P'Art Traits (suite)
Sans issue
insistant
là ici mais où ?
Par quel sort
ce lieu fou
en multiple
fouillis
de choses
fouillis
de choses
et d'autres
Autoportraits
de peintres
peuple
peuple
sans lieu
dans la boue
colorée
de la conscience
arrachant
du souffle
de l'air
et des parcelles
de quelques
possibles
et infantes beautés
par les entrailles
du ciel et de la terre
Là dans le gosier
de la mort
Comédie
en fin
un coup tragique
Là dans le vide
errance
funestes
apparitions
des peurs
qu'est-ce qu'ils croient ?
Et Pascal Hegel
...la peinture
oui la beauté
de la vérité
un métier
comme une vie
qui est là ailleurs
juste Là
instants captés
en larmes de sang
Attente
tu voies
en vain...
Main tient
de l'art devant
la débâcle
du cerveau
monde
Quête et requête
désespérée
de fatigue
reconnaissante
et amoureuse
immémoriale
Pense main
signe ton cri
c'est depuis
par la seule gauche
(la droite ayant
assassiné depuis
l'esprit d'imaginaire)
que tu persistes
sans mouvements
tralalas
ou dada encor
porte tes yeux
au bon trou
post reposte
pop et bébelles
cocooning
mort ou vivant
t'es seul à ton trou
à creuser ton compost
de couleurs
coagulant comme tu peux
la forme d'un reste
arythmique scellé...
Seule main
à murmurer
des imagos
pour en sortir
de l'en faire
moment
de la moutarde
du bouton
à quatre trous
du rôti de bœuf
des opérations
du saint tes prit
aux ordures...
Passage par
l'histoire obligée
au nom de l'acte
Présent Je
quand on te nomme
ce saint lieu
d'y croire
terreur
créant du désert
artiste suivant
trouver l'erreur...
Et comble de vide
ce que je vous voulez
en Un Tous
à la vitesse extrême
du neutre
et pétrifié
Peur du Je Vous
en Un lui le même
Peur de Rien
en avançant
la poésie
en reculant
là aussi
ou d'où vers
Un fil
une ligne
la vie
Petites vivances
trainant là
hors la horde
des mots à maux
du visuel
encor à bonne
dose d'émotions
'J'ai une peur
atroce de mourir' *
Renforcer la calotte
polaire
en brûlant
des cellules
à barreaux
ouvrant des pensées
à outrance
là où ça meurt
d'avoir peur
de l'Art
de la passion selon
de vives en vies de vivre
d'Amour et d'eau
fraîche
Ferré *
de la mort
Comédie
en fin
un coup tragique
Là dans le vide
errance
funestes
apparitions
des peurs
qu'est-ce qu'ils croient ?
Et Pascal Hegel
...la peinture
oui la beauté
de la vérité
un métier
comme une vie
qui est là ailleurs
juste Là
instants captés
en larmes de sang
Attente
tu voies
en vain...
Main tient
de l'art devant
la débâcle
du cerveau
monde
Quête et requête
désespérée
de fatigue
reconnaissante
et amoureuse
immémoriale
Pense main
signe ton cri
c'est depuis
par la seule gauche
(la droite ayant
assassiné depuis
l'esprit d'imaginaire)
que tu persistes
sans mouvements
tralalas
ou dada encor
porte tes yeux
au bon trou
post reposte
pop et bébelles
cocooning
mort ou vivant
t'es seul à ton trou
à creuser ton compost
de couleurs
coagulant comme tu peux
la forme d'un reste
arythmique scellé...
Seule main
à murmurer
des imagos
pour en sortir
de l'en faire
moment
de la moutarde
du bouton
à quatre trous
du rôti de bœuf
des opérations
du saint tes prit
aux ordures...
Passage par
l'histoire obligée
au nom de l'acte
Présent Je
quand on te nomme
ce saint lieu
d'y croire
terreur
créant du désert
artiste suivant
trouver l'erreur...
Et comble de vide
ce que je vous voulez
en Un Tous
à la vitesse extrême
du neutre
et pétrifié
Peur du Je Vous
en Un lui le même
Peur de Rien
en avançant
la poésie
en reculant
là aussi
ou d'où vers
Un fil
une ligne
la vie
Petites vivances
trainant là
hors la horde
des mots à maux
du visuel
encor à bonne
dose d'émotions
'J'ai une peur
atroce de mourir' *
Renforcer la calotte
polaire
en brûlant
des cellules
à barreaux
ouvrant des pensées
à outrance
là où ça meurt
d'avoir peur
de l'Art
de la passion selon
de vives en vies de vivre
d'Amour et d'eau
fraîche
Ferré *