Au Paradis
des étants
aux mérites
En quoi
qui que
cocu
comptant
qu'en fin
socialement
en 2 mots
FIN
Après et puis?
La puise
épuisée
du réel
au quotidien
car le RÉEL
éternel
d'imaginaire
se fait la Beauté
toute en grâce
amoureuses
Cachant
son dieu
Mais arrive aussi
la FIN
là SEUL
de LÀ
et pour de VRAI
tu voie
sans maquillage
(On peux mourir
d'être)
Et bien!
C'est la poursuite
vers Nul-Part
jusqu'à épuisement
des énergies
non renouvelables
La tête
fuyant
le savoir
ignorant
du genre
qu'elle n'ont pas
Même si égrenant
Freud
d'un quotient
pensant à Bataille
et l'érection
de la grotte
la dernière
Risible
au bout du conte
Encor plus
quand devient
incompréhensible
la chose
qui se fend
en quatre
délirant
il faut le dire
à petit salaire
pour la suite
du monde
Ici s'arrête
la comédie
La roue
tourne
dit
A
la langue
dans le miroir
sale affraire
cochonneries
nanannes
foutaises
Mentir
la MORT
déniée
dès le départ
trop tard
sans souffle
Assez
Froid...
Encor
illusion
de marbre
et conte
en banque
d'insignifiante
crapulation
infesté
de vert de gris
sur la toile
grise
des
écartés
souffrant
d'orgasmes
engrossés
de croyances
anecdotiques
Pomme
Cézanne
à bicyclette
saluant papa
en passant
pour quelques
sous
en terre promise
De quoi de qui
et qui que quoi là?
De quoi ÇA
parle
Psaume
pour un
couronnement
de pommes
d'Adam
dedans
d'entre les dents
assez violent
le passage
vert maman
Passons pas le temps
c'est toujours
le printemps
quand on est plus
dedans
à balourdir
l'ennuis
des ans des autres
en d'inutiles
inventions
de vices cachés
d'étroites
parois
tombales
Quelques
silences
pleins
de certitudes
indicibles
Il fait nuit
noire
depuis
très longtemps
déjà
'' Un homme
s'élève
aussi brusquement
qu'un spectre
sur un cercueil
et s'affaisse
de la même façon '' *
Et tout ça
pour ne pas!
Là où l'homme-rie
l'Art passe.
Bataille *