
au néant
de nous
Part pas là
sous venir
en fusion
soleil
noir
d'une mort
certaine
'LAISSER LES MORTS
ENSEVELIR
LEURS MORTS.
Ceci veut dire
qu'il ne faut
s'occuper
des morts.
Jésus condamne
les traditions.' *
Figure-toi
d'errance
en leurre battant
proématiquement
le vent
atomique entre
tes deux fesses
un rot en bas
de guerre
un doigt scrappant
s'autotriant
dieusement bon
western
tatataratata
you ououuuu
Rintintin
Un souvenir de quoi?
Pour qui?
Qui suis-je nous
après moi?
Et puis
ou sang...
esse
la nuit
frayait avec la fureur
la mémoire
coupe bordure
froid cheveux
gazon
ou les cents
morceaux
des tranchées
chiens chats
hommes
ni soit qui mal
y pense
corps de chairs
absents
verts des prés
du champ
envers
vers des pluies
de plumes
libres
d'ailes à tête
à cages
de peintres
pas là pas nés
sans grappins
ici en une sale
affaire
d'innocence
broyées
d'ingérences
aux entrailles
de laboratoires
d'essais cliniques
alimenteurs
à charognards
et gestapos
médicamenteurs
sans frontières
d'espaces temps
de pêches
Sales eaux
monétaires
Non...Oui
l'un l'autre
Noui Ouon
stamort
paspir
lime âge
jusqu'à
jamais
oublier
chair capital
pareil
à un tronc
bonne
d'estomac
à gros morne
nada caca
peines
de guerres
dans un moïse
une fleur de lys
paisible
sans fin...
Si...
Mais enfin.
Point final
Point.Rien.
Point...Rien.
Point  .
Sous Venir
sur venir
advenir
un soulier
(dans la neige,
qu'était
oublié)
dit le pourvoyeur
de la belle
Noiseuse
etc etc...
Des îles
en jenous
emballées
de plures
en crisse
to peu trop tard
de Nature
nature
de terre morte
dans l'autobus
le métro la toto
du vélo
du show business
Cou cassé
aile...va....
vacille...Mais enfin
bref...océanique
'Penser...? Penser!
c'est perdre le fil.' *
Oui bref...
Duras Trenet
Rousseau etc
Klein Pollock
Carr etc
Bachelard
en beau câlisse
oublier mieux
Image
en grisaille
sur une butte
un arbre allongé
déjeunant
sur l'herbe
avec Manet
et Berthe
Tout ceci
comme une mort
à l'oeuvre
cent mots
en papier
tue mouches
bzzzzzzz
bzzz bzz bz bzz
'Variations
sur Descartes.
Parfois je pense:
et parfois je suis.' *
Depuis le début
une ridicule
perte pour un Rien
de disparition
en la nuit
des mots
Parois d'où s'envolent
 les oiseaux

Valéry *

Un Rien D'Abandon

Pour mille
et un
maux à mots
Pour un après
d'à jamais
Dieu sans toi
203 deux
sans foi
ni trois
et boom
le coeur
de Jim
pour la fille
de Pierre
au pic
pâ pelle
pour un Job
de cul
en Dieu ou pas
pour un bout
de ciel de terre
en queue
de poêlon
du mourir
au sang du signe
2 100 mille
9 100 98
20 7
9
Flambant
9
chiffré
transfiguré
de la Nuit
de Rien

Des pots mots
de couleurs
celles du bout
de la tête du doigt
à pile b blé u
rouge vif
jaune chinois
d'Arles
Des wagons
des dégénérés
des suicidés
du socialties
du fix me up
comme feuilles
qui tombent
des trains trains
quotidiens
des collabos
d'enfers
d'hommes
à la sanguine
des peaux mortes
par milliard
aux couleurs
des dieux tyrans
snappers
du haut de l'aliment
des corps
aux pourcentages
passés dates

Un Rien Un
de grain de sable
etc
où s'abîment
s'effondrent
tombent
les petits pans
de sens colorés
en un restituent
de liberté
insondable
dans le Silence
d'un innommable
amour
de Je l'Autre
attendu
jamais là
mais invisiblement
Là pour Rien
voie-âge
dans le mur
des de Voir
antérieur
une prescription
guéri erre
entre les dents
du palais
et le bas dedans
l'air libre
pour un trait
de vieux jeu
d'abandon sauvage


1 nov. 2012

Seul Un Dieu...

Seul Partir
bruits
d'Ailes
dedans
le froissement
des guerres
de boules
de neige
à neutrons
à coups
de canon
à eau
de mort
à morts
de tranchées
virtuelles
pyramidales
à répétition
pour de l'or
et des prières
etc...

Et un Silence
babélique
de bruits
et de fureurs
Faulkner
tout en soliloque
et solitude
et de sauve
qui peut la mort
...etc

Lequel Dieu?
le seul...
Le même
futur antérieur
'...j'ai l'impression
que Dieu
me pardonne
mes péchés'*
Dieu en bien
en mal...
et tous les restes
Lignée d'Amour
et d'eau fraîche
des oasis d'infinis
et c'est assez
et c'est beaucoup
qu'ertifranon
qu'onverblas
et ces restants
de Rien
de LÀ voyez-vous
des enfers
et du ciel

De dieu politique
et très à droite
très à peaux pots
en potcâlisse
bidounnant
quelque chose
en synergie
de pas très catholique
comme diamantaire
cocainogod
et pour une coupole
d'or à dieu sait quoi!
Ceci est! Le faut-il?
...On s'en crisse
Seul un Dieu
...devant le tyran
ou n'importe...
devant Dieu
lui-même.

Matisse*