Là aller vers
ce qui est dans les vaps
brumes l'indéfini
ceci ceci cela
de ce qui
EST
de la présence
au
TOUT
et qui pour
et qui pour
L'ART
n'arrive que par
n'arrive que par
le sacrifice
de la forme et ses sorties
de la réalité
d'un ensemble de faits
concrets
(souffrances
physique et mental)
et le marcher sur les braises
ou le fil ténu de l'art
sur l'abyssal
réel
des morts
à la statistique
au prorata
à la variabilité
quantifiable
relatif des pouvoirs
et de la multitude
d'autres évènements
imprévisibles
Il y a
cette misère
et les affects
de
l'ART
imageant en sacrifice
l'offrande
le même
que sur la paroi
en signes et gestes
avant ou après
la prédation
Mais
aujourd'hui
la différence
est que cette part
du don offert
est devenue
atterrée
et contre terre
sans la conscience
d'avant et d'après
l'image
en exutoire
n'est plus qu'une création
bibelot
et très néantisée
par une extinction
calculée
au compte de l'histoire
qui c'est enraillée
dans son principe
espérance
(Bloch)
encore Fukuyama
et plusieurs autres constats
du mur
et la crisis et ses multiples
répercutions
existentielles
Fin des idéologies
ou bien fanaison
du genre
et sa
DISPARITION
hors la portée
hors la portée
furieuse
ou du
plus grand
que
TOUT
qui va à sa résolution
du problème
( le problème est
qu'il n'y à pas de problème)
Wittgenstein
ou
Spinoza
et
Dieu
encore la poésie
en sapience
d'amour
et sa conclusion
du beau livre
en blanc de blanc
au jugement pour en finir
avec la prétention
de la grenouille
et du boeuf
ou de la révolutions des puces
d'une couche à l'autre
Donc ce qui se présente
au final de la mise
au tombeau
nietzschéen
des idoles
et le nihilisme
des tabula rasa
en son
TOUT
programmé
programmé
par dieu sait qui... .
et bien
du murmure
sur socles et poussières
ce qui vient là
en
L'ART
du caillou dans la chaussure
du caillou dans la chaussure
de l'à côté
dedans dehors
et du entre le projeté
le projectile
et l'atteint
en sa vivance
esprit terrifié mortellement
en sa responsabilité
d'appartenance
amoureuse
à la nature aimée
ART
de contumace
seul en ses principes
d'irresponsabilités
coupables
devant
la grandeur infini
de l'insaisissable
BEAUTÉ
( amer ou à perdition)
mais avant
TOUT
amoureuse
amoureuse
Du texte
pour l'image
en ses erreurs et corrections
paradoxalement
hors la portée
du vent
( la terre promise
du peintre)
qui est le main tient
Ô
risque
à main tenir
la faille de lumière
et sans savoir
qu'obéir
du mieux après
TOUT
Il y a
ce qui du hazard
déroute
cahotant de ce qui donne
à penser
le
RÉEL
absolu
par la réalité
fragile et triste
d'égarement
et de déni
de
L'ART
pour ne pas mourir
pour ne pas mourir
de la vérité
de la
MORT
mortes
en sa dantesque
kafkaienne
affaire
de religions
de croyances
d'idées
sur le
TRI
qui n'est pas loterie
qui n'est pas loterie
en ce qui
en pleine lumière
éclaire la présence
en
L'ART
main tenant
l'IL Y A
et qui d'impuissance
et qui d'impuissance
sacrifiée
ratée
de l'oeuvrage
alors soit
De la langue
et des poussières
d'errances
celle de
Miron
de Césaire
des colonisés
celle qui disparaît
et vu d'ici
pas que par l'économie
des sciences
au services
des sandwichs
à genoux
de le misère
en joualvert
celle qui pouvait
prendre en affect
et en partage
le bien
du bon peuple
en sa lumière
de mangeurs de pommes
de terres
ou encor
le fouet
des ordres
au nom du père
et fisc et du sein tes pris
Ceci dit
de la langue
en gandoles
cèle de
Léandre
et en beau crisse
la pure au nom
de l'esclavage
d'héritage
en temps donnés
par ici
la parade
et les guêteux
montés à joual
et fraichier
des wawarons
devenue
anglicisée
par ce ma tu vu
a new york
place Pigalle
et
des modos
devenus cheval
de trois piastres
pour 5
Alors l'alarme
venue
des colonies
virtuelles
et bien
que dieu nous veille
absoudre
Alors l'esprit de la lettre
devras
en ce seul un
Dieu
du verbe
par
Céline
sans la doublure
américanochiac
comprend pas
que la langue
soit en bocâlisse
et qu'elle se débatte
pour dire un mot
qui ait du sens
sensé s'adresser
à des gens
qui on de l'envergure
et la parlure
qui la sorte de la
cochonnerie
de sa curie
pontifiée
de lui l'autre
ou celui-ci
Qu'est-ce que
parler écrire
échanger
hors les cliques et gangs
et sectes
des puretés
en purées de patates
ou pommes de routes
Et bien ia
seras le seul
y a -il de la vie
avant
l'émotion
qui d'une greffe
virtuelle
chanteras
l'AMOUR
et le french kiss
et le french kiss
quand elle nous tient
dans ses draps
et fait s'envoler
la poésie
quand aile
demeure
proématique
du
Douanier
dédouanant
sa jungle
et son peuple
au bord du bois
pour une complicité
avec les faôtes¸
de
Borduas
décomplexées
de l'apparaître
désirant
s'amouracher
avec
le râteau du moulin
sur l'autre mont
chantant
TOUT
en ronde
ma
France
ou
Nevermore
verlainien
Alors
IA
et qui de l'image
et du mot
qui vient
à l'esprit
qu'en seras t-il
des maîtres anciens
déplogués
de la branche
des de
La Voye
et ses chimères
d'abandons
dans un pays
sans bon sens
Et que mes étangs
gisent gelés
le réchauffement
des collabos
de pas et des préfères
jouer dans l'île
Ô
passage
d'une raison
à la pêche
l'espace
techniquement
k.o
engourdie de bébelles
et d'infectes
échomomies
où des caduques
coule
la
MORT
mortes
bombardées
du désert
et des grandes prétentions
de laisse faire
et de bonbons mêlés
aux milliards d'opinions
de baraques
et de queues en trompes
en avançant
Ô
ma divine
Clémentine
des jus pipés de la terre
de ce qui crache
en l'air
Ronde de nuit
et pauvreté
résiduelle
en retour des idées
à répétitions
de la multiplications
apoplexique
de la terre
reprenant ses mers
et sa perdition
infini
et la
NATURE
natures
natures
disparues d'oublies
imperceptiblement
en vérité
affabulée
d'histoire du haut
de pas lui
héritier
de la rolex
du sexe des anges
et de la mer à boire
et faits
d'hivers
alors posthume
à langue d'ia
quoi sans âme qui vive
où attend
les derniers
repentir de personne
Ceci donne du texte
enluminant
la joie naïve
des enfants aux cheveux
gris
ou blanc
en la nature
aimée
Encre de Chine
crayon acrylique
sur papier
Fabriano
2025