... '' Ils vont au hasard,
avili par l'effort
de servir sans ardeur
des choses
dénuées de sens... '' *
et c'est de détresse
que ce passage
bien faux
et plein
de bébelles
et de cries
celui de
Munch
entendu
surtout chez les animaux
sans issue
que la
MORT
mais pensée
de quelques apaisements
ailleurs que dans cette
misère
horriblement
cachée
pour conserver
un peu de survie
Effroyable
ces guerres
idiotes
et bébelleuses
de lui pas l'autre
en gang
au pire on se cache
mais
LÀ
OÙ
la mort les rats trappes
Alors
Tenir
contre... .
la politesse
de se là fermer
Alors
Ce qui se passe
LÀ
instants fugaces
tantôt
plus personnes
et le retour
à ce soi
des
TOUT
ce que voudras
l'EFFROI
ET LE TERRIBLE
et cette folie
et cette folie
dedans dehors
et bien
indicible
percept
et cet effacement
des aimé(es)
et de l'AMOUR
qui s'enfuit
avec la
DISPARITION
atomique
ou cérébrale
état
alzheimer
MONDE
mes amours... .
Amour trop
et pas assez
et puis
au seuil
où cet émotion
disparaît
pour le gros égo
guerre
MORT
et le
SEUL
devant ce qui
EST
l'incontournable
EFFROI
et (la trace est une semence,
un germe mortel )
Et Freud pleure
in Derrida et la
MORT
Enfin
Qu'est-ce que
L'ART
après
TOUT
C'est oser
et sans obligation
qu'en sujet
SEUL
au plus
SEUL
le temps
de la main
d'Abraham
au levé
d'un matin
radieux
et qu'importe le jeu
de mot
entre la main
et le geste
de
MORT
le petit dessin
main tient
les larmes
où la mer
va exorciser
l'oubli
d'un déluge
de misères
et de folies
sans noms
de la
MORT
en ses perspectives
inadmissible
TRISTESSE
INFINI
INFINI
ART
de main tenir
l'impossible
AMOUR
Signes Rupestres
en veille
et les chéri(es)
SEUL(es)
et en
MÉMOIRE
confondue