Affichage des articles dont le libellé est d'ordre. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est d'ordre. Afficher tous les articles

6 avr. 2018

Contre Mot


La Joconde
pastiche
pour un dessin


Qu'un petit dessin
pour en découdre
avec la nature du Dieu
exténué emmerdeur
bruyant destructeur
alors...
Fin de (du) TOUT
Tranquille crevant
devant RIEN
mais au lieu Désiré
tenant sans land de mains
VOIR le rêve en réalité
s'évaporer d'usure
terminant
son conte en compte
en manque
Voici le nouveau
de retour
toujours le même
mais par oubli
en somme le politique
filant le grégaire
apparaît les premiers
apparats d'ordre
contre fiction
clouant becs et ongles
au cercle d'oeil
vu d'ici gestapos
des Babels
pour des masses
exterminées la même
plasticine glaise
laissons l'écart
se poudrer le cul
lapider lapidant
coagulant le passage
et disparaître en fin
bien en dessous
du quotidiennerie
(...le vrai un moment
du faux...)*
Mafia uni à la société
du crime pour la même
prédation autophagique
dévorant la Joconde
ou mots là lit ça
directement sur le mur
a musée par la fausse
représentation
du vrai
en banque route
pour l'éternité
Répétons la ligne
et de toutes..
la plus conséquente
hors la grande
dépression gangrenée
mais celle à la mine
de plomb
pas nécessairement
joyeuse mais fine
et pleine d'embellie
ligne à pendaison
ligne à faire bâtir
du sens...
Faire dormir le chat
d'indifférence
tu voies le monde
s'étire quand tu dors
et depuis encor
et encore le corps
en cor d'harmonie
comme le plein d'oiseaux
de printemps
dans une symphonie
de Messiaen
la mort de l'Art
est éternel en un
court laps de temps
des yeux plein la tête
tenant l'écart
aux tombées des pétales
dernier souffle
quand c'est éteint
le sang savoir
partir hors le schisme
des agrégats
communautaires
de la mort des autres
mais MORT eux
de toujours passé
du présent décomposé
en la peur de RIEN
tellement zen
Tendre vers cette chose
terrible au bout
du RIEN
Pareil à une prise
fatale puis l'inévitable
Disparition
depuis la nuit
du jour où la lumière
du Dieu se grattant
le gros orteil
pour rire de George
en saint mystique
depuis l'hyper normativité
régulant la merde
à l'égout...se transformant
de récupéré  en récupération
Vive les saints de Monroe
en incubateur pour les siècles
des siècles à venir...

Le vidart
d'un doute
assuré du devenir
des rires Jaunes...
..."j'exerce un métier
sale et difficile"**
déjà que tenir séché
en figuier à la falaise
à tous vents
voir les étoiles jaunes
par des yeux rougies
du sang des étripés
dans l'assiette
des murmures anciens
des Morts
pour une symphonie
des os à croque-morts
des justifiant tout
Bref pas de neuf
sous le soleil
de l'évidence
d'un futur jugé nul
et qui est-ce qui l'a?
Marie Stella...
Au coup du JE
t'es MORT
L'arche Dénouée
au large sans penser
tous phares éteint
désenvoûté
Malgré tout
et a contre JE
RIEN à VOIR
Après la redondance
la répétition du même
quand viendront
les tourterelles armées
jusqu'aux dentelles
essoufflées...Boom
Tant de désert encor
d'imbéciles RIEN
RIEN RIEeee NNNNN
comme fuir pour rire
en RIRE mais d'abord
fuir la gravité des formes
sans lumières festives
du dernier condamné
étouffé dans la crème
à gâteau des anges
canonisé par innocent 10
ou l'inverse
histoire de raconter sans fin
Chaque mot en poudre
à pâte mots d'ordre
encor et en corps
paroles par Éole
toujours les mêmes
des tas de maux
au bord des lèvres
de beaux beaux beaux
sans issues en désordres
décousues de vérités
a de meurt tragique
au dernier battement
de coeur
et dernier maux d'ordre
de l'assez né sens
continuant à remplir
de chairs et d'os
les fosses en tranchées
de fraîches histoires
communes de plus
de gens en mangent
de la mort de la vie
de la vie de la mort
en JE sans le U
qui tue en UN uns je
de Silence de mort
en récupération
monétaire
une pierre la dernière
de la première de l'église
du diable v'Auvers sur ruse
et criant Dieu est MORT
de RIRE




Debord*
Van Gogh**