Sait on
sans la pensée
de l'autre
le quelque chose
de
l'AMOUR
d'EFFROI
la mort tremble
primitivement
et sait
qu'elle
tue
de lumière
exaltante
et ces moments
de si court
passage
qu'AMOUR
en fait
même si
le vertige
de partir
et le perdre
RIEN
SEUL
enfin
quoi... .
Alain
mon ami
qui tombe
antre nous
d'imaginaire
la nuit
la vérité
au passage
du peu de
lumière
et du cadre
et du temps fixé
d'Amouir
à la lueur
baudelairienne
du luxe
calme
et volupté
si l'on veut
Et les chéri(e)s
de toujours
les pas nommés
des guerres
en pleine folie
que
d'être
ICI
MÊME
parmi
ce qui aurait
qui sait
NON
...des maux... .
à mots
au passé
du
VERBE
quelques instant
encor
en corps
car la lumière
tendre
et tranquille
paisible
et des milliers
des milliers
d'attentes
dans la
NUIT
un coeur
palpitant
attendra
toujours