Avec les grands les ptits
et puis on s'habitue
à
TOUT
le premier 10 ans
qui est le pire
après
ça va... .
à toutes choses
à l'empirement
et à notre maître
à tous
Pour certain
la dévoreuse
ne dérange rien
et quelques uns se la donne
d'autres la fuient
encor lutte
Mais dedans dehors
elle est là
toujours et d'éternité
trou noir
et la rude épreuve
pour la conscience
tenir
et en vrai
qu'est-elle
pour ceci cela
en la question
d'à quoi peut bien servir
cette dévastation du sujet
et de ses croyances
pour un trip
overdosien
dont personne ne revient
Qu'est-ce qui empêche
d'en approcher
en vérité
jusqu'au dernier moment
`dernière seconde
là où le silence
total
en à chacun sa mort
Rilke
ou pas
d'univers
infini de
Pascal
encor
combat insensé du corps
matière esprit
vers
Alexandre
le grand
ou l'agneau d'offrande
petit
encor l'abandon
du Christ
ou du ptit crisse
Alors
sur l'échelle
riche taire
pauvre taire
ou encor les appelés
et les épelés
dont iras tous
au
Paradis
de tous les
Michel
Paul
à la nef des fous
radeau
barque
bateau
épave
aussitôt né
la fleur la cathédrale
l'envers des coqs
à l'âne
et de l'abysse
Et bien
LA MORT
pour
l'ART
de l'art
et de l'article
de lumière
main tenue
dans le mouroir
en temps x
inattendu
Bizarrerie
d'IL Y A
cette croyance
cette croyance
en la vie
au passage très
pascalienne
hégélienne
deleuzienne
rossetienne
pyrrhonienne
ou le problème
est sans problème
Alors
la vie
créer quoi que qui
de l'embellie
contre
MORT
mortes
épées épée épais
dans le plus mince
ou pour l'honneur
de la belle au bois
de chaperon rouge
des boeufs
en mrx sur bbq
et grenouilles
sautées
en restant
en la marre
mare des morts
déguisés
en recettes
du vivant
pour l'éternité
retrouvé
avec
Arthur
gangréné
par les soirs bleus d'été
Enfin
sur la paroi
des courages
et des aveuglements
de motifs
aux décorations
de la vie après la
MORT
Qu'est-ce que la vie
en la lumière
qui peut ou qui s'éteint
là politique
là
poétique
encor
maintenir
l'IL Y A
qui semble ne pas
qui semble ne pas
avoir
l'assurance
de ses assises
au quotidien
de la marche en dire
et de la capitale
vie
ou 60 pour sans
des espèces
et des mers
échos logiques
de rien pantoute
là où s'évanouie
l'IL Y A
insensiblement
insensiblement
plastifié
métamorphosant
le désir
en quoi que qui
des idées
pas tranquilles
pour la prise de la
Bastille
du billet
pour
Moumouques
Galantes
en un déjeuner
sur l'herbe
la couche aux fesses
tremblant
d'où où vers où
VERROUS
cage au camp
clôturé
fixé
sur la paroi
des meneurs adn
et pendus par les pieds
au sévices
des fureurs et du bruit
qui va finir
après
TOUT
Lumière
au
CAMP
des voyous
choux hiboux
et de la chouette
de m'énerve
phœnix
et les retardés
de l'avancée en arrière
dans l'autobus
de ce qui se trame
dedans dehors
et du travail guérissant de
TOUT
de la mine
au champ de blé
tous tournesols
à l'huile de bras
ou de la tête
à Papineau
Beaubien Bellechasse
avec
Marie Aucoin
attendant
Trèflé Boulanger
et la
Poune
au théâtre
des variétés
tragiques
à rire aux larmes
IL Y A
la bande
des gangs à gangues
et des
Aliblablas
de la roue
au pont des
sous pires
dans la poche
de
Bataille
au bain du violon
d'Ingres
étirant la sauce
où
le mystère de l'image
demeure entier
et qui
parler pour parler
n'à
RIEN
à dire
visible visible
de
Paul
à
Paul
vers les marquises
avec l'ami
Jojo
sur cette pierre
du verbe
chantant
frère Jacques
sous la chandelle
de
Gilles
Gaspar
Antoine
en la vie c'est effrayant
et
L'ART
pour ne pas
sans
l'Axe-d'Abraham
ÊTRE
ARBRE
radar
Lapointe
Ô
passage
et les chéri(es)
en des consciences
inégales
dedans dehors
en simulacres
de ceci cela
aux mises en scènes
d'une fausse commune
en des vibrations
de libertés
entre 2 matelas
désobéissant
à l'art
obligatoire
sous la tutelle
d'Adolph
Pétain
ou de
wattever on the flow
qu'une idéologie de
lumière
à l'oeuvrage
très ratéiste
et
posthumant
une place
chez les aimé(es)
pour par
antre-nous
le désobéir
à nous
d'AMOUIR
Encre de Chine
crayon acrylique
sur papier
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