...de pas
à
TOUT
diversions
tenir
contre
l'UN
des uns
le même
et puis quoi
l'éternité
retrouvé
à volonté
pas plus longue
qu'au
quotidien
le quotient
sur le broil
le grill
bbq
sur le feu
des cendres
des fours
crématoires
poussières
d'errances
à pas
de ce qui
EST
et c'est
TOUT
d'avant
d'après
et du dire
en mots
résiduelles
pour
l'éternel
ICI
juste
ICI
MÊME
Absence
savante
pour
RIEN
de pas à pas
LÀ
sans fin
la fin
en longues
promenades
dans
l'inouïe
de la lumière
et l'amouir
infini
Résister
tenant
lieu
de boue
à bout
de dire
Insister
la flamme
Bachelard
(auréole
d'imaginaire)
Non
des près
d'enfer
et des pareils
L'elle
ne sait pas
l'Aile
le sait
l'Ange
Viemort
qu'est-ce que
tu sais
Chuttttt
Des petits oiseaux
qui crèvent
en plein
battements
d'effleurements
essais
sur
poussières
et ombres
'' L'art et la religion
ne sont pas
deux choses,
mais plutôt l'envers
et l'endroit
d'une même étoffe '' *
Et crie
dans la nuit d'une faille
fabuleuse
aperçue
entre les lignes
signant
quelques débris
de croyance
en ce qui porte
à croire
à la sortie
du labyrinthe
en temps de passage
vers la fin
des baudruches
Disparus
dans les mots
de la faim
des autres
anthropophages
en bloc
marbré
pétroglyphés
de jadis
qui sait
de la vie avant
la mort
guerroyant
sans pourquoi
autant de misères
des coeurs encombrés
de moi je vous tu
exécrables
fin fine eau
des chemises
carottées
du garrot
déveinés
du corps
consumé
sans arrêt
le manque ment
à lui
assassiné
du désir
MÊME
UN
des uns
peuple qui manque
au sens
de la vérité
hors ses sécateurs
de la fuite en Égypte
En fait
(le réel idiot)
Rosset
cso
d'en corps
vers les îles
bienheureuses
imagine John
Jean
attablé
à la vérité
de la voie
des mystiques
ou encor
la poésie
désirant
ce dire
du mensonge vrai
tombant en sa vie
sous
SILENCE
sinon la survie
éternelle
consumériste
du moment
hors jeu
d'univers se taire
en thèses infinies
de diplômes
et d'honoris qui causent
toujours mon lapin
et donne moué
des peanuts
j'te chanterai alouette
sans fausses notes
dit la chanson
du discours
de la Poune
à ses célibataires
histoire
délirante
et
stragédique
Mensonge
m'en songe
et la lutte
pour faire
accroire
quoi que qui
coculation
monde
ou l'exultation
du
Corps Dieu
pour en finir
avec art-o
le cso
et la gamme
des glossolalies
ou encor
en corps
et des maux mots
haut temps
des pistils
en semaison
de lieu
paradis
d'effleurement
cela arrive
pas pour tous
en tant de bruissances
facétieuses
tenant incertain
le grandiose
RIEN
SEUL
comme
lui
LE MÊME
UN
des uns
enfin quoi
l'éternité
la main
allée
avec...
l'Art
et du noir
des suifs
à cadavres
des mains
de pareils
en Somme
des faits des morts
marchant
au tombé
des nuits
finales
d'aurores
en peines
d'air et d'eau fraîche
Mais au fond
descendant
le gouffre
à mise au affraire
monde
chiffrant
la nuit
du temps passé
posthume
postulant
le ridicule
Comment écrire
la seule
SOLITUDE?
le JE
se croit en enfer
en nous
limbant
des peanuts
ici
enfantômes
aussi
en quelques lueurs
de bombardements
de têtes
étêtées
des mines basses
mouches noires
mange clous
'' Le malheur
est le père
du bonheur
de demain '' **
du Camp
des camps
éclairés
des maux
de la mort
du Dieu
éternel
en soi
fait pas chier
la gouverne
de quoi
des sommes
et du sommet
des mots
du théâtre atomique
Et de quoi
tu parle là?
Allons danser
sous les clameurs
de l'enfant
et des larmes
alarmant
les entrailles
pendantes
sans fin
de l'atroce
vigie que d'être
ou pas
et
la fin
viendras
et aura ton coeur
de sang
battant
la chamade
du verbe
et de la lucide
lumière
'' Une suite bizarre
de références aux idées,
puis aux paroles,
puis aux paroles,
puis aux idées. '' ***
...des clameurs
en
TOUT
des booms
badaboums
temps mort
en mal d'aurore
et du Douanier
de la naïveté
de la jungle
écrite
à dessins
de...
Lignes
pas autres
celles
LÀ
ICI
malgré
la poésie
en sa faim
du verbe
sommant leurre
de la reprise
in memoriam
cela
EST
Alain *
Cohen **
Ponge ***