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10 déc. 2024

Taire Là Terre



Au fond
après les mots
du dire
des professionnels
de la perfection
au siège
de
Montaigne
et du savoir
héritée
des nantis
de la 
Castafiore
au perd la chaise
de l'histoire
arrangée avec les têtes
à Papineau
et qui d'éternels
meurt
 de même
les petits chats
 sous zéros
et les enfants
par
la
NATURE
natures
et des pas eux... .
Alors... .et les récits menteurs... .


... .et puis après
le très tard
et les traitrises
au
Jeu
cruel
du passage
des sans mémoires
de pas eux
les choyés 
de l'instant
du trône
Clément 10
et de la
 Poune
des farces et attrapes 
après
les moments de glorioles
du privilège
sur la 
MORT
morte
des masses
en liasses 
monnayées
de la liesse sucré salé
du diabète 
et de l'agroalimenteur
médicamenté
de la mise en plie
droite gauche centre
en ritournelle
de 
Noway 
of life
et les dires redondants
des mots à maux
STOP
UN VIDE
et voir bien 
VOIR
que chaque jour
instants
moment
des mots dits
du terrible
alors la suite prend
la relève
du
VERBE
en ronrons
du rond
 d'où 
pas un ne sortiras vivant
à moins d'avoir
fait part
de quoi que qui... .
FIXÉ
et cucuber
des dires 
que la
MORT
de la morts
en passe des vas nuits
s'éteint
de vent 
la fin sans fin
que d'être
pour la
MORT
VOIR
la misère
enrichissant
les riches
des dés pipés
alors le cercle
hégélien
se referme
et 
l'art
cet art collabos
il y en à 
toujours eu
et qui est qui
du je des têtes toutes faites
d'avoir raison
dans la grande
DISPARITION
de l'histoire
et de ses quelques
croyant croire
que lui l'autre celui-ci
à beau jeu
de jouer
la mise errante
du monde
tel qu'il est
au début était le verbe
à voir
Cet art cameloté
de l'apport
de feu
les aimé(es)
les sacrifiés
d'innocences
à vivance
d'aimer la vie 
au risque de la perdre
dit Marie
et bien
de l'image... .
que pour les morts
gelés
en hypothermie  
affamés
et sans tendresses
au
TOUT
de la
MORT
morte
et de la dernière
fin infini
de ce qui
EST
du cauchemar
d'oubli
de la création
du ciel et de l'enfer
par 
l'ART
du monde tel qu'il
est
se dessinant
un temps de sablier
histoire
d'emplir les
 poubelles
pour le
CONTE
d'il était quoi... .
un petit dessin
en Axe-d 'Abraham
la maintenant
inapte à tuer
lui l'assassin
des assassins
retenus
par le trait la ligne
et sans plan préconçu
en
LA MORT
morte
chez les tablettes
des chairs et chers 
aimé(es)
des vies d'anges
compostées 
du bourreau
de
SILENCE



ART
d'AIMER
il faut le dire
jusqu'à ce que
le
Coeur
crève
de pas... .
et les chéri(es)
de la libre
par tant 
d'après
TOUT
malgré
Guy
il y auras
ce qui va... .
de la fleur bleu
Novalis
et du désert
des pères
sans la chaise
de
Montaigne
avec
Gilles
Gaspar
et 
Personne
de la justification
sans vérité
des milles mensonges
sang en vérité
des armoires
chaises 
et objets
sanguinaires
du boeuf écorché
de
L'ART
sur la parois
où se déroule
la terre rouge
de ses millions milliards
de morts 
quotidien
Alors pour ne pas mourir
et bien rien à faire
le progrès
est
LA MORT
morte
en avançant
avec
Sam
ou
Martinet
Et bien... .
pas pas jojo
Alors
 l'IMAGE
dernier bastion
sous incubateur
le même
par la main à l'oeuvrage
malgré
TOUT
tenir en la vivance
magique
de 
l' Il Y A
en 
UN
des uns
 sans
 sang gène
de mal foutu
d'incapable
de sauver
même un petit chat
de la
MORT
morte
que
 Giacometti
lui sauve le chat
si l'atelier brûle
alors
SEUL
avec un petit dessin
sans dessein
que de ne pas assouvir
la
MORT
morte
Et qu'auras été
L'ART
sur la parois
d'EFFROI
là où
le je pense donc je croule
de
BVV
à une vérité
près... .
avec des ailes
quelques fois
cela se peut
''Dites-leur que j'ai
eu une vie merveilleuse'' *
ou encore 
avec Roth
(Le problème avec la vie,
c'est que l'on ne sait
 vraiment pas du tout
ce qui ce passe)
Et 
l'ART
encor moins
que 
TOUT
Ouf
et noui
Petit dessin
pour
Gaspar
Gilles
et
Personne



La contradiction
sans contrat
avec la vie
au quotidien
 sans y être
pour le 
SEUL
antre-nous
DESSIN
notre garant
d'être
ensemble
sans berger
symbiotiquement
et assuré
d'une infime
partie du paradis
en enfer
par temps
ia 
libérant
le
TOUT
du
TOUT
de la 
MORT
morte
ia plus que le néant
suite à la surveillance
deleuzienne
Robotisation
où la technique
à son jeu insidieux
va porter le dernier
homme foucaldien
à son abime
c'est à dire signer
assigner 
LA MORT
morte
à son oubli
même de quelque chose
qui 
ICI
MÊME
D'AILLEURS
se babille
répète
et tente de main tenir
depuis
 socles et poussières
l'oeuvrage
résiduel
de l'amour
au début et jusqu'à la fin
de chairs à chers
des aimé(es)
sous zéro
malgré
TOUT
cet imbroglio
de passage
SEUL
antre-nous
aux derniers
moments
des tremblement
du
VOIR
les aimé(es)
en un dernier baiser
d'affection


Wittgenstein *

1 déc. 2024

Ère Heure


AILLEURS
ICI
MÊME
et ces mots
les sachant 
agonisants
des aimé(es)
et que le nouveau
Dieu
le même
d'ICI
vu là
de cette racaille
d'humain trop... .
miroitant
oeideguerre
et terminant
Hegel
sous le soleil
de satan pas à ça
mots arts
ou les rats tatouilles
du divin marquis
ou bien
ce qui ce contre-dit
du verbe
engagé
pour en temps
et lieu
ce qui ne vas pas tardé
ART
pour 
art 
pour rire aux larmes
des aimé(es)
COEUR
à sa vérité
sans les sanguinaire
protocole
du oui mon colonel
mon maître
notre messieurs
LA MORT


TENIR
et retenir
sur
TOUT
traces éphémères
dans tous
 l'essence
du vivre
en la part terrible
d'ABANDON
de la vérité
d'AMOUIR
mourir
en toute beauté
sans l'écœurement
nihilique
de ce passage
piégé
par l'histoire
du libre consentement en
BOUM
ce grand déni
de la pulsion
d'orgueil
innommable
laideur haineuse
envers les aimé(es)
( Aucune chose
n'est où manque
le mot ) *
et sa disparition
ia en mémoire
disquette discarte des cartes
Descartes
pense et joue
avec 
Spinoza
pendant que le 
(JE
 pendu au crochet
de la liberté
quémandant
le droit de parler de
Camus
à monsieur 
Pisse Pot
de la lumière éteinte
tête toute faite
de la vindicte 
médecin d'urgence
au sauver de cadavre
suicidé)
et les aimé(es)
au passage
des mères
d'Albert
et de
 l'ART
en l'EFFROI
du vivant
pour la vivance
paradoxale
contradictoire
et inquiétante
de la matrice
NATURE
natures
en la nature
morte
de la peinture
des grottes à de
Staël
en temps oublié
de la soupe au diner
après le déjeuner
avant le souper
après
TOUT
Mais ce n'est pas
nature
d'Oeil
de na pas aimer
après les sales boulots
d'écrits vains
au tomber
des idoles
déjà le
DIEU
de Nerval
Nietzsche
et tous les nihilistes
de l'ennuis
atterrés
de se voir dans la glue
par taire
pour ce qui vient là
ni queue ni tête
tempête de
l'ESPRIT
et le
TRI
qui du mot
à maux
initiatique
de l'histoire
le
UN
des uns
le même
spinosiste
sans savoir
ou bien ou bien
'' La philosophie
est une bataille
contre l'ensorcellement
de l'intelligence
par
le langage '' *
Or il est de l'oubli
d'oublier
l'OUBLI
Ça alors... .et bien
l'affraire est
en somme assommée
par le marteau sans maître
et tenir retenir
que
L'ART
EST
ce qui à la proue
marqué par 
L'AMOUR
même
sans la revanche
des couteaux à mastiques
aux fenêtres
des musées
qui déjà volent
sur la coque
renversée
des cathédrales
vers la vrai vie
par la nature
aimée
de la 
VIVANCE



Nature Morte
et les aimé(es)
(Crayon encre sur papier
Fabriano )

T'art et trait art
à chaque mort
la fin du monde
en la
dévoreuse
vallée des avalés
du charme mienne
et des fruits
défendus
dantesque
kafkaienne
odyssée 
et le questionnaire
proustien
enfin quoi
de Joyce
Beckett
en croisement
de chrétienté
 en peinture
Varlin
et dans tous les sens
dedans dehors
par je ne sais trop
(Dans la neige y avait
deux souliers...)
de Béart
et les asperges
de
Manet
mais après
il n'y à plus
d'ART
aux milles appelés
de l'élection
du ciel bleu
des aimé(es)



In Memoriam
de l'errance
infinie
à larme
blanche
antre-nous
sur le bateau
d'embarquement
pour se taire


Heidegger *

26 août 2020

Dehors L'Air


 Sueurs
et sang
peindre
sculpter
tu voie
moyen-âge
la peste
et les roses
du Greco
Ici sans 
ce je et moi
entre deux
apeurements
de qui 
de toujours
de lui
le là ce je
de l'autre
en soi
le même
Lui le je de tous
qui sait
(Ce méfier
et de moi et de vous)
de Beckett
Et ce nez
ces oreilles
ces yeux
ces orifices
en sommes
Ulysse
lui Homère
dans la baleine
noire
Poupées russes
Pouchkine
De l'aujourd'hui
d'hier
et des demains
à peine
quelques brides
de mémoires
en fouillis
virtuels
débranchés
du soleil
De la redite
et redite en rond
ronronnant
l'insignifiance
des faits et gestes
de présences
créés pour ça
Banque non plus
de monnaies
vivantes mais
de tubes digestifs
accomplissant
sa décréation
infernale
en temps de Disparition


Virgule
en point
d'errance
du debout
seul
en mer
de l'oeil
captant
les signes
plongeant
dans le cerveau
du LÀ
univers
lumineux
accrochant
l'horreur
apprivoisé
du mouroir
abyssal
Voici
limbes
quotidiens
et l'Attente
L'Ailleurs
immémorial
ta main
molécules
en la nuit
éclairée
du n'Être
prenant
la Suite
donnée
tête esprit
d'émotions
au maquis
des morts
titubants
d'infimes
chemins
envoûtés
des pas comptés
d'appelés
en vain
du huit
horizontale
infini
Pieds
au sol
appris
des venues
aux mains
cisaillant
le mur 
totalitaire
aux racines
en forme 
de tirelire
et louis d'ort
des camarades
décimales
de cendres
Holà 
sans dire
des vagues
l'air frais
du bonheur
imaginant
Tu te souvient
mon coeur
par millions
milliards
tes larmes
dantesque
passage
où nous étions
Sauté 
en dansant
la loi
d'Émotion
sachant
incrusté
de pierres 
précieuses
ou encor
de boeuf écorché
invisiblement
peintre
de patience
à la clarté
de la fissure
naturant
l'odeur de rose
chérie
ce risque du signe
ce si peu
d'argile
éphémère
petit conte
à de quoi rire
de l'Autre Côté
Ici


A chaque fois
comme il veux
le vivant
qu'Attendre
tu voie
Après 
de si loin
un geste
une vibration
sur autrement
que dire
aussi facilement
ceci
écoutant
qu'est-ce que tu crois
de cela qui fait
des merveilles
Art qui est tu
des Cyclades
à Ici 
fossilisé
d'enfance
Holderlin
Savant de RIEN
que ce petit dessin


Cette joie
des suites
aux résurrections
d'enfermement 
des jours
en pleine nuit
RIRE
pas celui de Bataille
du Dieu
tu voie
qui fait rire encor
et en corps
Que cette question
en acte
ART 
Et par cycle
comme se retire
l'Esprit
qui à transpercé
l'Oeil
des tempêtes
des forêts
maléfiques
des entourloupes
de la multiplication
du pareil
en milliards
de trilliards
du UN des uns
le même
mémorial
bonheur
à main-tenir
la Joie De Rire
avec en PLUS


De vives mémoires
en de si peu
de possible
en nombres
retenables
inscrits
pour qui sait
le Grand Tri
encor
l'épure
vers un Esprit
ramassé
sur l'Effroi
de la Beauté
du Monde
Tantôt
c'est certain
tremblement
claquements
d'os
passage
pour la fin des temps
Les dieux
de ce Dieu
sévère
monomaniaque
et sa Femme
madame 
Mort
Porte de la destruction
des détruits
reconduits
des recommencements
à dessein
dessin
Ici du verbe





29 avr. 2018

En Jeu


Jardin De nulle Part


...d'en joue
de mort
à la porte
des...?
D'un insensé
quelque chose
qu'en échos
des voix appellent
le réel
Spectres
en dévastation
de la sensible
errance baba
gaga tralala...
Errance

Art le beau de l'Air
tenant d'une main
l'usure de l'allouer
voir Voir en face
l'irregardable
anévrisme
au désir des corps
terre céleste
feu la conscience
lumière d'étincelle
deux nuages
apprivoisent l'éclair
zigzaguant le trait
de l'oeil au soleil
alpha d'éveil
LÀ dessin
à prince à Dieu de tous
les mots à maux
aux rois des histoires
d'Ubu crucifié
au peuple de tétête
au Chant de Mémoire
filant sachant RIRE
sous larmes
en fines retenues
colorées mal venues
brisant désordre
du parfait monde
de lui le Même
Un des uns et de TOUT
de l'ART aussi
et de bien d'autres choses
Chimères vents
devant la porte
Tranquille Manet
en Blanc de Chine
linceul peint en Gloire
du signe sapience
d'éternel début
tempérant l'attente
où le suivant
bouffera du suivant
et Brel avec tous
et toutes émotions
Bref c'est pas sérieux
mon amour...
Nous avons l'Art
pour ne pas mourir
de la vérité
dit le clown de Röcken
allègement et jeu n's
éternelle en vieillard
empalé depuis
la masse salariale
cultivant le loisir
a muser des festins
funéraires dantesques
N'importe quoi
en fin qu'est-ce que
croit quelque chose?
Rendu à RIEN
tenir LÀ voir
avoir à l'oeil
le seuil le SEUL
"La littérature
n'est pas mon souci
cardinal"*
en chaînes ce JE
d'assassins éphémères
piqûre de mouche
aux dents de terreurs
aussitôt éteinte
que mordant dans ce RIEN
qui tombe en trombe
sans trompette
à peine un boom
de coeur gros
de tristesses infinies
pour ce que ça veut dire
et pour ce qui vient
sans mesure
Art de crever
à mourir avec les ptits
les grands les ptits
ptits grands la MORT
l'ART avec l'art de finir
Il était une fois
un non-sens de lumière
retenant en SILENCE
l'éternité...
Art du TOUT et de RIEN
sans récupération
pas là mais encor moins là
vert billes vers sans dire
et que dire de plus
que verbiages
chérie en fuite payante
de l'esprit sain et saint
en conte comptant
le faire avoir
de chaux en shoah
show ivre de froid
festins sous le soleil
éclatant des ruines...
"La couleur et moi
sommes un
je suis peintre"**
Jouant en TOUT
l'Étant du après RIEN
sortie du Nous d'errance
reprendre sans savoir
l'Habiter de ce reste
de Jardin de Nulle part
et tenir tête debout
pas né attendre
pas Godot des chiffres
qu'ils rendent l'âme
non pas à l'époque
mais à son mode
de merveille retenue
à l'Autre le pas connu
en conte de fée
dit Novalis ou le toujours
comme premier regard
n'importe Où en pleine
confiance en l'origine
et fin du monde
L'Inconnue sans bornes
aux aguets du coeur multiple
semblable et secret
Mais mort
qu'est-ce que cela vaut?
Petit dessin quoi
l'éternité?




Valéry*
Klee**