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26 févr. 2025

Mot Ment


Art
et puis temps
passé
de la distance
à la création
d'orgueil
envoûté
de la
main mise
sur la directive
de lui le même
simulacre
de vivance
et qui va à sa 
conclusion
la mort 
de l'art
au moment
ou ia
estompe
le
TOUT
forme le
TRI
séparant le corps
du verbe
Mais simulacre
et la vérité
sans la conscience
émotion
l'autre
et entre
 Levinas
et ia
un monde
poussé à sa décisive
être ou pas être
Alors
qu'est-ce que
L'ART
main tenant
l'espace
de la séparation
entre divin
et le profane
intermédiaire
grounds
en ce qui coupable
repentant
demeure
signe sa présence
en la lumière
Tenir
et pas de chemin
d'où
(le peuple qui manque)
La teneur
de cette conclusion
tient en aile
l'affect
qui permet
l'offrande
hors le rang 
de la 
NATURE
natures
pour la nature
en ses données
inscrites
dans la vérité
du passage
antérieur
à la perception
du regard 
porté
sur ce qui va se donner
à
VOIR
et qui demeure
ne meurt encor
sous 
l'Oeil
s'Oeil
et d'Oeil
en la nature morte
du pictor
sur la parois
monde
de la prédation
là anonyme
 pas vue
 pas nommé
Alors main tenir
en ces moments
de crises
crisis
en son
TOUT
qu'est-ce que
L'ART
ceci
qui n'est pas de l'esthétique
sous la directive
de l'histoire
mais du
CONTE
maintenu
par la passation
du
VOIR
au-delà
du donné pour
ce qui est objectivement
proposé
sur le mur 
Ô
passage
esprit
 désir
infini
patience
et la matrice
et puis l'enfance
et les chéri(es)
ensuite
Goya
dans la cabane
du sourd dingue
et l'histoire
 ronronnant
du retour
et des constats
du même
programme
sous la houlette
des retours
éternels
du même
où la conclusion
est 
l'ATTENTE
qui 
EST
L'ART
à sa ième
perception
d'obéissance
en oeuvrage
devenu
amour
pathie
sensible à la misère
travaillante
des aimé(es)
En vérité
sans savoir
mais inscrit
instruit
de vive mémoire
in memoriam
dedans dehors
ART
un fait du vertige
de l'effroi
et de la fragile
appartenance
au règne
du sensible
au guet
antre-nous
L'image
ou le signe
geste pictural
 signalant
l'ICI
MÊME
D'AILLEURS
permutation
de la prédation
en fixant le geste
et ses répercussions
sur l'autre 
du vivant
Main tenant
la distance
à penser
l'après et ses contrecoups
Qu'est-ce que
L'ART
ceci
de la lumière
réfléchissant
le visible visible
et pas besoin
de la cacadémie
de lui pas celui-ci
l'autre
Enfin
il y a eu 
 la pensée
pensante 
devenue pansue
et ce qui 
EST
des lumières
et de la main mise
sur ce savoir = pouvoir
Et cela est en ce
TOUT
comme réussir
est dépendant de celui
qui que quoi
du connait
en son
TOUT
Il y a bien eu
La Place Des Autres
et Tourrettes-Sur-Loup
Roussil
et puis... .
la vigne au vin
la voilà la jolie vigne au vin
de vigne en vignes
et les grappes 
agrippées
au lait de la louve romaine
Alors
et bien histoire
en qu'est-ce que
L'ART
après
TOUT
Ce qui est instructif
c'est que
l'inattendu
est 
sortir de l'enfer
des affres et et des affaires
là où
l'ennuis
sans la création
et bien
Girard
on repasseras
qui sait
Et bien l'avancé en arrière
de l'autobus
et sa traque
en
TOUT
redondance
de l'histoire
pour le
CONTE
là où
les mots arts
 sur requiem
et le mur des ténèbres
à musées
et des muses
et des amusés
avec la beauté
des innocents
sans
 la pipe
à M'agrippe
et les murs
de soulagement
en la
MORT
mortes
Ce qui 
EST
était seras
et le seul moyen
d'en faire l'affaire
est un petit
dessin


Un englobant
et inséparable
en son
TOUT
dedans dehors
et les génies
et les ratés
tous dans le même
TROU
et de là
l'histoire
est foutu
et 
Conte
pour le chemin faisant
d'obéir
antre-nous
aux aimé(es)
Naïveté
que
 d'ÊTRE
là sachant la
MORT
mortes
en sa forme
de grande perdition
pulsée 
par lui le même
UN
des uns
Dieu
ou
Tyran
de la mare goût laitte
de ce que de l'ennuis
(sans la naïveté)
à leurre
 terrible
de la
MORT
inaperçue
NATURE
natures
( sur le dos du tigre)
borgésien
et bien
nature
au tableautin
du
 Sacré
et les profanes
pour fait moué
un dessin


'' L'homme 
n'emporte dans la mort
que ce qu'il
renonça à posséder 
dans la vie '' *
... .de là
le ratage et le raté
s'agit de 
VOIR
ce qui était voulu
et les redondances
ennuyeuses
de l'écriture
après la fin
de la cochonnerie
d'Artaud
de l'impossible
beckettien
et de même
chez 
Auster
et nommer
des spécialistes
de la langue
Homel
(Quand les gens
vous prennent
pour un monstre;
il n'y à qu'une chose à faire:
dépasser leurs attentes)
Ceci et puis
de 
l'Odyssée
du vous tous
où la fuite
du penser ne se pense pas
ne le peut
s'estompant
insidieusement
et se liquéfie
disparaît
en cette après
d'avant
au tri 
postapocalyptique
et antithèse
des réflexions
sur le vivant
et son appartenance
à l'immense
inconnu
dedans dehors
échappant à cet sévérité
du passage
vers le plus grand que soi
là où
( ...de le terre sans verbe
et de l'aveugle éther...)
Verlaine
et du
 visible visible
ce socle des partances
par temps et lieu
d'espérance
désespérée
de l'impuissance
des enfants
troublés
par la peur et la vérité
terrible
dans les mains saturnales
goyesques
du mourir
par les hasards
de
 l'IL Y A
ce qui insaisissable
va venir
là où 
Voltaire
va demander un sursis
 de quelques mois
et enfin
le temps et trop tard
en tant de jougs
de glas
de diversions
à vivre l'éternité
d'un présent
à raconter l'histoire
infinie
de la petite fleur bleu
arrachée
à la lumière
par la
MORT
et de ses pulsions
dictatoriales
sans gènes
et créer par le désir
de la question
main tenue
à hauteur
d'inconnaissance
ou encor
antithèse
et un petit dessin
pour qui peut savoir... .
sinon le sourire
des anges
chez
Pierrot
Watteau
et 
l'embarquement
et les chéri(es)
des enfers
Ô
passage
là où
la question
demeure
de meurt
et 
l'ART
raté d'en être
en fait l'enjeu
du
JEU
joué
et se jouant de l'illusion
du génie
et du monstre sacré
sous la semelle
devant 
et heureux comme avec
une femme
rimbaldienne
celle devenue après
la vie
le désir conjugué
de l'éternité
retrouvé 
des âmes bien nées
( Le temps est une invention
ou il n'est rien
du tout)
Bergson
et allons
la vérité
de l'effroi
d'être né
et du coeur donné
aux vents pires
par la suite
et n'ayant échappé
à rien
que du hasard
présent
passé et entre avenir
on en connaît
la promesse
implacable
et terrifiante
Alors 
L'ART
pour ne pas mourir
de la vérité
( Le destin se joue de nous
bien étrangement )
Gogol
ou encor la raison
masquant
la terreur pas
et la folie
en 
TOUT
au milieu
des abattoirs
et des cries
Rembrandt
Goya
Soutine
Bacon
sur la plage
avec
Ensor
sur le sort 
d'une bouillabaisse
sociocosméticocomique
et l'entrée du 
Christ
à 
Gruge
Alors posthume
et après
TOUT
l'apocalypse
de qui que quoi... .
Humain 
remplacé
par ia 
plus grand monde
à soir
sous le ciel dépeigné
par
L'ART
et ses misères


Ensemble
des essentiels
après
TOUT
en hommage
aux peintures 
noires
pas celles qui soulages
mais les goyesques
sur la parois
de la maison du sourd
apprêt
pour de l'autre côté
ici
même
et fracturant la pensée
en pleine conscience
de le faire
et du reste qu'ils aillent
voir
ailleurs
du génie il y en à
par
TOUT
et du ratage raté
rattisant
la lie d'amour
et l'amor fati
en des moments
nietzschéens
ou encor
un dimanche après midi
avec la
Poune


Mauvais tour
et entourloupes
en la chasse au papillons
avec lolitas
victime
de l'extinction
de la chair
et des petites
gènes
non retenues
par les cries
sans fins
d'une mort après l'autre
en le limbique
éphémère
et terriblement
foutu
Alors qu'un petit dessin
écoutant
voir
deux fois



Ancre sur pépier
2025


 De l'Isle-Adam *