Et si pareil à la
MORT
morte
le jeu s'arrêtait
que la linguistique
et la
proématique
terminait
son prétexte à l'image
car
L'ART
s'adressant
au vide restant
depuis
Socles Et Poussières
épuisé
de sa mise en situation
( pas situationniste)
mais des faits
marquant le terrible
quotidien
inattendu
toujours
et qui n'à rien à
VOIR
avec l'oubli
le déni des faits réels
que la
MORT
morte
ne peut ni ne veut
du miroir
limbique
pas celui de
Malraux
limbique
indifférence
le miroir ne vois pas
le miroir
et toute projection
dire faire voir
signe... .
Nul et non advenu
Alors
Friedrich
l'horrible
solitude
l'égarement
la tristesse et les larmes
de la misère
casse à jamais
le coeur
noyé par la conscience
de la perte
des aimé(es)
à contre-mort
Piège
Trou
Cauchemar
et le
SEUL
en vérité
du naître
être
et mourir
le reste et bien
on arrête pas le pogrom
des vicissitudes
et les habitudes
à tous
de la
NATURE
natures
et ses apprentis sorciers
Dr. Sabuse
et adroit de la
nomenclature
linguale
Et de là
sortir de l'abysse
posthistorique
idéologique
du
TOUT
est foutu
créant la place
laissé là
pour les malfrats et
monstres bipèdes
pots de pisses
du rien encyclopédique
de la terre
et ses essais
réussis de la
MORT
morte
qui va suicidaire
adn
ia
et obéissance
pulsée
à sa destruction
dernière
là où le
livre
se ferme
Qu'est-ce que
L'ART
en des dictats
règles
méthodes
et surveillances
(lettre volée)
Poe
ou encor
en son
TOUT
fermé sur caméléon
dictatoriale
Alors
y a t-il de la vie
avant la
MORT
de
L'ART
ART
qui à demeure
in memoriam
au
NOIR
de toutes les justifications
culturelles
consentantes
à endormir
le
ROI
pas Eugène
ni des aulnes
ni des mages
ni de soleil
non celui
du point d'appuis
ayant passé
celui du
G
à leurre
des envoutements
sortilèges
avalant
le
TOUT
au passage
terrible où tombe
la
FIN
en ses indicibles
tourments
Les maux
quel mots
menteurs et pleins
de
MORT
mortes
pour le dire
IMPOSSIBLE
dé pipé
de magrippe
en ceci est de là
quand
LA MORT
arrache
le sensible
l'émotion
assassinant
la vrai vie
des aimé(es)
des joies
au-delà
de la
MORT
mortes
On meurt aussi
d'aimer la vie
en pleine lumière
responsable
ART
et nature
aimée
Concept percept
comme on voudras
comme bon te sembleras
ne change pas le fait
du
TERRIBLE
des larmes
d'ABANDON
là où y a plus
âme qui vive
Un instant
de joie
en d'interminables
malheurs
d'aimer
ET C'EST
du passage
terrible
évidemment
illisible
les mots
( de la cochonneries
et de la merdes )
constatés par les horribles
travailleurs
Alors fait moi
un dessin
sur la paroi
d'AMOUR
et d'horreurs
Le travail de la
MORT
rempli de projets en cours
Roth
ou le contrôle
deleuzien
et droite gauche
pour le décentrement
du
TOUT
Enfin
les mots de la terreur
infini
Ô
passage
d'à jamais plus
l'instant
d'aimer la vie
au risque de la perdre
( Uguay )
et la trahison
continue des mots
pour les maux
d'à jamais plus
quelque chose
malgré
TOUT
L'Abyssal
ABANDON
des aimé(es)
de lumière
et tenir
Ô
point d'appui
là où
l'extermination
effective
sans
L'ART
qui sur le mur
le sang
des roses
arrachées
au déni
de la
MORT
des sois disant
pas lui l'autre
de la
MORT
mortes
Qu'est-ce que
l'ART
après
TOUT
(Le vent se lève...
Il faut tenter
de vivre )
Valéry