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26 avr. 2025

Sentier



'' J'écrit 
autrement
 que je ne parle,
je parle autrement 
que je ne pense,
je pense autrement 
que je devrais penser,
et ainsi de suite
 jusqu'au fond
de l'obscurité. '' *

... .des travaux 
et de la création
en cours
et des fautes venues
de la culture
des pères mères
et par quatre chemins
Anglo écossais
et autochtones
franglais
et le parler seul
créant la langue
de la colonie
qui se dit en travers
tant de tournures
phrasées
qu'elle s'embrouille
se mêle dans ses lacets
et se la déroule
ô
lieu de la rouler
Langue du colonisant
lisible
que par dessus l'épaule
des intérêts
écomomique
( Voyez comme le colonialisme
est perfide, têtu et funeste )
Césaire
Mais après 
TOUT
le peuple le pays
sous le paillis
des lui pas seuslà
 l'autre
des cabales et des ptites
passes
dans la gimmick
et les amours mortes
demeure
l'EFFROI
et l'abysse
de la
MORT
et Aquin
Bourgault
de la belle langue
alors 
le lieu
le bout de quelque chose... .
et les passés off
L'imaginaire
se décolonialise
s'efface
et Miron
et bien d'autres aussi
enterrés
sous le sol gelé
des plus jamais
Alors
du texte pour
image
en résiduel
d'aurore
après
TOUT
Qu'est-ce que
L'ART
et Irène Senécal
et les arts après
TOUT
et l'enfance primitive
et ses terribles
agonies
et des rêves
 mains tenues
en la
MORT
mortes
et ses mêmes
enseignements
à traitrises
de la beauté 
détruite
pour une histoire
de fous braques
sans George
et de toutes les
Bataille
du facteur cheval 
au joual
yes sir
compost
dans les tranchées
du pris croyait prix
Anecdotes
et vérités
sur 
Montaigne
et 
Boileau
et
Poussin
et
bien... . merdre
marde chitt 
fiente 
et faisandage
et fumier
de la majesté
du créole
et des maux pour le dire
quoi... .
pas me faire chier
avec vos mesures
d'un soir divers
parmi d'autres
Alors pour le vinaigre
des assoiffés
et cruciverbistes
de la
Castafiore
du perd la chair
jusqu'à l'os
en poudre côté jardin
rocambolesque patente
à gosses
et Kahlo
bretonnant
de la papotes
et ses tourments
TOUT
en nature
cultivar
NATURE
natures
sur la muraille
des réalités
où ça sent l'être
et pas surréelle
la Frida
et
 Dubord
et 
Conche
et l'honoris causa
Alors
à l'île
deleuzienne
ou encor
méditation
sur l'oeuf 
de deux 3 4 et +
 millions d'années
et cela dépend
de l'orientation
du 
seul'Oeil
sur la coquille de noix
percée par 
la patience 
dans la couvaison
pour ne pas accoucher
d'un sourire
qui en dit long
sur la linguistique
et ses morts
qui pensent
à la 
MORT
d'après
 l'Eco
entendu après 
TOUT



Interminable
non obligation
d'en sortir
de l'enfraire
des affres et de l'histoire
mais l'actelier
et ses mises 
en formes 
pour de la pensé
des pensées
corrigeant
l'hors propos
des us et coutumes
que la
MORT
mortes
dictes
à l'état du lieu
Et comment en découdre
avec
RIEN
à la fermeture
en lien
avec la commande
au triage
des passants
vers la poubelle
des épelés
Et de l'impensable
dès la grande
métamorphose
du vivant bougeant
et à jamais
la même eau
ou cliché
Au fond il n'y à 
que la perte
et perdition
dantesque au fronton
d'une saison
effet mère
NATURE
natures
et le piège
de tous
et que seul
par un petit dessin
en passant
gardant son secret
Et du texte
tout doucement
pour exclure
toutes tentatives
d'en extraire
quel qu'idées
que ce soit
Alors
 sans intentions
autres
que de se rendre à l'image
ce hors soi
et rater le l'histoire
écrite
pour la belle et ses sillons
semant la poursuite
magique et répétitive
de la création
Alors 
les vents terribles
néantisant
le soleil noir
et la mort caché
que l'on ne saurait voir
À un âge avancé
très sur le bord de l'abysse
Le projet
est
non pas d'écrire
mais décrire
des cries
d'amours
à l'inconcevable
dedans dehors
la horde
indifférente
en son
TOUT
Vivre sa mort
depuis sa naissance
et bien... .
De LÀ
l'AILLEURS
qui donne à voir
deux fois
antre-nous
les complices
du passage
qui quelques fois
se laisse distraire
et laisse passer
Personne
ou encor
l'effort
de
RIEN
qui 
EST
LÀ 
l'autre moi que le je vois
et l'éternise
loin de la prise
infernale
de 
L'EFFROI
éloigné
de la véridique
présence
silencieuse
en des paroles
ou muet
pour le signifier
et en vivre pleinement
en son inévitable

mystère magie
envoûtement
qu'importe
la définition
ce quelque chose
où des tentatives
(surréalisantes
pragmatismes
scientifiques 
philosophiques 
religieuses etc )
qui de près ou de loin
s'en sont approchés
Phase de Silence
blanc et noir
Et comment dire
ce qui du bruit 
sans bruit
se fait brin de lumière
en intensité
variable
selon l'étant
 les perceptions
du donné
Soulage
et le noir
qui n'est pas du noir
variant au gré du donné
POUR
SILENCE
étant universel
Encor les planètes
de Holt
et le bruit du 
SILENCE
par la luminosité
sur la portée
du vent
bruissant son silence
Bref le bruit
n'est pas
et le sans bruit
non plus
que du
SILENCE
alors la pensée
les concepts
et les perceptions
la musique et ses silences
l'art visuel
et ses images
exemples approchant
une possibilité
de ce 
EST
Nietzsche et l'oreille
( le danseur orteil )
ou encore
ce bruit qui va finir
et pour quel autre
Enfin
quoi après 
TOUT
dans le
SILENCE
d'aimer
de créer
de vivance
passer le terrible
avalement
du vivre ou du mourir
OREILLE
au corps esprit
et l'ART
du
SILENCE
par le bruit silencieux
du pinceau brosse
respiration
wattever on the
après 
TOUT
le peuple de l'état
du philosophe
ou encor la musique
imposant 
ses bruits 
de silence
inaudible
mais par us et coutume
s'entendent
pour ceci cela
etc
et bien... .
Revenir à l'oeil
de dieu sait quoi... .
Croire pour voir
st- thomas
ou encore forme 
rythme couleur
du spirituel
dans l'art
et aussi dans la musique
Conventions
us et coutumes
dans la
VIE
et
l'ART
ou l'art c'est l'avis
encor
la
VIE
c'est l'avis
de 
l'ART
Jeu 
de l'esprit
avec le donné
pleine lumière
et encore là
relativement
selon... .
l'habitus
à demeure meurt
ou demeurant 
en la maison de
 l'ART
de la libre splendeur
d'aimer
Enfin du texte
pour ne pas dire
le
SILENCE
ne le pouvant
étant à l'écoute
de la vérité



Pour un peu
de signes
s'accordant
avec la donnée 
du jour en pleine nuit
et du regard porté
sur la musique
ô
passage
des aimé(es)
pour
CONTE
dans la quincaillerie
des opinions
et des branles bas
de combat 
pour une réalité
de lui l'autre 
pas celui-ci
ou encor
dans les ruines ou le construit
l'avis
lavis
des sanguinaires
de lavoie
premiers grands formats
psychosociaux
percepts
aux premiers pas 
de dance
avec les politiques
du savoir
l'état des lieux
à leurre de tous les heures
de la rose des vents
et de la direction
de la boussole
ayant perdu le nord
par amour
d'un dessein à dessin
d'embellir le chemin
( Nous avons été
chassés du Paradis,
mais le Paradis n'à pas 
été détruit pour cela )
Kafka
et des mots de silences
c'est bien pour dire
l'image
à voir
et à main tenir
ce qui s'en va... .
et qui
EST
malgré
TOUT



On piste dit les pistés
pistant
la piste
de derrière devant 
pas lui l'autre
le bolé le savant plus que
qui au suivant
des suiveux de
 Jacques... .
 L'ART
non pas de... .
mais de l'infini
possibilité
de ce qui pourrait
être ou donner
à
VOIR
l'Oeil
de l'esprit du temps
passé date
et qui n'est plus
de la gloire
ni que de la renommée
de l'histoire
mais 
L'ART
ne conteste pas
l'IL Y A
il
EST
ce que
Vincent
nommait le créer
et son grand propulseur
est
l'AMOUR
peu importe où
il
EST
c'est l'ensemble
du possible
en
VÉRITÉ
dedans dehors
la cage le bagne et la censure
Il y à de cela
dans le 
Sollers
deuxième vie
ou encor
chez 
Chamberland
et les sept péchés
de 
Sodome
vu par
Pasolini
qui lui était politique
c'est à dire
à la merci
de l'histoire
n'avait pas lu
 Axelos
Mieux 
L'ART
est la main tenant
le
SEUL
AMOUR
là où le rêve
à sa loge



Et bien antre-nous
l'actelier
des mains et pattes
Ô
désert
du malheur
nietzschéen
et après
TOUT

Kafka *

25 janv. 2025

Le Vent



Et si pareil à la
MORT
morte
le jeu s'arrêtait
que la linguistique
et la
proématique
terminait
son prétexte à l'image
car 
L'ART
s'adressant
au vide restant
depuis
Socles Et Poussières
épuisé
de sa mise en situation
( pas situationniste)
mais des faits
marquant le terrible
quotidien
inattendu
toujours
et qui n'à rien à
VOIR
avec l'oubli
le déni des faits réels
que la
MORT
morte
ne peut ni ne veut
du miroir
limbique
pas celui de
Malraux
limbique
indifférence
le miroir ne vois pas
le miroir
et toute projection
dire faire voir
signe... .
Nul et non advenu
Alors
Friedrich
l'horrible
solitude
l'égarement
la tristesse et les larmes
de la misère
casse à jamais
le coeur
noyé par la conscience
de la perte
des aimé(es)
à contre-mort
Piège
Trou
Cauchemar
et le
SEUL
en vérité
du naître
être
et mourir
le reste et bien
on arrête pas le pogrom
des vicissitudes
et les habitudes
à tous 
de la
NATURE
natures
et ses apprentis sorciers
Dr. Sabuse
et adroit de la 
nomenclature
linguale
Et de là
sortir de l'abysse
posthistorique
idéologique
du 
TOUT
est foutu
créant la place
laissé là
pour les malfrats et 
monstres bipèdes
 pots de pisses
du rien encyclopédique
de la terre 
et ses essais 
réussis de la
MORT
morte
qui va suicidaire
adn
ia
et obéissance
pulsée
à sa destruction
dernière
là où le 
livre
se ferme
Qu'est-ce que
L'ART
en des dictats
règles
méthodes
et surveillances
(lettre volée)
Poe
ou encor
en son
TOUT
fermé sur caméléon
dictatoriale
Alors
y a t-il de la vie
avant la
MORT
de 
L'ART
ART 
qui à demeure
in memoriam
au
NOIR
de toutes les justifications
culturelles
consentantes
à endormir
le
 ROI
pas Eugène
ni des aulnes
ni des mages
ni de soleil
non celui
du point d'appuis
ayant passé
celui du 
G
à leurre
des envoutements
sortilèges
avalant 
le 
TOUT
au passage
terrible où tombe
la
FIN
en ses indicibles
tourments
Les maux 
quel mots
menteurs et pleins
de 
MORT
mortes
pour le dire
IMPOSSIBLE
dé pipé
de magrippe
en ceci est de là
quand
LA MORT
arrache
le sensible
l'émotion
assassinant
la vrai vie
des aimé(es)
des joies
au-delà
de la
MORT
mortes
On meurt aussi
d'aimer la vie
en pleine lumière
responsable
ART
et nature
aimée
Concept percept
comme on voudras
comme bon te sembleras
ne change pas le fait
du 
TERRIBLE
des larmes
d'ABANDON
là où y a plus
âme qui vive


Un instant 
de joie
en d'interminables
malheurs
d'aimer
ET C'EST
du passage
terrible
évidemment
illisible
les mots
( de la cochonneries
et de la merdes )
constatés par les horribles
travailleurs
Alors fait moi
un dessin
sur la paroi
d'AMOUR
et d'horreurs
Le travail de la
MORT
rempli de projets en cours
Roth
ou le contrôle
deleuzien
et droite gauche
pour le décentrement
du
TOUT
Enfin
les mots de la terreur
infini
Ô
passage
d'à jamais plus
l'instant
d'aimer la vie
au risque de la perdre
( Uguay )
et la trahison
continue des mots
pour les maux
d'à jamais plus
quelque chose
malgré
TOUT



L'Abyssal
ABANDON
des aimé(es)
de lumière
et tenir 
Ô
point d'appui
là où
l'extermination
effective
sans
L'ART
qui sur le mur
 le sang
 des roses
arrachées
au déni
de la
MORT
des sois disant
pas lui l'autre
de la
MORT
mortes
Qu'est-ce que 
l'ART
après
TOUT
(Le vent se lève...
Il faut tenter
de vivre )
Valéry