Point fixe
d'à chacun
sa fin
LÀ
le cosmos
s'éloignant
sans dessus
dessous
Alors
EXIL
est
LÀ
Allons
chérie
polyglotte
et
l'Espace
dort
antre-nous
au-delà
du temps
qu'il fait
de l'achèvement
des secrets
'' L'abîme
est ma clôture
Être moi
n'à pas
de mesure.'' *
Et unions
du choisi
d'abandon
au tenir
paradoxale
complexe
et
disparate
paraissant
ce qui
EST
alors
LÀ
ICI
MÊME
d'AILLEURS
à la lenteur
donnant
les éclaboussures
résiduelles
grumeaux
et pas idées
c'était... .
à présent
l'approche
sauvage
du cervelet
aphasique
dictant
patience
dans le chiasme
les contradictions
ce si peu
de
VRAI
'' Innommable,
l'infinité
ne peut recevoir
de contraire '' **
et elle n'est plus
que sa présence
infinie
que
d'avoir été
aile
EST
En l'incompréhensible
ce qui se donne
pour
ÊTRE
Cela vient
arrive
Voir
l'UN
des uns
disparus
au
BOOM
infectés
limbés
imperceptiblement
de misère
mise ère
chiffré
de poudres d'os
carnages
à sa
FIN
On ne sort pas
de l'en faire
en faim
des tonnes
de détritus
sur l'insignifiance
du royaume
de Dieu sait quoi... .
Les gagnants
disparus
d'avoir dilapidés
l'Esprit
d'AMOUR
au compte
de l'EFFROI
d'avoir
pris le métro
pour
le droit
proématique
d'obéissance
à l'horreur
militarisé
d'assassins
pour
Histoire
d'enfants
dans l'assiette
au beurre
FIN
A Saïs
'' Mon âme
vers ton front où rêve,
ô calme sœur...'' ***
malvenue
de maldisances
du peu de tremblement
d'avoir
été
appelée
de ton exil
maldit
plus grand
que
TOUT
antre-nous
à revoir
et
VOIR
encor
tenir chez le macabre
la fausse vie
d'où on étaient
pour la
MORT
alors
de l'autre côté
des disparitions
infernales
à
l'AIR
aéré
d'amouir
de la
BEAUTÉ
de tendresse
main tenant
le désir
à
VIF
Pessoa*
De Cues **
Mallarmé ***